Rien ne semble encore acquis pour le régime IBK. Mais, avec ce coup majestueux réussi sans tambour ni trompette, il pourra se replacer dans la bonne marche de l’Etat. Un Etat démocratique avec une armée républicaine au service de la patrie. Pourvu qu’IBK continue à faire confiance aux acteurs de cette action salutaire qui sauve le Mali d’un effondrement.
Le peuple malien avait appris à travers les médias d’un transfèrement possible des présumés auteurs des exactions faites aux bérets rouges. Mais, tout le monde fut surpris de la rapidité de leur déploiement à l’intérieur du pays. Depuis, chacun se demandait les raisons qui ont prévalu. Est-ce pour raison d’Etat ou tout simplement une réponse au vouloir du juge Yaya Karembé ? Nous avons désormais la réponse à votre inquiétude.
Du fond de leurs différentes cellules, malgré quelques dénonciations des uns contre les autres, les putschistes se préparaient avec leurs complices militaires, civils et politiques à remettre la vie de la nation en cause. C’était à l’occasion de l’anniversaire du 22 mars. S’il est impossible de monter à Koulouba contre IBK, comme ils l’avaient fait contre le professeur Dioncounda Traoré pendant la transition, il s’agissait de créer une situation confuse. Cette situation allait être la source qui devait les faire sortir des cellules de prison pour prendre le pays en otage.
COMMENT TOUT CELA SE PLANIFIAIT ?
C’est le 22 mars 2012 que la mutinerie de Kati a eu raison du pouvoir du Général ATT. Ayant échappé à un assassinat crapuleux, il décida, quelques jours plus tard, de jeter l’éponge afin que l’Etat continue selon la Constitution de février 1992. Pour commémorer cette date, des commissions avaient été mises en place. Il s’agissait pour celles-ci de procéder à des mouvements notamment meetings et marches de soutien à des points stratégiques dont les lieux proches de détention des putschistes. Alors, selon nos sources, dignes de foi, tout allait emballer. Et l’irréparable allait se produire. L’écoulement de sang. Créant du coup la panique qui devait permettre aux inculpés de se dérober afin de prendre les arènes du pouvoir.
COMMENT LE TOPO A ETE DECOUVERT ET DEJOUE ?
De son arrestation à nos jours, Amadou Haya Sanogo n’a eu qu’une seule vraie occasion de s’adresser au peuple à travers un enregistrement téléphonique. Depuis cette date, les autorités compétentes ont compris que cet homme est capable aussi bien du meilleur que du pire. Du meilleur, se mettre au service de quelqu’un afin qu’il réalise ses ambitions. Du pire, provoquer un soulèvement ou un affrontement aux conséquences dramatiques. Ainsi, il a été privé de certaines communications et de certaines faveurs. Ce qui avait même amené certains de ses adeptes à se remettre en cause. Malgré tout cela, certains de ses visiteurs lui permettaient d’échanger avec quelques uns de ses inconditionnels. Alors, l’arrestation surprise de Yamoussa Camara lui a créé la psychose. Il a compris du coup que les portes échappatoires étaient presque fermées. Il faut donc établir un plan ”B” pour se tirer d’affaire. Commencent donc les actions secrètes.
Au service de la patrie, le nouveau DG de la SE suit tout. C’est ainsi qu’avec les nouveaux services très performants installés par ATT à Solomanebougou pour intercepter les conversations des rebelles afin de les traquer, même les simples voix sont vite décelées, il mettra hors d’état de nuire les apatrides. Sans tambour ni trompette. C’est ainsi que, de sources bien informées, des voix ont été interceptées qui planifiaient cette démarche à l’encontre de la vie de la nation.
Brusquement alors, il a fallu déployer les têtes de proue, qui depuis leurs cellules s’activaient. Toute chose qui aurait permis de circonscrire à la démarche, de déjouer le complot et de créer la peur et la zizanie au sein des apatrides militaires, civils et politiques qui étaient dans le jeu. Réduisant du coup la grande fête qui était prévue pour le 22 mars à une cérémonie d’insultes, de propagande contre IBK et son gouvernement.
Quoi qu’il en soit, avec cette nouvelle donne, AHS et ses hommes se compliquent la tâche. Et puis, ceux qui, depuis le gouvernement actuel ont déboursé des sous pour soutenir les actions n’échapperont pas. Qu’ils sachent que « mouton peut continuer à bêler avant tabaski ». IBK tient tout le monde à l’œil et il va agir avec une main de maître contre tous les fauteurs de trouble afin de sauver le Mali.
