Le président du Parti « Yéléma », Moussa Mara vient de lancer le tome II de son livre intitulé « L’Etat au Mali ». C’était hier jeudi 28 juin au CICB en présence du ministre du Commerce et de la Concurrence, Ahmadou Touré et de nombreuses autres personnalités.
Après la parution du tome I en 2011, Moussa Mara, se consolide désormais sa présence sur la scène de la littéraire au Mali, avec le lancement hier jeudi du tome II de son livre titré « L’Etat au Mali ».
Les deux livres évoquent l’Etat au Mali à travers sa présentation et son diagnostic, livrés dans le tome I. Mais s’agissant des pistes d’amélioration de l’Etat, elles se trouvent évoquées dans le présent tome.
Dans sa présentation l’auteur dénonce l’organisation de l’Etat au Mali à tous les niveaux, la justice, l’armée, le service public etc. Il a dénoncé l’impunité, la personnalisation de l’Etat qui encourage la médiocrité et l’impunité avant de démontrer la détérioration du service public qui, pour l’orateur du jour, doit changer et de devenir une relation « client-fournisseur » pour le bien de notre pays. Il dénonce aussi la gestion des régions du Nord, qui sont gérées pas comme les autres du pays. Une situation qui nous a conduit, jusque là, explique, Moussa Mara. Il prône le dialogue franc, fait sur des bases solides, pour sortir de cette situation.
Dans son livre, Moussa Mara réclame le changement du présent régime qui est semi- présidentielle à un régime présidentiel et dans la même dynamique la suppression du poste de Premier ministre. Mais souhaite le renforcement du pouvoir législatives, qui va jusqu’à s’impliquer de certaines nominations importantes. Il invite également à la mise en place d’une administration chargée des élections au lieu de la Céni d’un côté et de l’autre la Délégation générale des élections. En somme, il prône un référendum pour la refondation de l’Etat.
Ousmane Daou
bravos! courage! son excellence Mr le MAIRE! bonne continuation!g ss fièr de vous!
au moins Moussa mara sert son pays et surtout contribue a eveiller les consciences en écrivant et en laissant quelque chose à la postérité. Pas comme ces voeux politicards bidons et sand sud de létat et des peuples. Un polticien, ça éduque les masses!
Merci Mara pour votre contribution , Il faut vraiment un changement
NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES. BALAYONS DEVANT NOS PORTES.
PERSONNE, JAMAIS PERSONNE NE PEUT GAGNER EN JOUANT CONTRE LE MALI, NOTRE CHERE MERE NOURRICIERE, A QUI NOUS DEVONS TOUT. NOUS AVONS UNE RESPONSABILITE DE RECONNAISSANCE, DE DEVOIR, D’ENTRETIEN ET DE PRESERVATION DES INTERETS SUPERIEURS DE NOTRE PAYS.
NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES!
ILS SONT TOUS PAREILS LES HOMMES POLITIQUES. C’EST LA PEUR DE LEURS INSTITUTIONS QUI FREINENT LES ARDEURS DES UNS ET DES AUTRES.
QU’AVONS-NOUS FAIT EN SON TEMPS POUR RENFORCER NOS INSTITUTIONS AFIN DE MIEUX ACCOMPAGNER ATT? NOUS NOUS SOMMES COUCHES ET IL A MARCHE SUR NOS DOS. NOUS NOUS SOMMES COUCHES ET IL A NOUS A ENTERRES VIVANT.
NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES. BALAYONS DEVANT NOS PORTES.
NOS DIRIGEANTS DOIVENT COMPRENDRE QUE LES INSTITUTIONS FORTES EXISTENT AFIN D’EVITER DES DERIVES. MOUSSA, ALPHA, ATT ET LES PARTIS POLITIQUES LES ONT AFFAIBLIES A LEUR DEPENS.
NOUS RECOLTONS CE QUE NOUS SEMONS. NOUS PAYONS/PAYERONS TOUJOURS NOS COMPROMISSIONS, NOTRE MANQUE D’ORGANISATION ET D’ANTICIPATION.
NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES. BALAYONS DEVANT NOS PORTES.
LES RESSOURCES SONT PAR DEFINITION SONT RARES. ELLES SONT LE FRUIT DU TRAVAIL ET DOIVENT ETRE GEREES AVEC RESPECT, DISCIPLINE ET PREVOYANCE.
LE MALI EST NOTRE ARCHE DE NOE. NOUS PERIRONS TOUS (CEUX DE L’EXTERIEUR COMME DE L’INTERIEUR) SI NOUS NE PRENONS PAS SOINS DE NOTRE PAYS.
NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES. BALAYONS DEVANT NOS PORTES.
“la détérioration du service public qui, pour l’orateur du jour, doit changer et de devenir une relation « client-fournisseur » pour le bien de notre pays”
Mais c est un grand ce mec il parle en terme purement economique du service public il est completement dingue celui la un service public releve du domaine de la responsabilité d un etat et est un droit pour le citoyen alors on peut dans ce cas parler de “client fournisseur” mais il est compltement toqué celui la malheur a nous si ce dernier arrive aux affaires deja dans sa commune j’ignore sa gestion mais il est dangereux de parler en ces termes du citoyen CLIENT
Ne prends pas l’expression au sens litteral. Relation client fournisseur est plus profond de ce que toi tu penses. Va revoir tes cours de marketing, tu comprendras l’expressin
Félicitations M.Mara.Naaba.Moi je l’ai vu à l’oeuvre dans sa commune
(CIV).Il a subventionné la tenue scolaire dans la commune.Il a distribué de l’argent restant des taxes communales à l’ensemble des maisons de culte de la commune.Tous les citoyens ont droit de regard
et de contrôle sur la gestion de la commune (à travers les réunions
au niveau de la minicipalités).Enfin il a déclaré ses avoirs avant d’entrer en fonction et s’aprête a faire autant à la fin de son mandat….Voilà des actes concrets qu’il a posés M.Mara. 😉
Du courage Moussa MARA. Si seulement les autres responsables politiques pouvaient prendre exemple sur vous!!!!!!! vous êtes sur le bon chemin et un jour vous serez recompensé à hauteur de souhait.
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