C’est désormais une dame de fer qui dirigera le Bureau malien du droit d’auteur (Bumda). Il s’agit de Mme Diallo Aïda Koné, qui assurait jusqu’à sa nomination le poste de chef du Service de la Communication et des Relations publiques au niveau du Bumda. Auparavant, elle avait dirigé le Service du Contentieux et de la lutte contre la piraterie. C’est dire qu’elle est en terrain connu et pourra remettre les artistes maliens dans leurs droits souvent bafoués.
es directeurs généraux du Bureau malien du droit d’auteur (Bumda) et du Conservatoire des arts et métiers multimédia Balla Fasséké Kouyaté ont été nommés à l’issue du Conseil des ministres du 14 septembre dernier. Ainsi, c’est Mme Diallo Aïda Koné, juriste de formation, qui aura désormais la lourde responsabilité de gérer le Bureau malien du droit d’auteur (Bumda), tandis que le patron du Conservatoire des arts et métiers multimédia Balla Fasséké s’appelle Idrissa Oumar.
La nomination de Mme Diallo Aïda Koné a été bien appréciée dans les milieux des artistes pour une raison très simple : la nouvelle patronne du Bumda est en terrain connu pour avoir occupé plusieurs postes au sein du Bumda. En effet, elle a tout d’abord assuré le poste de chef du Service contentieux et de la lutte contre la piraterie, avant d’être la responsable du Service de Communication et des Relations publiques. Du coup, elle était chargée de mettre en œuvre une politique de Communication au niveau du Bureau malien du droit d’auteur à travers les médias, ainsi que l’organisation de sessions de formation et d’information en plus d’une campagne de sensibilisation des usagers, sociétaires et partenaires.
Auparavant, Aïda Koné avait contribué à la mise en œuvre du dispositif pour le contrôle des circuits de distribution des œuvres littéraires et artistiques, ainsi que la conciliation des sociétaires. Sans oublier la mise en état des dossiers contentieux, l’analyse des différents contrats avec certaines structures de productions et le suivi des dossiers pendants devant les tribunaux dans le cadre de la lutte contre la piraterie des œuvres littéraires et artistiques. Elle a également participé à la préparation des documents annuels de gestion : rapports de fonctionnement, comptes rendus de gestion et états financiers.
La nouvelle directrice du Bumda a acquis une expertise certaine, non seulement par son expérience professionnelle, mais aussi en renforçant ses capacités à travers la participation à plusieurs sessions de formation, notamment le séminaire sur la promotion de la protection de la propriété intellectuelle pour les pays africains francophones à Shenzhen ; le suivi de l’atelier de formation Usaid-Cldp sur la mise en application des droits de la propriété intellectuelle aux frontières et à l’atelier sur l’évaluation des études relatives à la lutte contre la piraterie des œuvres littéraires et artistiques dans l’espace Uemoa.
A.B. HAÏDARA
Comrade Ms. Aida Diallo Kone’ it is known throughout the world that America refused to give the Buntu Beliefs Religion (BBR) a copyright to the Buntu holy book being we refused to remove the holy book symbol ( trademark). I excess year ago forwarded copy of the Buntu holy book to Colonel Oumar Konate of the Malian arm forces while he was at the Malian embassy in Washington D.C. (USA). Will the Malian Office of Copyright provide copyright of the holy book. The American problem is neither Christianity, Judaism or Islam is capable of competing with the Buntu holy book trademark plus contents despite the books small length however, the truth do not need many words. The American way under like conditions is to eliminate like entity. We will not go away but, we are going elsewhere for a copyright. Keep it real. Let us do the right thing now. Very sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan.
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