Point de presse MINUSMA – Mission des Nations unies au Mali – Minusma•

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Mme Radhia Achouri, porte-parole de la Minusma
Mme Radhia Achouri, porte-parole de la Minusma

Activités de la direction de la MINUSMA

 Le 8 septembre, le Chef de la MINUSMA et Représentant Spécial du Secrétaire Général, M. Mahamat Saleh Annadif, a rencontré le responsable de la Mission de l’Union Africaine pour le Mali et le Sahel (MISAHEL), M. Pierre Buyoya. L’entretien a porté principalement sur le soutien au processus de paix et les efforts respectifs de la MINUSMA et de l’Union Africaine en appui à la mise en œuvre de l’Accord pour la paix.

Le 14 septembre, M. Annadif a rencontré l’Ambassadeur des Pays-Bas, M. Jolke Oppewal, nouvellement accrédité au Mali. M. Annadif a félicité M. Jolke Oppewal pour sa nomination et a échangé avec lui sur la situation au Mali, le rôle de la MINUSMA et le soutien des Pays-Bas à la Mission.

Le même jour, M. Mahamat Saleh Annadif, a rencontré le Directeur Général de l’Etat-Major de l’Union Européenne, le Lieutenant-Général Esa Pulkkinen. L’entretien a porté en particulier sur l’appui de l’Union Européenne et celui de la MINUSMA à la formation des Forces armées et de sécurité maliennes.

Pour sa part, la Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations Unies au Mali et Coordonnatrice Résidente/Coordonnatrice Humanitaire, Mme Mbaranga Gasarabwe, a participé à une cérémonie d’inauguration du projet de sécurisation du camp militaire de l’Armée de terre de Sévaré. Le projet d’une valeur de plus de 26 millions de Francs CFA et financé par le Canada à travers le Fonds Fiduciaire en appui à la Paix et la Sécurité au Mali, est parrainé par la Division Désarmement, Démobilisation et Réintégration (DDR) de la MINUSMA. Ce projet répond à une demande des autorités maliennes et souligne l’engagement de la MINUSMA et du Canada pour la sécurisation du Mali et l’amélioration des conditions de travail des Forces de défense et de sécurité maliennes.

 Processus de paix  

-La 11ème session du Comité de Suivi de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali issu du processus d’Alger se tiendra à Bamako le 21 septembre prochain. L’agenda prévoit une présentation par le Gouvernement des suites données aux recommandations formulées lors de la dixième session du CSA, notamment en ce qui concerne la mise en place des autorités intérimaires et des patrouilles mixtes. La session verra également les présentations et discussions de chacun des sous-comités qui concernent les questions politiques et institutionnelles, les questions de défense et de sécurité, le développement socio-économique et culturel ; la réconciliation, la justice et les questions humanitaires.

-Toujours en soutien au processus de paix, le vendredi 23 septembre se tiendra une réunion ministérielle sur la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali à New York, au siège des Nations Unies. L’ONU co-présidera d’ailleurs cette rencontre aux côté du Mali et de l’Algérie. La réunion vise à solidifier l’engagement de la Communauté internationale et à accélérer la mise en œuvre de l’Accord, dont l’établissement de certaines mesures tarde à se concrétiser, rendant difficile l’atteinte d’une paix durable de même que l’application de la résolution 2295. Rappelons que celle-ci cible en premier lieu l’accélération de la mise en œuvre de l’Accord par les parties.

Cette réunion de haut niveau permettra notamment de souligner les lacunes qui subsistent en termes de capacités militaires de la MINUSMA et d’explorer diverses stratégies afin que la mission soit adéquatement équipée pour s’acquitter pleinement de son mandat et soutenir les partenaires maliens dans la mise en œuvre de l’Accord. La réunion étudiera également les façons de renforcer la coopération sécuritaire et la coordination entre les pays de la région du Sahel en vue de soutenir le retour de la stabilité au Mali.    Cette réunion se tiendra en marge du Débat Général de la 71ème Session de l’Assemblée générale. La réunion sera ouverte par le Président du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, et le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon.

Sensibilisation   

-La série d’activités « Thé dans le grin » a repris dans les différentes régions, notamment le 8 septembre à Tombouctou, où le Chef du Bureau Régional de la MINUSMA a rencontré une quinzaine de leaders de l’Association des pionniers du Mali pour expliquer le mandat et répondre à leurs questions.

