Mali : Les forces de sécurité ont fait « disparaître » 20 personnes et en ont torturé d’autres

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Répression visant les personnes liées au contre-coup d’État et les journalistes.

(Nairobi, le 25 juillet 2012) – Des soldats fidèles au dirigeant du coup d’État au Mali sont responsables de la disparition forcée d’au moins 20 soldats présumés liés au contre-coup d’État du 30 avril 2012 et ils ont perpétré des actes de torture et autres exactions à l’encontre de dizaines d’autres soldats, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Les forces de sécurité du Capitaine Amadou Sanogo, à la tête du coup d’État du 22 mars contre le Président Amadou Toumani Touré, se sont également livrées à une campagne d’intimidation contre des journalistes, des proches de soldats détenus et d’autres personnes considérées comme une menace.

Le QG de la Junte a Kati (photo: AP)

Human Rights Watch a appelé le gouvernement provisoire malien à ouvrir une enquête sur les disparitions et autres violences, à traduire en justice les responsables de ces exactions, et à prendre de toute urgence des mesures visant à exercer un contrôle sur les forces de sécurité. Il  est à craindre que les 20 soldats dont la disparition forcée a été documentée par Human Rights Watch soient morts.

« Les autorités maliennes ont un devoir à l’égard des victimes de torture et des familles des disparus, celui de faire en sorte que ces crimes fassent l’objet d’une enquête et que les responsables soient amenés à répondre de leurs actes », a souligné Daniel Bekele, directeur de la Division Afrique de Human Rights Watch. « Même en cette période chaotique et difficile que traverse le Mali, les autorités devraient veiller à s’attaquer sans délai aux traitements horribles et autres violations qui ont été perpétrés. »

Human Rights Watch a interrogé une trentaine de personnes bien au fait des exactions commises, dont huit qui ont été témoins d’actes de torture et de disparitions forcées et 13 proches de détenus et disparus.

Les témoins ont déclaré à Human Rights Watch que les exactions avaient été perpétrées par des membres des services de sécurité, notamment des soldats, des policiers et des gardes nationaux qui soutiennent le Capitaine Sanogo depuis le coup d’État du 22 mars. Deux d’entre eux ont expliqué avoir vu Sanogo camp militaire de Kati, à 15 kilomètres au nord de la capitale malienne, Bamako, alors que des actes de torture et autres mauvais traitements y étaient commis. Un témoin a confié qu’il avait vu Sanogo donner des coups de pied à un détenu, disparu depuis lors, et qu’il l’avait entendu menacer plusieurs autres détenus.

Presque tous les témoins d’exactions qui se sont entretenus avec Human Rights Watch ont identifié des officiers responsables du centre de détention du camp qui, selon eux, relevaient directement de Sanogo. Des actes de torture ont également été signalés dans un camp de la force de police connue sous le nom de Groupement Mobile de Sécurité (GMS).

La mère d’un soldat disparu a expliqué que son fils avait eu accès à un téléphone et l’avait appelée le 1ermai dans l’après-midi. Elle a déclaré : « Mon fils avait l’air tellement effrayé. … Il a dit que les militaires discutaient entre eux pour voir s’ils allaient ou non tuer mon fils et les autres détenus. … Il avait tellement peur. »

La plupart des disparus et des victimes de torture faisaient partie d’une unité d’élite de commandos parachutistes connus sous le nom de Bérets rouges et ont été arrêtés suite à des accusations d’implication dans le contre-coup d’État du 30 avril. Lors de ce contre-coup d’État, les Bérets rouges ont attaqué le bâtiment de la radio et de la télévision publiques et l’aéroport de Bamako, ainsi que le camp militaire de Kati. Après que les soldats fidèles à Sanogo eurent écrasé le contre-coup d’État, ils ont arrêté des dizaines de personnes soupçonnées de l’avoir appuyé.

Sanogo et d’autres officiers de l’armée ont évincé le Président Touré en mars pour protester contre sa gestion d’une rébellion séparatiste menée par l’ethnie touareg dans le nord du Mali. En avril dernier, suite aux pressions internationales, notamment de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Sanogo a accepté de céder le pouvoir à un gouvernement provisoire chargé d’organiser des élections et d’assurer le retour du pays à un régime démocratique. Cependant, avec le soutien des forces de sécurité qui lui sont restées fidèles, il a continué à exercer une influence considérable, à s’immiscer dans les affaires politiques et à marginaliser les membres de l’armée qui n’avaient pas appuyé le coup d’État.

