Querelle inutile entre bérets rouges et bérets verts : Du désespoir pour les Maliens

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Pendant que l’armée malienne, Française, Tchadienne et tant d’autres sont en train de vaincre l’ennemie qui occupait de façon illégale les régions nord de notre cher pays qui était soumis à la charia. Grace à une intervention anticipée par la France le 11 janvier dernier. Au moment où les islamistes ont tenté de prendre le contrôle de Konan, une localité de la région de Mopti. C’est justement cette même période que choisissent les bérets rouges et les bérets verts pour une fois de plus déstabiliser Bamako.
Le vendredi 8 février dernier, c’est suite à des échanges de tirs que les habitants de Djicôrôni Para se sont réveillés. Les éléments du 33ème régiment parachutiste (bérets rouges) et les Bérets verts étaient une fois encore en guerre. Des affrontements suite à la quelle  deux personnes ont rendues l’âme et  treize personnes ont été gravement blésées quelques cas de blessés léger ont également été constatés.
Cette histoire a commencé en mars 2012 suite au coup d’Etat militaire qui a renversé le pouvoir d’Amadou Toumani Touré. Comme nous le savons déjà tous, le président ATT était lui-même un béret rouge. Ainsi, Il accordait beaucoup plus de valeur à son propre béret que tous les autres. D’où l’aigreur de certains bérets verts contre eux…
Après le coup d’Etat du 22 mars, les bérets rouges qui n’arrivaient toujours pas a digéré la façon dont le régime d’ATT a été renversé. ont tenté un contre coup d’État qui s’est soldé par un échec. D’où l’arrestation de plusieurs bérets rouges, c’était en fin avril 2012. Lors de ce contre coup d’Etat, des nombreux dégâts matériels et des centaines de perte en vie  humaines ont été constatés. Suite à cela, le capitaine Sanogo avec le soutien des responsables militaires ont décidé d’insérer les bérets rouges entre les bérets verts. Ce qui ne semble pas être du gout de ces derniers. De manifestations en manifestations les femmes et les enfants de ces derniers ont pu réussir à faire libérer plusieurs d’entre eux. Parmi les bérets rouges relâchés certains ont accepté sans trop de protocole leurs affectation, d’autres ont même rejoint les fronts pour se battre contre l’ennemie, beaucoup d’autres sont restés ici à Bamako en attendant leurs affectations. Selon plusieurs sources concordantes, l’échange de tir qui les a opposés vendredi dernier serait parti d’un malentendu. Comme quoi les bérets rouges s’apprêtaient une fois de plus à attaquer les bérets verts.
Le président Dioncounda Traoré à traves un message adressé à la notion suite à ces affrontement, a instruit au gouvernement de vite trouver une solution à cette affaire qui ne fait que ternir l’image de notre chère armée qui a plus que jamais besoin d’union sacrée. Surtouts que le monde entier on les yeux braqués sur notre cher grand Maliba.
SEYDOU KARAMOKO KONÉ

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8 COMMENTAIRES

  1. ce sanogo et ses ouailles fnt honte au mali il est temps quon mette fin a leurs derives par tous les moyens car cela ne peut continuer indefinement ils ne snt pas les seuls maliens a bon entendeur salut

  2. Rien que du désespoir les bérets rouges font honte à la nation toute entière qui disent le mali d’abord mais c’est des vrais apatrits s’ilya un autre mot pour les qualifier.

  3. Il faut comprendre que le reste des berets rouge sont instrumentalisés par les politiciens. Sinon l’heure est à la guerre au nord et ils ont été affecté à cette . Aulieu d’aller faire leurs preuves au nord certains beret refusent les ordres et jouent au syndicalisme. Il est clair que le regiment comado ne sera jamis dissous (d’ailleur il faut une loi votée par l’assemblée pour ça) alors qu’ils aillent combattre d’abord au nord au lieu de jouer les perturbateur devant leurs femmes à Bamako.

  4. Quel article nous sert encore ce amateur de la presse écrite, avec des fautes, des incohérences, des contre vérités, et une partialité qui saute à l’oeil. Dommage que dans ce Mali de la médiocrité, tout le monde est savant.

  5. Sanogo savait lui même qu’il ne pourrait pas gagner seul la bataille face au terroristes alors il s’est vendu en négociant avec les teroristes dans le but de renversé le pouvoir en place et avoir une place de choix au sud du mali.
    Sanogo ne préférerait pas que l’amrée française intervienne, et pour cause, il voulait apparaitre comme seul sauveur possible du mali du sud et il aurait réquisitionné les pleins pouvoirs, autrement dit il s’est vu président le mali du Sud, maintenant il tente de sauvé sa face, mais par derrière il manipule les berets rouge comme des marionnettes pour troubler le pouvoir en place.
    Il faut donc éliminer Sanogo sans délais.

  6. Ce journaliste est faux. Il est partial. Il ne connait rien de ce qui s’est passe et ce qui se passe entre nos vaillants soldats.

    Doc qu’il se taise. On est plus a l’heure de l’amateurisme.

  7. LE FLAMBEAU ne peut-il pas faire ce que font TOUS les organes presse du monde, à savoir, relire et corriger avant de publier??? Ca relève du professionnalisme le plus élémentaire et c’est le B-A-BA de la rigueur professionnelle!!!

    Oser publier pareil torchon est un manque respect total pour le lecteur: Entre les fautes de syntaxe, la formulation catastrophique avec des phrases tronquées, et les fautes d’orthographes qui foisonnent, il y quand même des limites à ne pas dépasser!

    “Le président Dioncounda Traoré à traves un message adressé à la notion suite à ces affrontement, a instruit au gouvernement de vite trouver une solution à cette affaire qui ne fait que ternir l’image de notre chère armée qui a plus que jamais besoin d’union sacrée. Surtouts que le monde entier on les yeux braqués sur notre cher grand Maliba”

    Ces 4 dernières lignes à elles seules sont un morceau d’anthologie, tant sur le plan de la formulation que de l’orthographe!!!

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