-Le 14 septembre, la Division des Affaires civiles de la MINUSMA a tenu une session de sensibilisation sur l’Accord pour la paix et le Mandat de la MINUSMA dans le village de Sare-sana, près de Sévaré dans la région de Mopti au profit des autorités locales et des représentants des femmes et des jeunes. La rencontre a également permis d’évaluer la situation sécuritaire dans la région.

-Le 10 septembre, l’Equipe Conduite et Discipline de la MINUSMA a participé à deux séances de sensibilisation à Ansongo. Une première, à la Gendarmerie d’Ansongo sur les normes de conduite de l’ONU ainsi que les mécanismes de rapportage des actes de mauvaise conduite. Et une seconde au profit des représentants des jeunes organisateurs du ‘’Podium de la Paix’’.

Cohésion sociale   

Le 7 septembre, la Division des Affaires civiles et la Police des Nations Unies ont participé à un processus de médiation afin de trouver une solution à la crise de l’eau dans le quartier Abattoir de Ménaka. La rencontre était présidée par le Sous-Préfet de Ménaka en présence des autorités communales et du comité de gestion de l’eau. La Division des Affaires civiles travaille au rétablissement progressif de la confiance au sein des communautés à travers l’appui à la cohésion sociale, la prévention et l’atténuation des conflits ; et le rétablissement de la confiance entre les administrés et les autorités locales dans le cadre de l’extension de l’autorité de l’Etat.

Casques bleus  

– La Force continue le réaménagement et le renforcement de son dispositif sécuritaire dans la région de Kidal et maintient ses activités de sécurisation des villes et des sites de cantonnement dans les régions de Gao et Tombouctou.

Au niveau des opérations, la Force des Nations Unies a effectué 487 patrouilles, tenu 219 checkpoints et assuré 39 escortes.

Le 9 septembre, à l’occasion de la célébration de la fête de la Tabaski, le contingent du Nigéria de la Force onusienne à Tombouctou a organisé une cérémonie de remise de dons alimentaires aux 23 familles riveraines de leur camp. En tout, 170 personnes ont reçu des denrées alimentaires.

Pour sa part, la Police des Nations Unies a effectué 338 patrouilles dont 44 patrouilles conjointes avec les FAMa et 129 patrouilles pédestres.

Affaires électorales  

Le 7 septembre, l’Equipe d’assistance électorale intégrée a tenu une séance de travail avec une délégation du Ministère de la Promotion de la femme de l’Enfant et de la Famille. La rencontre avait pour objectif d’échanger sur les préparatifs en vue des élections communales du 20 novembre, notamment en ce qui concerne le rôle et la représentativité des femmes suite à la promulgation de la loi du 18 décembre 2015. Cette loi institue des mesures pour promouvoir le genre dans l’accès aux fonctions nominatives et électives. Au regard des enjeux des prochaines élections communales, l’Equipe d’assistance électorale a réaffirmé son engagement et sa disponibilité pour accompagner les activités du Gouvernement visant la promotion des candidatures féminines.

Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant  

Le 14 septembre, le Bureau de la Conseillère Principale pour la Protection des Femmes a participé à la deuxième réunion du Groupe d’Experts Informel du Conseil de Sécurité sur la résolution Femmes, Paix et Sécurité et son implémentation au Mali. L’objectif de cette réunion était de présenter aux membres du Groupe les activités de suivi menées par la mission depuis leur visite au Mali en février 2016. Cette réunion  fut ainsi l’occasion de mettre en avant plusieurs points positifs comme la mise en place des mécanismes de coordination et de gestion relatif au Plan d’Action 1325 et la dissémination de la Loi sur la promotion de genre au sein du Ministère de promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille ; et la prise en compte des abus et exploitation sexuels dans le nouveau mandat de la MINUSMA (Rés 2295).

La Journée internationale de la Paix  

La MINUSMA, en collaboration avec ses partenaires au nombre desquels les associations et groupements d’associations de jeunes, marquera le 21 septembre la Journée internationale de la Paix, à Bamako, Mopti, Gao et Tombouctou.

La MINUSMA et ses partenaires ont opté pour la musique comme véhicule de messages de paix et de réconciliation. Le 21 septembre verra les finalistes des concours de rap et de slam tenus dans les villes précitées dans le cadre du ’’Podium de la Paix ‘’performer.