La semaine dernière, le gouvernement malien, en sa qualité d’État partie à la Cour pénale internationale (CPI), a déféré « la situation au Mali depuis janvier 2012 » au procureur de la CPI en vue de l’ouverture d’une enquête. Le bureau du procureur déterminera à une date ultérieure s’il peut exercer sa compétence sur ladite situation.

« La CEDEAO et d’autres gouvernements qui ont fait part de leur inquiétude quant aux exactions commises dans le cadre du conflit armé dans le Nord et lors du coup d’État de mars ne devraient pas garder le silence aujourd’hui », a fait remarquer Daniel Bekele. « Les partenaires du Mali devraient insister pour que le gouvernement provisoire prenne de toute urgence des mesures concrètes visant à endiguer toute nouvelle détérioration de l’État de droit. »

Des informations plus détaillées sont fournies ci-après concernant les disparitions forcées, les actes de torture, les détentions arbitraires et les actes d’intimidation à l’égard de journalistes et de fonctionnaires.

Détentions arbitraires
Des témoins et des proches de victimes ont déclaré que les forces fidèles au Capitaine Sanogo avaient immédiatement commencé à arrêter les personnes soupçonnées d’être impliquées dans le contre-coup d’État manqué du 30 avril. Au cours des semaines qui ont suivi, elles ont procédé à l’arrestation d’au moins 80 hommes, dont la plupart étaient membres du corps d’élite de parachutistes, les Bérets rouges.

Certes, les personnes qui ont participé à la tentative de contre-coup d’État pourraient légitimement faire l’objet d’arrestations et de poursuites, mais les actes attribués aux forces de sécurité de Sanogo ont été accomplis en dehors de tout cadre légal. Des témoins ont expliqué que les hommes ont été arrêtés sur la scène des attaques, dans des transports publics, chez eux, alors qu’ils se rendaient en voiture au travail, et après avoir été convoqués au camp de Kati ou à un poste de police pour être interrogés à propos de leur implication dans le contre-coup d’État. La plupart auraient été emmenés directement au camp de Kati, mais au moins neuf d’entre eux ont passé plusieurs jours au camp du GMS de la police avant leur transfert à Kati. Beaucoup de détenus ont été soumis à la torture et à d’autres mauvais traitements dans ces deux endroits.

Le 24 juin, après de fortes pressions exercées par les familles des détenus et leurs avocats, par des organisations locales et internationales de défense des droits humains dont Amnesty International, et par le ministre malien de la Justice, les officiers du camp militaire de Kati ont autorisé le transfert de 43 détenus au camp 1 de la gendarmerie, où leurs conditions et leur traitement se sont considérablement améliorés. La loi malienne dispose que les soldats accusés d’une infraction pénale doivent être détenus par la gendarmerie. Depuis lors, bon nombre de ceux qui ont été transférés ont été inculpés d’implication présumée dans le contre-coup d’État.

Tortures et mauvais traitements 
Les mauvais traitements systématiques les plus graves visaient de simples soldats et ont eu lieu  durant plusieurs semaines au mois de mai. Des témoins au camp militaire de Kati et au GMS ont expliqué avoir vu des soldats et des policiers traîner par terre des détenus menottés et ligotés, les battre avec des matraques, des bâtons et des crosses de fusil, et leur donner des coups de pied dans le dos, à la tête, dans les côtes, dans les parties génitales et ailleurs. D’autres ont reçu des coups de couteau aux extrémités. Certains détenus ont perdu connaissance des suites des passages à tabac. Les épouses de certains détenus ont signalé que leurs maris leur avaient confié avoir uriné, et dans un cas déféqué, du sang des suites de tortures. D’autres témoins et proches ont indiqué que des hommes avaient eu des côtes cassées et, dans un cas, un bras fracturé.

