Les militaires du 33è Régiment des commandos parachutistes communément appelés Bérets-rouges avaient convié leurs compagnons d’armes au Camp-para de Djicoroni pour un rassemblement en vue d’exprimer leur présence inactive et leur engagement pour la reconquête du Nord. En attendant la réaction des autorités, force est d’admettre que l’unification de l’armée nécessite une réponse purement politique.
Ce 31 janvier, les populations bamakoises ont été surprises de voir des Bérets rouges en circulation, surtout quand on sait que depuis un certains temps, le port d’un béret rouge était interdit. En fait, tous les militaires de ce régiment avaient décidé de se faire entendre à travers leur rassemblement au Camp-para en réponse à des rumeurs de désertion des éléments de ce régiment d’élite. Cette mobilisation fait suite à un début de dénouement de la tension entre Bérets rouges et verts grâce à la libération de certains Bérets rouges, de gendarmes et même de civils supposés être des mercenaires ayant participé au contrecoup d’Etat.
Suite à la guerre et à la faveur d’une déclaration, les Bérets-rouges ont exprimé, à l’intention des autorités, leur cri de cœur relatif à leur espoir de participer aux opérations militaires, en renfort aux les militaires sur le terrain. Les Bérets-rouges tiennent à participer au front avec leurs frères d’armes, sans aucune rancune, et cela, même sans leur ancien chef, Abidine Guindo.
Pour la première fois, un problème militaire va certainement se résoudre par une solution purement politique. Mais au moment du rassemblement de ces Bérets rouges, le Camp-para était sous le contrôle de la Garde républicaine. Par ailleurs, dans les rues de Bamako, l’hypothèse d’une vengeance entre les Bérets rouges et verts au front n’est pas à écarter, car leur collaboration suscite des grincements de dents, surtout que le militaire ne blague pas avec son honneur. Comme autres suggestions, puisqu’il s’agit d’une cause malienne, il convient que les uns et les autres se plient à l’urgence du gouvernement qui est la reconquête du Nord et l’organisation d’élections générales courant 2013.
M. Bellem
Au Mali les questions militaires se réduisent à n’être que des querelles de chiffons de tête. Bérets verts contre bérets rouges antérieurement missionnés à la défense du satrape planqué désormais à Dakar.
les berets rouges ne veulent porter le beret vert qui appartient aux femmes.ils etre sur le terrain avec leurs berets.un beret vert au mali est synonine se slip et beret rouge soutien gorge.ils sont tous des imbeciles et des voleurs.sanogo est un pedophile et ses apprentis des violeurs
Je ne pense pas que les berets rouges peuvent faire le poids. En effet, ils ont ete’ vaincu par sanogo, et quant on a ete’ vaincu par un apprentit soldat comme sango, cela’ entraine immediatement qu’on sera vaincu par qui que ce soit. A’ mon avis, les berets rouges doivent rester tranquilement chez eux.
Ben c’est tout le contraire je pense,les berets rouges ont bel et bien leur place sur le champ de bataille.C’est une unite d’elite qui est specialisee dans les combats rapproches,souvent ils operent sur le champ de bataille sans arme,juste avec leur couteau.
Ce qui est de l’histoire douleureuse du 30 Avril 2012,je vais pas trop me glisser sur ce terrain en disant que cet inepte de kati a vaincu les berets rouges.Car c’est une malhonnetete intellectuelle de declarer un camp vainqueur,alors qu’ils sont tous la pour defendre notre patrie.Grosso-modo,n’envenimer pas le choses,essayons de passer a quelque chose en oubliant cette histoire malheureuse.
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