Aapparemment, l’équipe militaro – civile de notre pays n’entend pas se soumettre à la volonté populaire, aux aspirations démocratiques, et aux injonctions de la communauté internationale. Son Chef, Cheick Modibo Diarra, ne s’est pas encore exprimé sur le sujet. Son tuteur, l’ex – chef militaire, le Capitaine Amadou Haya Sanogo, non plus. Seulement, c’est leur porte – parole, Hammadoun Touré, pourtant très avisé diplomatiquement, qui est monté au créneau.
Lors d’un débat public, suivi par de nombreux maliens, M. Touré est resté évasif sur la ” dissolution ” du CNRDRE. Il a plutôt parlé ” d’absorption ” de l’instance militaire basée à Kati. Les jours suivant, Rfi a révélé la volonté du gouvernement de transition de mettre en place une nouvelle structure dont le nom demeure inconnu à présent. Une sorte de ” machin ” qui regrouperait dans une entité des militaires et des civils. Ce ” machin ” aurait tout simplement un rôle consultatif sur la gestion des affaires publiques.
Autrement dit, ce serait ” blanc – bonnet ” contre ” bonnet blanc “. Un projet de loi serait déjà en gestation. A charge alors pour l’Assemblée Nationale de s’en occuper.
Une chose est claire dans la situation actuelle, le gouvernement dirigé par Cheick Modibo Diarra, sorti de l’Accord – Cadre, est surtout l’émanation du pouvoir CNRDRE. Les militaires occupent les postes – clés et tout se décide à partir de la garnison de Kati. Les nominations dans les cabinets ministériels sont passées au peigne fin.
L’attitude de ce gouvernement est en parfaite harmonie avec les visées des ténors de l’ex – junte.
Pour l’un et l’autre, la présidence transitoire ne serait que de la figuration. A la limite, ils seraient pressés de tourner la page Dioncounda Traoré. En violation des dispositions constitutionnelles de notre pays. A entendre Hamadoun Touré parler, l’on se rend compte que le souhait de ce gouvernement serait que les militaires ne s’effacent pas de la scène politique.
Or, pour les Maliens, du 22 mars dernier à nos jours, le Mali n’a cessé de reculer sur tous les plans. La sécurité nationale a été mise en branle par l’occupation en trois petits jours de trois grandes régions (Gao, Kidal, Tombouctou). L’élection présidentielle du 29 avril 2012 fut avortée à dessein. Histoire d’indiquer que sans putsch, certains hommes politiques de notre pays n’auraient eu accès au pouvoir. L’économie nationale va désormais à vau – l’eau. Les prix grimpent. Denrées alimentaires, carburant…, tout est devenu cher.
Au plan international, notre pays a perdu toute crédibilité. Nos compatriotes du Gabon, du Congo, de la France et d’ailleurs ne peuvent plus se battre la poitrine. Ils ont honte devant d’autres Africains.
Les sanctions internationales planent également. Il suffirait de peu pour que la misère s’installe définitivement.
Les propositions de sortie de crise ne semblent pas enchanter les animateurs du CNRDRE. Après avoir humilié leurs chefs, des officiers supérieurs, et souvent leurs promotionnaires, compagnons d’armes, ils se proposent d’organiser désormais l’Armée. Leur objectif, c’est la reconquête du Nord et c’est dire qu’ils en auront pour une vingtaine d’années. Car, l’on se demande comment le non – respect des engagements pousserait les partenaires à venir en aide au Mali.
Sans la satisfaction de ces deux vœux, le Capitaine Sanogo et autres ne s’effaceront pas. Et il n’aurait pas d’élections. La Mali continuerait à vivre dans un régime d’exception. La constitution d’un ” machin ” participe de cela. Que Dieu sauve le Mali !
B. Koné
la honte va finir par nous tuer.
Le Ministre Touré me surprend à plus d’un titre.Quand il était à l’ONUCI il a remplit honorablement sa mission de Porte Parole.Aujourd’hui dans son pays s’il ne peut pas s’acquitter convenablement de ce devoir Patriotique,il n’a qu’à se taire.Son intervention à la Télévision Nationale et sur RFI le week-end dernier temoigne à suffisance notre constat.M. Touré est resté plus qu’évasif sur la dissolution du CNRDRE. Il a plutôt parlé ” d’absorption” de la junte.
Que Diantre s’il ne peut pas qu’il se taise!!!!! En parlant de la volonté du gouvernement de transition de mettre en place une nouvelle structure dont le nom demeure inconnu à présent,il n’a fait que certifier ce que tout le monde a certifié: une sorte d’une sorte d’ entité qui regrouperait des militaires et des civils. Cette création aura simplement un rôle consultatif sur la gestion des affaires publiques. A entendre Hamadoun Touré parler, l’on se rend compte que le souhait de ce gouvernement serait que les militaires ne s’effacent pas de la scène politique.
J’ai l’impression de rever ! La communauté internationale voit tout, elle fera ce qu’il y a de mieux pour notre pays inch Allah, on ne peut pas rester comme ça sous les ordres de ces lâches. J’ai honte à leur place. Ils doivent être écroués dans le noir 24h/24
LA DESTRUCTION DU CAMP DE KATI RESTE LA SEULE PORTE DE SORTIE A CETTE CRISE.
Le ministre TOURE à la télé n’a fait que confirmer ce que le malien lamda doutais. Le gouvernement CMD n’est autre que la branche politique du CNRDRE.
ESPECE DE BAT LE MALI VA RESTER COMME CELA SOUS VOTRE ENPRISE VOUS ET SANOGO VOUS ALLER DEGAGER ONT NA PAS BESOIN NI DE SANOGO NI DE TOI TOPURE A PLUS FORTE RAISON LES BIDASE
CEST UNE HONTE QUE VOUS AVER INFLIGER AU MALI CEST QUOI CETTE NCRDE LA VRAIMENT QAUTENDE LES JEUNNE POUR FOUTRE DEHORS SANOGO ET TOUT CES CONPLICE VRAIMENT
LE MALI LES USA LUNION EUR LA CEDEAO LUNION AFRICAINE TOUT CES RESPONSABLER DISE NOM A CETE DE MER DE CNRDE
LE MALI VA ¨PAS CREVER DE FAIN A CAUSE DE VOUS TOUTE LES ACTVITER SONT MORT A CAUSE DE CNRDE
PEUPLE DU MALI SI VOUS REAGISER PAS CEST SANOGO QUI VA MONTER AU TRONE
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