Le projet ‘’Podium de la Paix’’ a été conçu et réalisé par la jeunesse malienne, en particulier la plateforme “Ensemble Nous Sommes Un peuple” ainsi que le Conseil National de la Jeunesse du Mali et ses démembrements et a démarré à Bamako, Tombouctou, Mopti et Gao entre les 1er et 3 septembre derniers. Des compétitions d’artistes solos ont été tenues dans ce cadre dans différentes communes du District de Bamako et dans les régions du nord et de Mopti. Le but : produire la meilleure chanson sur la paix et la réconciliation et les lauréats performeront lors de la grande finale qui aura lieu dans chacune des régions concernées et dans le district de Bamako, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la Paix, le 21 septembre.

Au-delà de donner l’occasion à de nombreux artistes en herbe de s’exprimer devant un public dans les conditions du “réel”, ce concours a été conçu pour mieux faire comprendre à la jeunesse l’Accord pour la Paix et la Réconciliation et aussi et surtout, le rôle clé qu’elle a à jouer dans le rétablissement durable de la paix au Mali. Des sessions de formation et de sensibilisation ont été tenues à cet par la MINUSMA et les organisations de jeunes initiatrice du projet sur l’Accord de Paix. A l’issue de ces sessions, des messages de paix et de réconciliation ont été conçus par les artistes qui ont participé à la compétions rap et slam et les finalistes performeront à l’occasion des cérémonies suivantes qui seront tenues pour marquer la Journée internationale de la Paix :

– Bamako, le 21 septembre au Palais des sports

– Tombouctou, le 21 Septembre au  Lycée Mahamane Haidara

– Gao, le 21 septembre au Stade Kassé Keita

– Mopti, le 24 septembre à l’Alliance Franco-Malienne de Mopti

La presse est la bienvenue à ces cérémonies et des invitations vous parviendront très bientôt.

Porte-parole : Mme Radhia Achouri    

Commentaires via Facebook :

6 COMMENTAIRES

  1. Bonjour,
    Les Touaregs, tout comme les Peulhs et les autres composantes ethniques, font partie de la même nation Malienne, elles doivent toutes mettre le Mali en avant.

    Ne nous trompons pas de combat, le seul combat qui veuille c’est le combat démocratique pour un MALI UN ET INDIVISIBLE acceptant la diversité ethnique et culturelle, refusant l’esclavagisme et permettant la libre administration des régions et communes.

    Nous y sommes.

    A travers cet accord, c’est le Mali tout entier, via toutes ses composantes ethniques, qui est plus fort et qui gagne et non une ethnie donnée, qu’elle soit Touareg ou Peulhe ou autre.

    L’accord a opté pour le développement équilibré de toutes les régions du Mali en commençant par celles qui sont en retard, celles du nord du Mali.

    L’Union fait la force. Dans un Mali Un et Indivisible, cultivons la diversité (ethnique, culturelle, …) et l’union à travers la mutualisation de nos forces et de nos ressources issues de la régionalisation où chacun doit occuper sa place, nous serons encore plus forts.

    D’après l’accord de Bamako, cette régionalisation permet aux filles et aux fils d’une même région de gérer, ensemble, leurs régions (et communes) à travers la libre administration des régions (et communes).

    C’est ainsi que, malgré le poids du passé, nos frères et sœurs de Kidal, incluant les Ifoghas et les Imghads, doivent gérer ensemble la région de Kidal. Les accords de Annefis et Niamey, entre parties prenantes, vont dans ce sens.

    Le Mali est pour nous tous/toutes, nous devons, TOUS/TOUTES, chercher des solutions idoines à nos problématiques au lieu d’attendre que ça vienne toujours du haut.

    Le problème de Kidal est un des plus saillants mais la réconciliation concerne tout le Mali, y compris la région de Kidal, car le tissu social, aux niveaux national, régional et local, est affecté et l’impact de la crise (sur le vivre ensemble, …) et les amalgames induits ont affecté tout le Mali.

    Il faut, donc, travailler sur la cohésion sociale, la cohésion nationale, l’unité, cultiver la paix partout au Mali et ré-apprendre ou renforcer le vivre ensemble même si la solidarité et la force des liens ancestraux ont aidé à maintenir certains liens sociaux.

    Appliquons l’accord de Bamako, pour la paix et la réconciliation au Mali, sensibilisons partout sur cet accord et sa mise en oeuvre, en particulier à travers la mise en place du DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion) , du MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination via les patrouilles mixtes) et des autorités intérimaires, et faisons-le respecter strictement, franchement et sans complaisance par tous les acteurs, en particulier ceux qui l’ont signé (toutes les parties prenantes, la médiation internationale et les partenaires) et on résoudra le problème de Kidal.

