La 7eme édition du Festival international de Sélingué, urban music et mode aura lieu du 5 au 07 avril prochain à Sélingué. Placée sous le thème : « Arts urbains et changement socio-économique », l’édition 2018 sera riche en activités. Plus de 15 000 festivaliers sont attendus cette année par les organisateurs.
L’information a été donnée par les organisateurs au cours d’une conférence de presse, tenue hier au Palais de la culture de Bamako. Elle était animée Ibrahim Coulibaly, administrateur du festival. Selon le conférencier, la particularité de cette année est la délocalisation du lieu de concert pour le plus grand confort des festivaliers. Pour l’édition 2018, les organisateurs s’attendent à une forte augmentation de l’activité économique avec l’arrivée de plus de 15.000 festivaliers. « Le festival permettra également de créer temporairement des milliers d’emplois directs », a annoncé M Coulibaly.
Pour lui, l’édition 2018 sera riche en activités, notamment avec des ateliers d’échange et de création, des conférences, des animations folkloriques, des concerts géants, des défilés de mode, des danses modernes, de la production d’émission télé, la foire artisanale.
Des artistes de renommée internationale comme Salif Keita, Viviane Chidid, Floby, Iba One, M’Bouillé Koité, Petit Goro, orchestre Kanaga…sont invités
« L’objectif principal du festival est de développer un évènement à caractère touristique et culturel, faire découvrir le savoir-faire des hommes et des femmes de culture et promouvoir la diversité culturelle », le conférencier.
Y Doumbia
PAUVRE MALI !!!
DES QU’ON PARLE D’ORGANISER DES ÉLECTIONS LA CLASSE POLITIQUE DANS SON ENSEMBLE CRIE À L’INSÉCURITÉ.
QUAND IL S’AGIT D’ORGANISER DES FESTIVALS, Y COMPRIS SUR LES DUNES, PERSONNE NE SEMBLE Y AVOIR À REDIRE.
SI LES MALIENS PENSENT QUE LE MONDE ENTIER VA NOUS REGARDER DILAPIDER LES MILLIARDS DE CFA MIS À NOTRE DISPOSITION OU S’AMUSER AUTOUR DES TOMBES DES ENFANTS D’AUTRES PAYS ACCOURUS À NOTRE SECOURS, ALORS LÀ, JE CROIS QU’ILS SE FOUTENT LE DOIGT DANS L’OEIL JUSQU’A L’OMOPLATE.
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