Top secret : vie de la nation La junte, seul maître du jeu

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Le chef de l’ex-junte, le capitaine Amadou Haya Sanogo

Il n’a fallu qu’une petite déclaration pour que la junte militaire se mette en branle. Cette sortie malencontreuse si elle ne sous-tend pas une idée machiavélique aurait pu être évitée par nos porteurs d’uniforme. Car, après avoir accepté le retour à l’ordre normal, la sagesse malienne devrait leur permettre de réagir autrement. Sinon, au Mali qu’ailleurs, malgré l’insistance des USA à ce que la junte se retire totalement, tout le monde sait que rien ne se décide sans eux. C’est pourquoi Lavoisier a dit : «Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme». Seul maître du jeu, nous en sommes conscients mais il important qu’ils nous laissent respirer au minimum. Puisque la terre ne va pas s’arrêter, le Mali va continuer sans nous tous.
Recasement
Pas seulement Sikoro Sourakabougou
«Le Conseil des Ministres a entendu une communication relative aux mesures envisagées suite à l’éboulement survenu à Sikoro Sourakabougou en Commune I du District de Bamako.
Suite à l’éboulement de la colline sur des bâtiments à Sikoro ayant entraîné la mort de quatre personnes, le Gouvernement a  procédé à l’identification des zones à risque d’éboulement et au recensement des familles concernées.
Le Conseil des Ministres a décidé d’installer provisoirement les 144 familles identifiées  à un endroit approprié et un site sera identifié dans un délai de trois mois pour leur recasement.», Conseil des Ministres du mercredi 5 septembre 2012. Cette décision est salutaire mais il est important que le gouvernement pense au recasement de nombreuses familles qui souffrent cette année de la pluviométrie. Notamment à Sabalibougou, Kabala, Samé, Lassa et Sénou.
LA COPAM
Sale temps pour les arrivistes !
Le coup d’Etat a été jugé pour certains cadres du pays comme étant le moment de leur réhabilitation. Bien qu’ATT leur ait tout fait alors qu’ils n’en avaient pas les droits. Il s’agit notamment de Hamadoun Guindo, Adama Traoré, Oumar Mariko et d’autres. C’est pourquoi, il n’a fallu qu’une portion de vérité pour qu’ils se dribblent. Finalement, s’étant retrouvé pour leurs intérêts sordides, ils ont fini à se discréditer. Rien n’est fait d’abord car Seul Dieu est éternel ! D’où ce sale temps pour les arrivistes.
Soumi aux USA
Sur invitation !
Il n’a fallu que le patriote et intègre candidat du parti de la poignée de mains soit invité aux USA pour que pleuvent les critiques acerbes à son égard. Accusé à tort ou à raison, bien que le Capitaine Sanogo ayant dit ceci : «l’attaque de Soumi est un règlement politique,..», Soumi reste au-devant de la scène depuis quelques jours. D’ailleurs, il en tire profit car si la presse ignore un homme politique, le peuple va t’ignorer. Mais que chacun sache que même dans son lit d’hôpital, Soumi a défendu au Mali. Les choses se sauront plus tard. Et la vérité va triompher, Inchallah !
AKK AU MIC
Déjà des résultats tangibles !
La valeur n’attend point le nombre des années. Abdel K. Konaté, dès sa nomination à la tête du ministère de l’Industrie et du Commerce s’attendait à une épreuve rude. Connu pour son courage et son abnégation, son franc parlé et son sens des affaires, le Secrétaire général adjoint du parti majoritaire vient de donner une bouffée d’oxygène au Premier ministre CMD et au gouvernement. Car, il est sur la voie du dénouement du problème de Sukala s.a et de la Sonatam. Puisque déjà les préavis de grève déposés ont été levés. Pour qui sait ce que coûte une grève pour un pays, il peut commencer à se préparer pour le janjo. Même s’il lui reste le fameux problème de la situation de la chambre de commerce et d’industrie du Mali sur lequel il s’attèle déjà. Car, de sources proches de ce dossier, il doit rencontrer les protagonistes en fin de semaine ou en début de la semaine prochaine. Certainement également décanter cette situation délicate pour la transition. Bon vent jeune Ministre !
Rassemblées par la  Rédaction

