Le capitaine Amadou Haya Sanogo, responsable moral du putsch du 22 mars, son ancien directeur de cabinet et non moins actuel ministre de l’Administration du Territoire, le Colonel Moussa Sinko Coulibaly et le très emblématique chef du théâtre des Opérations militaires, le Colonel Didier Dacko, passent généraux.
Amadou Haya Sanogo, comble de l’ironie coiffe désormais ses deux chefs hiérarchiques. De capitaine, Dioncounda Traoré le bombarde général de corps d’Armée, tandis que, ses chefs en temps normal, se contentent des grades de généraux de brigade. Que dire de plus ?
Le Président de la République a tenu à marquer son passage à la tête de l’Etat de Mali, en laissant au nouveau président, Ibrahim Boubacar Keïta, une bien chaude patate, quitte à ce dernier de le manger à chaud ou de le mettre dans le frigo en attendant le bon moment. Mais, connaissant la méthode très polissée d’IBK mélangée à son sens très pratique de chef strict quand il est question de discipline, face à un Amadou HayaSanogo instable, bondissant sur toutes les occasions, ne ratant aucune sortie, genre m’as-tu vu, les jours et mois à venir édifieront à moins que, nanti de l’inespérable gratitude de Dioncounda, il ne bénéficie d’un poste à l’étranger. Ce que, le président Ouattara a réussi avec les principaux chefs militaires de Gbagbo que sont : les généraux Mangou Philippe et TiapéKatsaraté Edouard, tous deux envoyés au Gabon et au Sénégal comme ambassadeurs.
Revenant sur l’affaire, les maliens en sont encore à se demander comment, un républicain de la trempe d’un Dioncounda Traoré peut – il se laisser aller à un tel laxisme. Légitimerait – il pour ainsi dire le putsch du 22 mars ? Les maliens n’en pense pas moins, en tout cas sur les deux putschistes.
Quant au Colonel Didier Dacko, les maliens de Bamako interrogés par nos soins, sont unanimes. D’après ces Bamakois, L’officier général aurait dû bénéficier plus. Son engagement au front, sa grande discipline et son sens élevé du devoir, lui devraient beaucoup plus que ce que, le président Dioncounda lui a offert.
Maintenant, reste à savoir si, le tout nouveau général Amadou Haya, dans la foulée, bénéficie des avantages d’un ancien chef d’état, un privilège que les maliens ne pourront tolérer.
Sory de Motti
un âne restera toujours un âne il faut un gos baton pour le dirigé vert la ont veut qu’il aille restons a applaudir et raisonné les personnes qui viole notre loi fondamentale MR rien et absolument rien ne justifiais un coût d’état mali taire le monde et l’Afrique sans sortira sans nous quand les maliens sont encore incapable d connaitre les dégâts de se coût d’état c’est lamentable rien n’a dire nous vaonspris plus bde 10 ans de retard encore
pourquoi tant de polémique sur ce valeureux soldat qui à ses risques et périls malgré son jeune Age à eu le courage de faire tout ce que le peuple ambitionnait dans son fort intérieur. de Grâce ne soyons aussi ingrat et égoïste envers un bienfaiteur. reconnaissons le mérite et apprécions qu’il a su quitter le pouvoir en un moment où personne ne pouvait l’obliger; il a facilité le retour à l’ordre constitutionnel et a prouver qu’il n’avait pas agit contre une personne mais pour l’intérêt du peuple sinon il n’aurait du pas accepter l’Exil de l’autre.
N’est il pas un patriote qui mérite respect? la logique veut l’affirmative et la culture de la reconnaissance veut qu’on lui tire le chapeau et à l’unissons remercions et félicitons le capitaine pour son bravoure pour son acte et sa modestie pour avoir refuser la présidence et faire respecter la constitution de son pays. le cas Capitaine doit être enseigné dans les écoles à titre d’exemple de patriote très braves dans les cours. merci
Le pouvoir ne se donne pas il s’arrache en Afrique
Le seul arme lourde des malien(e)s doit être basé sur la bonne gestion du nouveau Mali et de donner des bonnes idées au nouveau dirigent venant;donc faisons ensemble pour que notre pays le Maliba ne soit plus tangué comme nous le disons.
Ensemble nous pouvons.
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