Trois ans après, que sont devenus les acteurs du coup d’Etat?

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Toiture de son salon à Sélingué : Amadou Haya Sanogo refuse la réfection
Amadou Haya Sanogo

Il y a trois ans, le 23 mars 2012, une junte militaire s’installait au pouvoir au Mali après avoir renversé le président Amadou Toumani Touré (ATT). Un coup d’Etat qui n’a pas empêché la prise du Nord par des groupes armés et autres jihadistes. En 2013, des élections présidentielles ont porté à la tête du pays, Ibrahim Boubacar Keïta. Mais que sont devenues aujourd’hui les principales figures de l’ex-junte ? Quelle image les Maliens ont-ils gardée de ces militaires ?

Le plus célèbre membre de l’ex-junte est en prison. Amadou Sanogo est arrivé le 23 mars 2012 au pouvoir avec le grade de capitaine. Mais, rapidement bombardé général, il est inculpé d’enlèvements et de complicité d’assassinats.

L’histoire, c’est la découverte non loin de Bamako d’un charnier contenant 21 corps de militaires. Ces derniers auraient tenté de renverser Amadou Sanogo à l’époque où il était aux affaires.

Un véritable gâchis

Le numéro deux de l’ex-junte et le numéro trois sont également emprisonnés, en attente de jugement dans la même affaire. Quant au numéro quatre des anciens putschistes, le lieutenant colonel Youssouf Traoré, il a été retrouvé assassiné non loin de Kati, fief de l’ex-junte…..…..Lire la suite sur rfi.fr

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4 COMMENTAIRES

  1. @ walati bon commentaire mais a reflechir dessus un peu plus 😉 .
    Ce n’est pas pour mechant mais le sort de ces soldats rates et cancres sont le derneir de mes soucis.
    Le peuple malien a plus que d’autres priorites de ca. A suivre…. :mrgreen: .

  2. Ils sont morts ou prisonniers.
    Nous avions accusé ATT de complicité avec les narco terroristes,de faire peu pour palier aux failles de nos forces de défense et de sécurité(recrutement,formation,équipement) et de négligence dans les préparatifs des élections.

    Arrivés au pouvoir nous avons eu un groupe de militaire qui n’a cesser de s’enfoncer dans la division des querelles de leadership ils n’ont pas combler nos attentes.

    ATT pouvait il empêcher l’invasion?
    Non! Nous avions accusé Kafougouna de recevoir les envahisseurs avec armes et bagages sachant que notre armée avait trop de failles mais derrière ces groupes il y avait plus puissant que Kafougouna et ATT.La preuve le 21 mai à Kidal nous avions des bataillons formés par des experts européens et dirigés par des officiers admirés par le peuple et pour leur compétence.

    L’invasion a été préparée depuis la Libye et le processus de paix souffre de cette combine encore aujourd’hui.

    Pour ce qui est de l’invasion on a enfin compris c’est pas ATT,c’est pas Kafougouna,c’est MNLA et mentor.

    Pour ce qui reste au 22 mars il n y avait pas d’accord sur la liste électoral à utiliser,
    L’intelligence avec les narco terroristes,
    L’Etat de l’armée,
    Une armée dirigée par des officiers à la loyauté douteuse non les mêmes officiers ont conduit les opérations de reconquête et la bataille du 21 mai.

    ATT bâtisseur doit nous édifier sur l’état des préparatifs des élections de 2012,l’intelligence avec narco terroristes.
    Après Modibo ATT est le numéro deux dans notre classement des anciens président s’il se lave des accusations d’intelligence avec les narco terroristes et de négligence des élections de 2012 il montera en première position.
    Nous affirmons que ceux qui sont responsables de l’invasion sont encore responsables du blocage du processus de sortie de crise.
    Nous ne sommes contre personne,nous sommes seulement pour le Mali.

  3. Le capitaine Sanogo par manque d’expériences n’avait pas su que tout lui retomberait dessus. Il s’est associé avec des hommes qui ont peu de vertu, les assoiffés de pouvoir et d’argent. Des hommes qui ont à un moment de leur vie vénérés les ex présidents AOK, ATT et même Moussa Traore, des hommes de tous les régimes. Eux pavanent aujourd’hui devant un peuple qui n’a que faire d’eux et toi tu dors les rancœurs dans la gorge … Erreur de jeunesse, n’est pas président qui le veut Mr Sanogo .

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