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7 COMMENTAIRES

  1. NE PAS SE TROMPER DE COMBAT, LA CEDEAO ÉPAULE LES MALIENS POUR ASSUMER LEUR SOUVERAINETÉ ET LEUR CITOYENNETÉ

    Bonjour,
    Après la lettre envoyée à la CEDEAO par le Président de la République du Mali par Intérim, certains Maliens se posent des questions et ont l’impression que la CEDEAO va leur arracher une partie voire toute leur souveraineté et/ou faire la guerre à leur place.

    Certainement pas, la CEDEAO ne veut pas arracher aux Maliens leur souveraineté, ni faire la guerre à leur place.

    Le Mali appartient aux Maliens, la CEDEAO en est consciente, c’est pourquoi, la CEDEAO a accepté le gouvernement d’union nationale qui a été constitué au Mali sur proposition du Premier Ministre, Cheick Modibo Diarra, et validation du Président, Dioncounda Traoré.

    Concernant la lettre envoyée à la CEDEAO par le Président, compte-tenu de la crise Malienne, après avoir mis en évidence l’urgence d’une action concertée et coordonnée du Mali, de la CEDEAO et de la communauté internationale, elle demande une aide à la CEDEAO dans le cadre du recouvrement des territoires occupés du Nord et de la lutte contre le terrorisme.

    Cette aide concerne principalement le renforcement des moyens logistiques et des capacités antiterroristes, l’appui par une police scientifique pour une guerre électronique, le soutien et l’appui aérien aux forces de défense et sécurité du Mali, la sécurisation et le contrôle des villes conquises, l’acheminement de l’assistance humanitaire et un détachement de liaison avec la MICEMA qui pourrait être déployé au sein du centre de coordination des opérations de sécurisation des institutions de transition du Mali.

    Ainsi, avec ou pas l’usage de la négociation, l’aide souhaitée convient pour une guerre directe que pourrait mener les forces de défense et sécurité du Mali avec une sécurisation des villes conquises faite par la CEDEAO mais aussi pour une guerre informationnelle (guerre électronique axée sur des renseignements vérifiés et sécurisés et sur une police scientifique) telle que je la propose.

    Dans tous les cas, les forces de défense et sécurité du Mali seront devant et piloteront les opérations sur le terrain avec une sécurisation des villes conquises qui sera assurée par la CEDEAO/UA/ONU.

    Alors, que veulent certains Maliens qui s’opposent à cette proposition du Président ou à celle de la CEDEAO ?

    La lettre du Président laisse la liberté de choix au Mali pour l’opérationalisation sur le terrain. C’est donc aux Maliens que revient la lourde tâche de faire le choix entre la guerre directe avec ou sans négociation préalable, la négociation et une guerre informationnelle (plus précise) telles que je les propose ou toute autre combinaison.

    A la manière de ce que dit le Président Obama, aux Américains, c’est, maintenant, aux Maliens de faire le choix définitif pour transformer l’espoir en opportunités pour libérer le Mali, pour le développer durablement et pour générer le bien-être pour tous.

    COMPTE-TENU DE LA SITUATION, LES MALIENS N’ONT PAS LE DROIT DE SE TROMPER DE COMBAT, QUI NE DOIT PAS ÊTRE CONTRE LE PRÉSIDENT OU LE GOUVERNEMENT DE TRANSITION OU CONTRE LA CEDEAO OU LA MÉDIATION.

    LES MALIENS DOIVENT FAIRE LE BON CHOIX POUR PRENDRE EN CHARGE, DANS L’UNITÉ, LEUR PROBLÈME COMMUN.