    D’où ma contribution que je conseille de lire ou relire. Elle est intitulée “Accord de Bamako : Comment garantir son respect et l’engagement des parties prenantes ?”

    A propos de cette contribution, j’avais écrit il y a bientôt un an, le 21 SEPTEMBRE 2015, une lettre ouverte en ligne, adressée au Président, Ibrahim Boubacar Keïta, aux Maliens et aux Partenaires, pour proposer une approche pour répondre à cette question.

    Engageons-nous, honnêtement, franchement et sans complaisance, acceptons le partage de responsabilités (en particulier à Kidal) et mettons, TOUS/TOUTES, rapidement, en œuvre, cet accord.

    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité

  2. Bonjour,
    Accord de Bamako : Comment garantir son respect et l’engagement des parties prenantes ?

    J’avais écrit bientôt un an, le 21 SEPTEMBRE 2015, une lettre ouverte en ligne, sur Maliweb, pour proposer une approche pour répondre à cette question.

    Concernant cet accord, comme disent ses défenseurs dont moi-même, le meilleur est à venir MAIS il dépendra de notre implication, à TOUS/TOUTES, indépendamment des bords politiques, dans la mise en œuvre et dans le suivi de cet accord et de notre engagement pour l’obtenir et pour le respect des intérêts des Maliens.

    Alors, ceux qui supportent l’accord de Bamako et ceux qui ne le supportent pas devront prendre de la hauteur en mettant en avant le Mali et en se rapprochant sur la base des intérêts des Maliens et de leur bien-être.

    Des intérêts cachés pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement.

    Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés seront débusqués, ainsi que ceux qui sont derrière.

    Engageons-nous, TOUS/TOUTES, honnêtement, franchement et sans complaisance et mettons-nous, donc, TOUS/TOUTES d’accord à travers la mise en œuvre et le suivi STRICTS de l’accord de Bamako issu d’un compromis multi-parties prenantes Maliennes sous la supervision de la communauté internationale.

    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    E-mail : anasser.ag-rhissa@orange.fr
    TEL (00223) 95 58 48 97

  3. Bonjour,
    Accord de Bamako : Comment garantir son respect et l’engagement des parties prenantes ?

    J’avais écrit bientôt un an, le 21 SEPTEMBRE 2015, une lettre ouverte en ligne pour proposer une approche pour répondre à cette question : voir l’adresse internet ci-dessous.

    http://www.maliweb.net/contributions/accord-de-bamako-comment-garantir-son-respect-et-lengagement-des-parties-prenantes-1167302.html

    Concernant cet accord, comme disent ses défenseurs dont moi-même, le meilleur est à venir MAIS il dépendra de notre implication, à TOUS/TOUTES, indépendamment des bords politiques, dans la mise en œuvre et dans le suivi de cet accord et de notre engagement pour l’obtenir et pour le respect des intérêts des Maliens.

    Alors, ceux qui supportent l’accord de Bamako et ceux qui ne le supportent pas devront prendre de la hauteur en mettant en avant le Mali et en se rapprochant sur la base des intérêts des Maliens et de leur bien-être.

    Des intérêts cachés pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement.

    Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés seront débusqués, ainsi que ceux qui sont derrière.

    Engageons-nous, TOUS/TOUTES, honnêtement, franchement et sans complaisance et mettons-nous, donc, TOUS/TOUTES d’accord à travers la mise en œuvre et le suivi STRICTS de l’accord de Bamako issu d’un compromis multi-parties prenantes Maliennes sous la supervision de la communauté internationale.

    Mettons en place de façon diligente le DDR et les autorités intérimaires dans les régions ou communes qui sont prêtes d’un point de vue sécuritaire (avec un état avancé de la mise en place du MOC à travers les patrouilles mixtes) ET dont les communautés (à impliquer) sont prêtes à les accueillir. Elles serviront d’exemples.

    Déployons le MOC et les forces de défense et sécurité du Mali, épaulées par la MINUSMA et Barkhane, graduellement dans toutes les régions du Mali.

