Annoncée depuis quelques jours, la tenue de la Convention nationale est prévue pour ce matin par les forces vives de la Nation (partis politiques et associations républicaines). L’objectif visé est de montrer à la CEDEAO à travers sa politique de deux poids, deux mesures, d’obliger le Mali à accepter l’inacceptable, ne saura passer de la sorte. Et pour cause !
Cette levée de boucliers des partis politiques et des associations actives, vise à montrer à la CEDEAO et à l’opinion internationale qu’ils ne veulent pas du maintien du Président par intérim puisque le Mali est un état souverain dont seul son peuple devra choisir les hommes qui la dirigent.
Du MP22 à la COPAM, la kyrielle d’associations républicaines soucieuses du devenir d’un Mali fort, démocratique, tous jurent qu’il faut un autre Président de la transition qui n’est pas le Président de l’ADEMA dont la légitimité est fortement contestée même si la CEDEAO veut l’imposer au peuple malien.
La décision de la CEDEAO jugée inadmissible et impopulaire
En tout cas, la convention nationale qui se tient aujourd’hui mais qui divise les acteurs politiques dans leur ensemble, rentre dans cet ordre d’idée pour dire à l’organisation sous régionale qui viole ses propres textes en voulant nous imposer la conduite à tenir, est inadmissible et impopulaire.
Le sursaut national est déclenché
Le sursaut national est déclenché par cette énième mission des émissaires de la CEDEAO. « Ce diktat de la CEDAO est inadmissible. Il faut que cette organisation saches que nous n’acceptons pas sa politique de deux poids, deux mesures car le Mali est un pays souverain », martèle un leader d’une association très active sur le terrain.
En tout cas, un autre front républicain qui veut que le peuple malien dans son ensemble soit consulté pour désigner le Président de la Transition et pense que la convention nationale est un piège pour le CNRDRE.
Les acteurs de ce front sont très avancés puisqu’ayant ratissé large au sein de la classe politique même dans les grands partis du FDR, des leaders et cadres qui veulent désigner un jeune comme Président de la Transition. Une manière de rompre avec une vieille garde politique en perte de vitesse.
Des noms sont cités tels que Yéah Samaké, président d’un jeune parti, dénommé PACP, Housseyni Amion Guindo dit Poulo de la CODEM, Moussa Mara de « Yèlèma », Madani Tall du parti ADM. Tous étant conscient qu’il faut injecter du sang neuf dans le landernau politique et dans la désignation des hommes qui doivent nous diriger, ce front croit aboutir à la désignation d‘un Président de la transition sans quiproquo. Uen démarche qui cadre avec celle du Président Barack Obama lors de sa première visite sur le continent, avait conseillé la direction de nos états à des jeunes talentueux et expérimentés après un constat d’échec des décennies de gestion des vieux briscards.
Wait and see !
Bokari Dicko
la cedeao cest la verite
sinom sans les accord de la cedeao le mali va perdre 1050 milliard de dons allouer
il faut accepter la cedeao car cest la seul porte de sortie pour le mali
le ùmali na ^meme pas honte crise economique penurie alimentaire penurie de carburant risque des fermeturer de frontiere et beaucouop dautre et vous parler encore de convention
vraiment vraiment est c e que le camp de kati peut faire face a la cedeao pendant 10 minute seulement il faut reflechir beaucoup il faut pas parler pour parler seulement
il faut acepter dioncounda comme cela ont discute pas avec la cedeao cest tres clair
ont sen fout de cette convention a la malienne cest tres clair continuer a gesticuler le mali avancerait sans vous
le chien abois la caravane passe
comment se fait-il que la CDEAO nous impose Dioncounda pour assurer la transition alors que les maliens devriont se prononcer la-dessus ?
nous sommes en démocratie faites votre convention vous avez perdu le mali avancera sans vous.Nous les maliens an ti guè la aw la.Agitez vous sanogo aime son pays et vous?
Vous ne representez personne meme pas votre propre famille wait and see.
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