Boubacar DABO
Le dernier commentattaire j’ai toujours dit et redit que les militaires morts pendant le combat c’est pas un assassinat c’est le combat donc la guerre.Par contre tués des civils désarmés pour la simple raison d’appartenir à une ethnie c’est de l’assassinat tués treize cvils en voyage désarmés ;jeté d’autres dans des puits à Mopti Sévaré c’est de l’assassinat.Il faut faire la difference cequi sont mort à Aguelhoc sont des militaires et leurs casernes attaquée par des rebels si c’est rebels étaient morts ce n’est pas un assassinat c’est des morts au combat.A AGUELHOC il ya avait dess armes que l’ennemi a pris pourquoi nos vayants militaires cadavrés non pas utilisé ces armes beret rouges aussi c’est assassinat……..
suis d’accord avec mandémassa. IBK se trompe bcp sur le compte des AHS. J’ai une grande peur au ventre car IBK, au lieu se s’occuper de l’avenir, veut réveiller les vieux démons de 1960 à 2013. Ah que c’est Gargantuesque! J’aurais compris que IBK calme le jeu en dians que ce qui s’est passé est passé, que l’on se pardonne et que les maliens se retrouvent une fois de plus en se pardonnant car les bérets rouges ont tué bcp d’innocents lors de leur contrecoup; ils doivent répondre aussi. De cette façon, l’avenir est sombre et ayant voté pour IBK, je me rebiffe aujourd’hui. Que Dieu aide le MALI
Le quotidien français “Le Monde” daté de vendredi fait état d’une enquête lancée par la justice française contre Michel Tomi, homme d’affaires corse à la tête d’un empire industriel en Afrique. L’affaire inquiète les milieux diplomatiques et pourrait impliquer plusieurs chefs d’État du continent, dont Ibrahim Boubacar Keïta et Ali Bongo Ondimba.
D’après Le Monde daté du vendredi 28 mars, les juges Serge Tournaire et Hervé Robert enquêtent depuis plusieurs mois sur l’homme d’affaires corse Michel Tomi, 66 ans. Au bout des ramifications de son empire industriel : l’Afrique et certains chefs d’État notamment, dont il serait très proche.
Selon le quotidien, la justice française, qui a ouvert une information judiciaire pour “blanchiment aggravé en bande organisée”, “abus de biens sociaux” et “faux en écriture privée”, soupçonne Tomi de blanchir en France une partie de l’argent gagné en Afrique. Et d’avoir impliqué dans son système quelques dirigeants locaux aujourd’hui au pouvoir.
Le Monde rapporte en particulier plusieurs scènes accablantes pour le chef de l’État malien, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK). La première remonte à avril 2012. Le futur président sort alors du restaurant parisien huppé “La Maison de la truffe” avec Michel Tomi avant de le serrer dans ses bras, le tout sous l’oeil de policiers en planque qui commencent à enquêter sur les liens entre les deux hommes. Dans les mois qui suivent, le “parrain” corse aurait “fournit des vêtements de marque” et payé à IBK “ses séjours à l’hôtel parisien La Réserve”, le tout en mettant “à sa disposition des avions pour sa campagne présidentielle”.
Déplacements et hébergement tous frais payés
Début septembre 2013, Michel Tomi aurait également assisté en toute discrétion à la cérémonie d’investiture d’Ibrahim Boubacar Keïta à Bamako. Les liens entre les deux hommes ne s’arrêtent pas là. Quelques mois plus tard, en décembre 2013, en marge du sommet Afrique-France à Paris, le président malien aurait effectué “un déplacement privé à Marseille”, où il aurait été “pris en main par les hommes de M. Tomi”. Et Le Monde de poursuivre : “plus récemment, du 8 au 10 février, M. Tomi héberge son ami, tous frais payés, dans une suite du palace parisien le Royal Monceau. Il lui procure aussi des véhicules haut de gamme”.
L’industriel corse aurait par ailleurs sollicité Bernard Squarcini, ancien patron de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, les services de sécurité intérieure français), désormais consultant en sécurité dans le privé, pour organiser la protection d’IBK. Enfin, selon Le Monde, le chef de l’État malien aurait aussi des parts dans la salle de jeu bamakoise du Fortune’s club, propriété de Michel Tomi.
Lire l’article sur Jeuneafrique.com
Puouuuuhh
Asalamoualékoum
Karim, j’ai été sidéré et très deçu de toi.Un homme éduqué ne doit pas agir ainsi. Ce journaliste, je jure je ne le connais pas mais respectons-les (tous les journalistes) pour les efforts fournis. Sans eux, il n’y a pas d’Etat. Comprenons que tout le monde ne peut pas avoir les memes opinions. D’ailleurs je me demande si tu es malien sinon ce journaliste est le seul depuis à denoncer les actes d’IBK mais patriote je l’ai su aujourd’hui. sinon il allait souhaiter un renversement des institutions mais il aime le Mali. Merci le Zénith Balé
Mes excuses à tous
KARIM dit qu’il te fait honte mais à la nation je ne crois pas. MARIKO ET SANOGO SONT CAPABLES DU PIRE.
Ce journaliste fait honte à la nation, et à toute sa famille, “enfin s’il en a”. Tu es le véritable ennemi de la nation
Monsieur Dabo si tu n’as rien à dire du pouvoir IBK ferme la. Ce pouvoir va être pire car ce gars pense qu’il est envoyé par le tout puissant pour accomplir une mission divine. Il est temps qu’il se mette au service du peuple pour lui donner du travail. Ces faux problèmes n’en sont pas.Des apatrides en veulent à la junte plus qu’aux assassints d’Aguelhoc. C’est quoi cette justice? Si ça continue, le pire est à venir au Mali.
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