A la découverte des œuvres de l’écrivain Maurice Kouakou Bandaman, ministre ivoirien de la culture et de la Francophonie

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1-« Une femme pour une médaille », nouvelles, Abidjan, CEDA, 1986 (Premier Prix du concours littéraire CNOU-CEDA)

2-« Le sang de la République », nouvelles, Abidjan, Inter Afrique-Presse, 1991

3-« Le-fils-de-la-femme-mâle », conte romanesque, Paris, L’Harmattan, 1993 (Grand Prix littéraire de l’Afrique noire, 1993)

4-« Portraits des siècles meurtris », (Anthologie de la poésie de Côte d’Ivoire), Collectif, Paris, Nouvelles du Sud, 1993

5-« La bible et le fusil », roman, Abidjan, CEDA, 1997

6-« L’amour est toujours ailleurs », roman, Abidjan, PUCI, 2000

7-« Nouvelles chansons d’amour », poésie, Abidjan, PUCI, 2000

8-« Au nom de la terre, suivi de la terre qui pleure », théâtre, Abidjan, PUCI 2000

9-« Sikagnima, la fille aux larmes d’or », livre pour enfants, PUCI, 2000

10-« Même au paradis on pleure quelques fois », roman, Abidjan, NEI, 2001

11-« Côte d’Ivoire : Chronique d’une guerre annoncée », chronique journalistique, Abidjan, publiée en collaboration avec le quotidien 24 Heures, 2004

12-« Le paradis français », roman, Abidjan, NEI-CEDA, 2008

13-« L’éternel amour », roman, Sésame Editions, Abidjan, 2011

Professeur de lettres, Maurice Kouakou Bandaman a été révélé au public en 1986 par « Une femme pour une médaille », alors qu’il était encore étudiant. Premier plus jeune lauréat du Grand Prix Littéraire de l’Afrique noire en 1993 avec son roman « Le-fils-de-la-femme-mâle », Maurice Kouakou Bandaman reste une des plumes fortes de la jeune génération des écrivains nés après les indépendances. Il concilie allègrement écriture et action politique, rêve d’humanisme, de justice et de liberté. Maire de la commune de Faabo depuis 2001, il a été PCA de la Radio Diffusion Télévision Ivoirienne (RTI) de 2004 à 2006, puis de la Poste de Côte d’Ivoire de 2008 à 2011. Depuis juin 2011, il est nommé ministre de la culture et de la Francophonie dans le premier gouvernement du président Alassane Ouattara.

 

SILA 2013

Ils ont dit :

«Prendre part au SILA, c’est venir célébrer l’humanisme par le livre ; c’est venir à un puits inépuisable d’échanges et de connaissances. Le livre que célèbre le SILA est une arme efficace contre la haine et l’intolérance. Là où le livre et la littérature prospèrent, les fusils désespèrent et se taisent ». Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la culture et de la Francophonie de la Côte d’Ivoire

«  Le Maroc a une tradition et une expérience en matière de promotion du livre. Ce constat est visible grâce à la vitalité de l’industrie du livre au Maroc qui emploie des milliers de personnes. Cela a été possible suite à l’appui inestimable des autorités marocaines au secteur de l’édition ». Mohamed Alim Sbihi, ministre de la culture du Maroc

« Bien avant l’avènement des nouvelles technologies de l’informatique et de la communication, le livre est apparu comme l’élément essentiel de toutes les révolutions que le monde a connu. Lire, c’est voyager, c’est vivre plusieurs vies, c’est rêver des choses d’ici et d’ailleurs ».

Ahissi Agovi Jérôme, le 1er Adjoint au Maire de Treichville

« Le SILA revient après une petite hibernation. Oui, le SILA se devait de consolider sa renaissance et rassurer ses partenaires et tous les amoureux du livre. Et le SILA 2013 s’est voulu populaire en déménageant du quartier des affaires du plateau pour s’installer à Treichville, se rapprochant ainsi de la population ». Lucien Agbia, Commissaire général du SILA 2013

« Le leadership de la Côte d’Ivoire dans le domaine de la promotion du livre n’est pas usurpé et la présence des grands écrivains africains d’expression française en est l’illustration parfaite. Le SILA 2013 sera aussi l’occasion d’évoquer entre les spécialistes du domaine le fléau qui affecte gravement la profession ». Guy Lambin, Directeur général NEI-CEDA Editions, Côte d’Ivoire

 

 

Les thèmes débattus lors du SILA 2013

« Les lettres marocaines à l’honneur »

« Ecrire en Afrique : nos livres ne sont-ils pas trop « sacrés » pour notre public ?»

« Ecrire des nouvelles et des romans »

« Afrique noire et Maghreb : un pont du livre à construire ? »

« Financement des systèmes de santé en Afrique »

« Faire grandir les liaisons d’édition : situation et perspectives »

« La diffusion du livre en Afrique : comment vaincre (enfin) les écueils ? »

« Le livre pour enfant et pour jeunesse : quelles stratégies de promotion ? »

« Faire vivre les bibliothèques aujourd’hui : stratégies pour une meilleure santé »

« Rencontrer mon premier éditeur »

 

 

La liste de certains écrivains célèbres ou auteurs africains et ivoiriens lors du SILA 2013

Ken Bugul, écrivain sénégalais

Thierno Monenembo, écrivain guinéen

Mariama N’Doye, écrivain sénégalais, Prix ivoire 2012

Venance Konan, écrivain ivoirien

Tiburce Koffi, écrivain ivoirien

Véronique Tadjo, écrivain ivoirien

Isaïe Biton Koulibaly, écrivain ivoirien

Régina Yaou, écrivain ivoirien

Fatou Keïta, écrivain ivoirien

Abdellah Baida, critique marocain

Touria Ikbal, poétesse marocaine

Josué Guébo, écrivain ivoirien

Etty Macaire, critique ivoirien

François d’Assise N’Dah, romancier ivoirien

Robé Donatien, écrivain ivoirien

Fatou Cissé, écrivain ivoirien

Pélagie Miezan, écrivain ivoirien

Usher Alliman, écrivain ivoirien

N’guessan Konan Bertin, écrivain ivoirien

Foua Ernest de Saint-Sauveur

Michelle Tanon Lora

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