    Pour ce faire, la participation et l’engagement de tous, ainsi que le fait de prendre leurs responsabilités et assumer leur citoyenneté sont indispensables.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
    E-mail: Anasser_AgRhissa@yahoo.fr

  2. nous nous connaissons entre militaires cedeao sur les théâtres d’opération..encore de la fanfaronnade …les maintien de la paix c’est une promenades pour se refaire une santé financière …1million huit cent milles par mois pendant 1 an…
    là il s’agit de faire la guerre au nom de la patrie..
    De bons officiers habiles stratèges,une bonne chaine de commandement et surtout des hommes valeureux prêts à mourir pour la patrie .Ce qu’on ne retrouve pas présentement dans l’armée malienne…des fuyards…
    les câbles de wikileaks renseignaient assez sur la valeur de l’armée malienne bien avant les déroutes successives que l’on connait sur les théâtres d’opérations du nord .La vidéo sur youtube de Ce soldat de katy qui s’en prenait férocement à son frère d’arme béret rouge qui disait qu’il faut être fou pour mourir pour le mali a fait le tour du monde…des fuyards…
    si vous saviez comment faire vous n’alliez pas fuir et abandonner le matos et les populations du nord.
    vous n’êtes pas prêts à aller jusqu’au sacrifice suprême et il le faudra dans la situation présente..du corps à corps des combats de proximité et non des combats à distance comme vous saviez si bien le faire quand il s’agissait de massacrer sans pitié vos frères d’armes bérets rouges.
    Eux au moins sont bien formés au corps à corps…vous avez éliminé ce corps par jalousie car la plupart d’entre vous ont été recalé au tests de sélection des para-commandos.
    si le nord doit étre libéré ce sera le travail de para- commando et non de blindés ou d’armes lourdes,il s’agit d’une guérilla…
    Or, vous n’avez plus de para-commandos puisque le débile capitaine qui n’est faut-il le rappeler qu’un officier subalterne qui ne connait rien des stratégies qu’on enseigne dans les écoles de guerre en a décidé ainsi

  3. Les maliens sont un peuple d’ignorants qui doivent disparaitre de la surface de la terre. Des abrutis s’alignant derrière une junte dont le chef n’a pas le QI d’un signe de 6 semaines.

    Le mali est désolant! les maliens sont pathétiques.

  4. Pire qu’une tautologie si nous nous évertuons encore à diagnostiquer les maux de notre pays, le Mali, dont nous nous réclamons sans cesse en évoquant des hommes et des femmes illustres du passé. Les maux sont connus, cernés et ciblés ; seulement, ceux qui devaient ou doivent les éradiquer depuis, se plaisent et en font une source pour parvenir, se maintenir, voire se succéder.
    Il est nécessaire d’avoir une vision claire et proposer des remèdes à court, moyen et long termes aux maux endémiques relatifs à :
    – L’insécurité au Nord du Mali,
    – La Démocratie et l’autorité de l’État,
    – L’école malienne,
    – La santé,
    – L’agriculture et la commercialisation des denrées,
    – Le commerce,
    – La circulation routière et le transport,
    – La sécurité urbaine et interurbaine,
    – La communication : les médias,
    – L’élection présidentielle.
    Nous retiendrons une fois pour toute que l’essor d’un pays, comme le nôtre, repose sur les domaines suivants :