    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    E-mail : anasser.ag-rhissa@orange.fr
    TEL (00223) 95 58 48 97

  4. 1)Nous disons et rappelons tout le monde sait avec 1brin d’honnêteté même les tarés idiots de naissance et ceux qui refusent de connaitre la vérité d’1chose pour des raisons primaires primitives égoïstes partisanes

    *que le soit disant problème touareg est 1histoire fabriquée depuis fort longtemps par les soit disant amis ennemis les Autres Anciens Colonisateurs et Organisations du Mali aux fins d’occuper le nord du Mali à jamais et pour toujours pour ses richesses hydro minières énergie solaire le Moyen et le Proche Orient sont également à portés de missiles Il en est de même avec la présence des Voyous de Fameux Terroriste Faux Djihadistes Faux Islamistes

    *qu’il ne faut jamais au grand jamais compter sur « les Autres ou 1tiers» pour assurer la sécurité la défense de son pays au risque de voire son pays sombrer dans « 1chaos indescriptible » tels l’Afghanistan l’Irak etc et ou voire son pays «divisé en 2entités distinctes» tels la Yougoslavie avec sa Balkanisation le Soudan avec sa Soudanisation etc

    2)Nous disons et rappelons les forces de défense et de sécurité du Mali de la période de l’indépendance étaient fortes et respectées partout dans le monde et étaient entrainées par uniquement par des officiers maliens comme cela se passent au niveau des forces de défense et de sécurité dignes et fortes qui se respectent à travers le monde Ainsi seuls les officiers français entrainent les forces de défense de leur pays il en est de même pour les USA la Russie etc Et de temps à autres on procède à des manœuvres conjointes avec d’autres forces de défense

    *Nous disons et rappelons les forces de défense et de sécurité entrainées pas des officiers étrangers ou des officiers des soit disant amis ennemis ne pourront jamais gagner une guerre contre 1ennemi commandité

    *Nous disons et rappelons la défense et la sécurité d’1 pays doivent être assurées uniquement par les fils et filles fiers honnêtes courageux intrépides sans peur ayant 1amour profond pour leur pays leur royaume leur empire leur tribut leur clan et dotés d’armes de combat adaptées et adéquates comme l’a fait en son temps Paul Kagamé au Rwanda ainsi pas de chaos pas division du Rwanda plus de rebelles Interahamwe hutus ni de Voyous de Fameux Terroristes Faux Djihadistes Faux Islamistes Et la sécurité y règne partout

    *Nous disons et rappelons donc de confier le front des combats contre ces Voyous de Fameux Terroristes Faux Djihadistes Faux Islamistes d’Ansar Edine de FLM de ANSIPRJ et Consorts uniquement aux soldats et officiers prototypes des maliens antiques fiers honnêtes courageux intrépides sans peur préférant la mort à la honte dotés de matériels de communication armes avions hélicos de combats adaptés modernes qui assumerons leur mission régalienne sur tout l’étendu du Mali sans exception

    *Nous disons et rappelons de remercier les soit disant amis ennemis les Autres Anciens Colonisateurs et Autres Organisations pour leurs aides tout en leur demandant de rentrer en mettant fin à leur mandat car ils ont été très clairs en disant en disant dans toutes les langues qu’ils ne sont point au Mali pour combattre les Voyous de Fameux Terroristes Faux Djihadistes Faux Islamistes Par ailleurs il n’y a plus belligérance entre le gouvernement du Mali des lettrés mutants et les rebelles collabos La preuve leurs responsables sont logés nourris blanchis dans les hôtels de luxe aux frais des pauvres contribuables maliennes certains sont même membres du gouvernement

  5. Comment peut-on s’appeler MINUSMA et accepter que des groupes armés restent armer ? Quelle paix émergera de cette situation? Je suis sidéré par ce comporte de cette institution onusienne qui croit à des choses qui sont des rêves. Comment peut- on torpiller une majorité au détriment de sa minorité? Qu’Allah le tout puissant aide et protège le Mali au bord du précipice à cause des comportements négatifs de certains de ses fils véreux.
    NB: Les Touareg anti-République prennent en otage l’ensemble du peuple malien. .

  6. Comrades this bitch talk as crazy as the French. There is no agreement recognized by the people of Mali where as much as one yard of the nation of Mali is stolen to accommodate a theft to create some asinine place known as AZAWAD. If these European dumbbells leave we will resolve this matter in a way in the best interest of the Malian people. The best interest necessitate enactment adequate security plus a productive plus complete development plan. Please get real? Keep it real. Very sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan.

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