Le conseil des ministres du mercredi dernier a annoncé la nomination du Colonel Major Satigui Moro Sidibé à la tête de la gendarmerie nationale, anciennement directeur de la justice militaire.
L’homme est à la taille de la mission en témoigne son parcours. Ayant intégré la corporation en 1988, le Colonel-Major Satigui Moro Sidibé a gravi les échelons. Déjà en 1991ce diplôme de l’école prytanée de Kati du lycée du Prytanée Militaire de Kati, de l’Ecole Supérieure : Université privée ISPRIC Bamako) et de l’École de la Magistrature à l’Institut National de Formation Judiciaire (Bamako) était sous-lieutenant. Rapidement en 1993 il devient lieutenant plein pour se voir acquérir le grade de capitaine en 1996. Les grades de commandant, de lieutenant-colonel, de colonel et de colonel Major ont été respectivement acquis en 2002, 2008, 2011 et 2014. Né en 1967
à Komissana dans le cercle de Yanfolila région de Sikasso, le nouveau DG de la gendarmerie, a aussi fait ses armes dans des écoles militaires. Il s’agit de : l’Ecole Militaire Inter Armes (EMIA), du Cours Supérieur International de gendarmerie en France et de l’école d’Etat-Major de la gendarmerie au Centre d’Enseignement Supérieur de la gendarmerie de Maison Alfort en France.
Il fut plusieurs fois instructeurs de l’école des officiers de gendarmerie, chef d’escadron, adjoint Commandant de compagnie de gendarmerie de Gao, adjoint Chef Secteur de la police civile de la mission des Nations Unies à Kinshasa en RDC, chef de la Division des Opérations à la Direction Générale de la gendarmerie nationale, chef du Bureau Synthèse et Renseignements à l’Etat-Major de la Gendarmerie était dernièrement à la tête de la justice militaire ou il avait déjà occupé le poste d’adjoint. Il a à son actif plusieurs autres formations que sont entre autres : Cours sur les techniques d’l’intervention professionnelle (gendarmerie, Saint-Astier, France), Cours sur le droit international humanitaire (CICR, Bamako). Différents Séminaires sur: les aspects juridiques des opérations de paix, les opérations militaires disciplinées, la plaidoirie en première instance, les sujets sur les avancées de la justice militaire et les aspects juridiques de la lutte contre le terrorisme etc. Il a la médaille commémorative campagne du Mali, La Médaille (MONUC / RDC) des Nations Unies et Chevalier de l’Ordre National du Mali depuis 2013. Marié et père de 03 Enfants, le Colonel-Major consacre son temps libre à ses loisirs que c’est-à-dire basket-ball, le volley-ball, le cinéma et la lecture.
Mohamed DAGNOKO
Merci de nettoyer ce camp 1 pourri s’il te plait je suis près a vous donnez toutes les preuves de cette pourriture si tu veux faire long feu ,débarrassé toi du cap yattara un farfelu magouilleur qui manigance tt par telephone. son battard de légionnaire s’en est aller.
Bon vent à l’officier “wasoulou ka”! il parait qu’au Wassoulou même l’appel à la prière du muezzin a le rythme du “didadi”
Bonsoir Sambou.
Sankingba à Satigui Moro Sidibé et à tous les pandores, simplement: “Pro Patriaca, Pro Lega”. En avant et plus d’engagement pour La Défense Opérationnelle du Territoire (DOT).!!! 😳
Oui la République vaincra.
VIVE LA REPUBLIQUE
Pauvre ignorant. Tu reproduis ici le cliché de l’ignorance au Mali: les kayesiens sont des…, les mopticiens sont des…., les sénoufo sont des…les bobo sont des….Les wassolonka sont… musique et chasse. Pauvre “Sambou” de Kayes, au Wassolon nous disons plutôt “Samou” en hommage aux deux ancêtres mythiques Sere Moussa et Samou. Peut-être que tu auras le courage, disons la permission, de visiter un jour le Wassolon mais juste un conseil: fais attention au fétiche le plus célèbre du Wassolon qui s’appelle “Sabou Satigui” à Sindo, commun aux quatre familles peuls du Wassolon et de Kayes qui sont : Diallo, Diakité, Sidibé, Sangaré. Pauvre zozo va.
@Sambou
Pauvre ignorant. Tu reproduis ici le cliché de l’ignorance au Mali: les kayesiens sont des…, les mopticiens sont des…., les sénoufo sont des…les bobo sont des….Les wassolonka sont… musique et chasse. Pauvre “Sambou” de Kayes, au Wassolon nous disons plutôt “Samou” en hommage aux deux ancêtres mythiques Sere Moussa et Samou. Peut-être que tu auras le courage, disons la permission, de visiter un jour le Wassolon mais juste un conseil: fais attention au fétiche le plus célèbre du Wassolon qui s’appelle “Sabou Satigui” à Sindo, commun aux quatre familles peuls du Wassolon et de Kayes qui sont : Diallo, Diakité, Sidibé, Sangaré. Tu risques d’y laisser tes pauvres plumes d’ignorant, les plus appréciées des fétiches du Wassolon. Pauvre zozo va.
On s’en fout tous des compagnons de Sanogo
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