    – L’unité répondant à la devise de notre nation : Un Peuple – Un But – Une Foi ;
    – L’appel de notre hymne national qui en dit plus ;
    – L’autosuffisance alimentaire par le développement de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche
    – L’éducation avec une politique éducative qui débouche sur l’emploi des meilleurs, voire une façon de cultiver l’excellence dont on parle tant ;
    – La santé par le développement des centres et surtout le recrutement des médecins, infirmiers et autres techniciens ;
    – La sécurité de l’intégrité territoriale, de la société civile, par le recrutement et la formation militaire avec les moyens adéquats.
    Le combat à engager illico presto consiste à dépêcher les moyens logistiques, l’armement nécessaire, les hommes sur les terrains des opérations avec les mesures d’accompagnements.
    – Ne plus négocier la paix avec les touaregs rebelles appelés à tort bandits armés. Une rébellion ne se négocie pas, elle se mate.
    – Ramener, le plus vite que possible, les officiers connus de tous avec l’armement nécessaire et les hommes valeureux pour juguler cette crise.
    – Arrêter de distribuer l’argent du contribuable malien aux apatrides, aux revenants, aux barbares.
    – Récupérer les armes et les engins de ces revenants qui d’ailleurs ne sont pas tous des maliens.
    – Favoriser le retour et la sécurité des réfugies maliens non impliqués dans la rébellion du nord.
    – Restaurer rapidement l’autorité de l’État à tous les niveaux ;
    – Rencontrer les différents syndicats des travailleurs du Mali, leur expliquer et les inviter à surseoir à tout mouvement pouvant freiner la marche vers la restauration de l’autorité de l’État ;
    – Lutter contre l’incivisme, l’absentéisme, la gabegie, la corruption, la vénalité dans tous les secteurs étatiques et économiques, en prenant des sanctions conséquentes et pas des moindres ;
    – Procéder à la vérification des Attestations, des Brevets, des Certificats et des Diplômes scolaires dans tous les services et au sein des Forces Armées et de Sécurité ;
    – Arrêter la distribution de galons au sein des Forces Armées et de Sécurité ;
    – Arrêter le favoritisme, le népotisme lors des recrutements dans l’armée, à la police, à la gendarmerie etc.
    – Décider de l’existence d’une seule Fonction Publique de l’État qui gère tous les travailleurs ;
    – Favoriser et promouvoir le recrutement des jeunes dans le secteur privé et par les privés qui doivent les inscrire à l’Institut de Prévoyance sociale (INPS) ;
    – Amener tous ceux qui ont dilapidé les biens de l’État, à payer ;
    – – Revoir la pertinence du nouveau découpage administratif par rapport à l’existant

  5. Le problème du Mali est bien connu, il s’agit du lâche coup d’état du 22 Mars 2012 et surtout la nomination de Cheick Oumar DIARRA comme premier Ministre et depuis les choses se sont empirées.
    Les Américains savent très bien qui sont le capitaine SANOGO et le Premier Ministre, tous deux sont friands de l’alcool et des fesses, voila pourquoi le mali s’effondre car leurs attitudes ne sont pas compatibles avec les religions maliennes. En cela il faut regretter le soutien de Mohamedou DICKO du HCI à ces deux farfelus.
    Tenez vous bien, Le capitaine SANOGO à été renvoyé du prytanée militaire pour insuffisance de niveau, le lieutenant KONARE a échoué à son brevet de para , quant à l’adjudant Seyba DIARRA il a été renvoyé du régiment para pour indiscipline, voila les trois soulards qui veulent diriger notre armée; Mais que non non et non .Mais dans les jours à venir la donne va changer car le Capitaine SANOGO sera poursuivi par la CPI

  6. Notre vrai problème, c’est Sanogo et sa bande de cons congénitaux. Ils ont commis des choses terribles après le coup d’Etat et ils vont devoir tôt ou tard en répondre devant une juridiction. Du coup, ils se sont barricadés à Kati. Je prie pour que la CEDEAO bombarde le QG de Sanogo et même tout la camp SOUNDJATA, un camp qui n’honore plus le nom qu’il porte.
    Il faut que nous soyons acerbes et sans concession pour les ennemis du Mali. Ceux qui s’opposent à la venue de la CEDEAO ne pourront rien faire pour l’empêcher. Si la CEDEAO a pris tout ce temps, c’est pour nous respecter et s’inscrire dans une certaine légalité. Maintenant, c’est chose faite. Vivement le déploiement. Par ailleurs, je suis d’accord qu’il ne faut surtout pas remettre ces armes à Sanogo et compagnie. Tout ce qu’ils savent en faire, c’est de nous terroriser dans ce qui reste du Mali. Sinon, depuis le 22 mars, quelles actions concrètes ont-ils fait pour libérer le pays ? GANDA IZO a au moins osé aller s’installer à Douentza avant d’en être délogé par le MUJAO. Notre armée qui a bien plus de moins aurait y déplacé sa ligne de front. Mais non, elle a laissé le champ libre au MUJAO. Et puis, chose curieuse, quand Sanogo, le PM et leurs alliés parlent de nos armes bloquées par la CEDEAO, ils oublient toujours de mentionner que c’est ATT qui a commandé ces armes en procédure d’irgence en juillet dernier avant le coup d’Etat idiot du 22 mars. Sanogo, le PM et leurs alliés font comme si ce sont ces armes qui vont nous faire gangner la guerre alors qu’une guerre est avant tout une affaire d’hommes engagés pour leur partie, pour une cause. Ce que nous ne semblons plus avoir.

