Reprise des camps de Boulkessi et de Mondoro : Le ministre Dahirou rétablit la fierté nationale !

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Du 29 au 30 septembre 2019, les  positions de l’Armée malienne à Boulkéssi et Mondoro, ont  subi une attaque terroriste. Le 1er bilan de cette attaque a fait objet de quiproquo et de diverses interprétations. Pour apporter la précision, le ministre en charge de la Défense et des Anciens Combattants, le Gal Dahirou Dembélé, a rendu public un communiqué, qui fait état de 38 morts au lieu de 25.  Cette précision émanant du sommet de la hiérarchie militaire, a mis fin à des polémiques. Aussi, l’information relative à la reprise des camps de Boulkessi et de Mondoro par les FAMas, a été de nature à susciter de la confiance du peuple malien en son armée.

En effet, dans la nuit du 29 au 30 septembre, le camp des Forces Armées de Boulkessi et le poste militaire  de Mondoro, dans la région de Mopti, près de la frontière avec le Burkina Faso,  ont subi une attaque terroriste.

Cette attaque a occasionné  la mort de plusieurs soldats maliens. Dans le feu de l’action, le ministre Porte-Parole du gouvernement, a annoncé un bilan moins juste. Ce bilan rendu publique le lendemain de l’attaque, soit le 1er octobre, faisait état de 25 pertes en vie humaine dans les rangs des Famas,  4 évacués par aéronefs FAMas sur Sévaré, une soixantaine de portés disparus et de lourdes pertes en matériels.

Aussi, le communiqué du porte-parole du gouvernement mentionnait la mort de 15 terroristes et de 5 véhicules détruits par des frappes aériennes pour la reprise des positions perdues.

Ce communiqué mal à propos a été au centre d’une grande polémique ayant conduit à des réactions spontanées dans certaines garnisons.

Cependant, deux jours après ce 1er communiqué, le ministre en charge de la Défense et des Anciens Combattants, Dahirou Dembélé,  dans un communiqué a apporté la rectification nécessaire pour faire taire les polémiques veines.

Contrairement au premier communiqué, ce 2ème bilan annonce la mort de 38 soldats maliens,  8 autres blessés, 30 disparus et 50 portés disparus.

Par ailleurs, la reprise des positions de l’armée malienne en ces deux camps a été une très grande source de satisfaction pour le peuple malien. Cette action coordonnée par le ministre Dahirou, sur le terrain,  qui est presqu’une première du genre, renouvelle  d’une part la confiance du peuple malien à son armée et d’autre part,  le rétablissement de la fierté nationale.

A noter que pour la circonstance,   trois jours de deuil national sur toute l’étendue du territoire national  a été décrété par le  président de la République,  lors du conseil des Ministres du 2 octobre. Par conséquent, il a été ordonné de mettre en berne le drapeau national.Bravo à l’armée malienne !

Par Jean Joseph Konaté

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2 COMMENTAIRES

  1. Le salut aurait été de prévenir ces attaques surprises et même de les empêcher.
    Le contrôle aérien des zones de conflits doit être permanent. L’armée doit être équipée de façon irréversibles en avions de combat et de suveillance afin de lui permettre d’accéder aux zones difficiles d’accès ou aux refuges de l’ennemi.

    Il ne faut jamais badiner avec l’aviation militaire dans ces genres de conflits.

    • https://www.maliweb.net/faits-divers/un-mari-violent-tabasse-sa-femme-infidele-et-la-force-a-decapiter-son-amant-2897636.html

      Un Américain est accusé d’avoir forcé sa femme infidèle à décapiter son amant.

      Armando Barron a été arrêté vendredi dernier dans le New Hampshire. Cet Américain de 30 ans est accusé d’être lié au meurtre d’un homme, Jonathan Amerault, âgé de 25 ans. Le corps de la victime avait été découvert dans une forêt le 22 septembre. Trois jours plus tôt, le suspect aurait découvert que sa femme, Britany Barron, 31 ans, le trompait, en fouillant dans son téléphone portable. Il aurait ensuite appris que son amant était un certain Jonathan Amerault, avec qui elle travaillait.

      Fou de rage, l’homme aurait passé son épouse à tabac, lui mettant même, selon son témoignage, une arme dans la bouche. Il l’aurait ensuite étranglée sur leur lit, provoquant chez elle une perte de connaissance. Un peu plus tard, il se serait servi du téléphone de la jeune femme pour envoyer un message à Jonathan Amerault, afin de le piéger en lui donnant rendez-vous. Le magazine «People» explique qu’il l’aurait alors rencontré dans un parc, le frappant lui aussi violemment. Puis, il aurait demandé à sa femme de lui tirer dessus. Ce qu’elle aurait refusé. C’est finalement le mari qui aurait appuyé sur la gâchette, au moins trois fois.

      Comme toujours ces sales blanches sont des GRO$$€$ PUT€S $ALOP€$!
      Et encore son mec était sympa de l’épargner, elle aurait pu se faire fracasser pour lui faire comprendre a FAUT€!

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