  7. 1) C’est drôle certaines argumentations. Depuis plus de 50 ans d’indépendance, la CEDEAO n’est jamais venue régler les questions de sécurité du Mali. Que les militaires maliens cessent de prendre leurs compatriotes pour des bébés. Si l’armée malienne peut libérer le pays seule, elle n’a qu’à le faire. Sinon, elle n’a pas à poser des conditions à ceux qu’elle quémande. En tout cas, ces soldats saisis de peur panique à la vue de barbus (ce sont des faits et cela dure depuis plus de 5 mois), ne peuvent pas continuer à s’opposer à l’arrivée des troupes de la CEDEAO et continuer à se barricader à Bamako en compromettant le développement et la sécurité du Mali, de ses voisins, voire du monde. PARCE QUE CETTE ARMEE A COMME SOUCI ESSENTIEL DE PRESERVER SON POUVOIR ARBITRAIRE DES ARMES QU’ELLE EXERCE SUR LES POPULATIONS DU SUD MALI, TYRANNIE QUE L’ARRIVEE DE TROUPES ETRANGERES MENACERAIT. Tous les jours, depuis 5 mois maintenant, de la part des militaires maliens, les faits sont: salaires gratuits, alcools, drogues, filles, grosses cylindrées, vols, saccages des biens de l’Etat, arrestations arbitraires, coups de bottes, de crosses et de marteaux infligés au civils désarmés du Sud Mali, opposition avec insulte du Président traité d’irresponsable sur RFI. Au même instant au Nord Mali, ce sont: vols, viols, enlèvements, flagellations, profanations, assassinats et trafics en tout genre (cigarettes, armes, drogues, humains…). Que d’entreprises qui ferment avec son corollaire de jeunes en chômage qui iront probablement grossir le rang des bandits armés, que mort du tourisme, que nomades notamment de touaregs à l’exil, que sautereaux qui pointent à l’horizon, que choléra à Gao. Est-ce cela la fierté malienne, l’orgueil malien, le nationalisme/chauvinisme malien ?
    2) Mais tristement, ATTENDANT STOIQUEMENT LES REACTIONS DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE, LES PARTIS POLITIQUES ET AUTRES ACTEURS CONSCIENTS ne font pratiquement rien pour défendre la nation en danger : des communiqués laconiques des partis politiques, quelques tressautements du COREN, des stades remplis par le HCI pour prier pour la paix. VOUS NE POUVEZ PAS ENTRER DANS UN GOUVERNEMENT ET NE PAS ETRE COMPTABLE DE SES RESULTATS. C’est pourquoi le gouvernement est obligé de REAGIR face à l’inertie des militaires, ou DE DEMISSIONNER. MAIS AUCUNE PROTESTATION VIGOUREUSE COORDONNEE DES ACTEURS CONSCIENTS DE LA SOCIETE PAR DES MARCHES DE MASSE, DES SITTINGS DE MASSE, DES GREVES NATIONALES, DES JOURNEES DE VILLE MORTE, CONTRE L’OPPOSITION STERILE DE L’ARMEE MALIENNE.
    3) Quant aux brigades d’autodéfense qui font leur travail GRATUITEMENT, bien sûr qu’il ne faut pas encourager les milices anarchiques, ELLES DOIVENT SIMPLEMENT ETRE ENCADREES PAR L’ARMEE, mais SUREMENT PAS ËTRE DETRUITES. TOUTES LES ARMEES DE LA CEDEAO REUNIES NE POURRONT PAS PROTEGER TOUS LES VILLAGES ET VILLES DE LA LIGNE DE FRONT. Seules les brigades d’autodéfense, utilisées avec succès par l’armée malienne dans un passé récent au Nord, pourront se protéger du harcèlement par les bandits armés de villages et villes dégarnis…

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