Des témoins au camp militaire de Kati ont communiqué qu’ils avaient vu des soldats brûler des détenus avec des cigarettes et des briquets sur le dos, les mains, les bras et les oreilles. Deux témoins ont expliqué que quatre hommes avaient été forcés, sous la menace d’une arme et sous peine d’être tués, de pratiquer la sodomie entre eux, précisant qu’on leur avait mis un tissu dans la bouche avant les abus sexuels afin d’étouffer leurs cris. D’autres détenus ont été soumis à des séances d’asphyxie pendant les interrogatoires, des soldats leur introduisant des chiffons dans la bouche, les enfonçant avec un bâton avant de leur placer un morceau de tissu sur la bouche. Certains détenus ont été enchaînés et menottés pendant des jours ; les proches qui ont pu les voir quelques semaines plus tard ont constaté qu’ils présentaient des cicatrices aux poignets et aux chevilles.

Des témoins ont vu que les détenus étaient enfermés dans de petites pièces sans aération et sans fenêtres. Quelque 40 hommes auraient été incarcérés dans une pièce de 5 mètres sur 5. Le mois de mai est l’un des plus chauds au Mali, et de nombreux détenus n’ont rien reçu à manger ni à boire pendant au moins 72 heures, souffrant de grave déshydratation. Beaucoup ont bu leur propre urine pour survivre.

L’épouse d’un Béret rouge a déclaré à Human Rights Watch : « Mon mari a vraiment souffert… Il m’a dit qu’ils en avaient forcé plusieurs à se déshabiller et ensuite, ils les avaient frappés dans les parties génitales ; ils ont invité des femmes soldats à venir à leur fenêtre pour regarder la scène. Lui et d’autres que j’ai vus avaient des brûlures de cigarettes sur les avant-bras ; il m’a dit que pendant l’interrogatoire, au lieu de jeter le mégot par terre, ils l’écrasaient sur sa peau. Il avait de profondes cicatrices aux poignets et aux chevilles à cause de la façon dont ils l’avaient attaché. Ce n’est que lorsqu’ils sont arrivés à la gendarmerie qu’on les a laissés un peu en paix. »

Souvent, les détenus ont également été soumis à des violences psychologiques. Certains ont été menacés de mort tous les jours. Un témoin a raconté que des soldats avaient montré aux détenus une photo de l’un des présumés conjurés qui avait été tué en détention quelques jours auparavant. Un autre a indiqué qu’il arrivait souvent que les soldats disent aux détenus que deux ou trois d’entre eux allaient être emmenés dehors et exécutés. La police a soumis un groupe de détenus à un simulacre d’exécution au camp du GMS.

Disparitions forcées
Human Rights Watch a interrogé plusieurs témoins qui ont déclaré avoir vu au moins 20 hommes détenus au camp militaire de Kati qui pourraient aujourd’hui avoir été victimes de disparitions forcées.

Des témoins au camp de Kati ont signalé que le 3 mai entre 2 et 3 heures du matin, des soldats avaient emmené les détenus et les avaient fait monter dans un camion de l’armée. Selon un témoin présent à Kati cette nuit-là, « Ils les ont fait sortir, leur ont ligoté les mains et les jambes et bandé les yeux ; depuis lors, on n’en a plus jamais entendu parler et on ne les a plus jamais vus. » Un autre témoin a remis à Human Rights Watch une liste manuscrite de 21 détenus aperçus par un témoin alors qu’ils étaient emmenés hors du camp.

Selon certaines informations non corroborées, les hommes auraient été exécutés et enterrés dans la ville de Diago, à une douzaine de kilomètres de Kati. Human Rights Watch a parlé avec des habitants de Diago qui ont déclaré que plusieurs séries de coups de feu avaient été tirés cette nuit-là ; ils ont néanmoins confié qu’ils étaient trop terrifiés pour fournir des détails plus précis.

Aux termes du droit international, on entend par disparition forcée toute privation de liberté d’une personne par l’État ou des agents de l’État qui refusent de reconnaître cette privation de liberté ou ne fournissent aucune information concernant le sort réservé à la personne ou le lieu où elle se trouve. Parmi les droits que peut violer une disparition forcée figure le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne, y compris à une protection contre tout acte de torture ou autres mauvais traitements.

Dix témoins ont dit avoir vu un ou plusieurs des disparus à l’intérieur du camp de Kati ou du GMS au cours des 48 heures précédant leur « disparition ». L’un d’eux était attaché avec des menottes à un camion de l’armée au GMS le 1er mai aux alentours de 5 heures du matin. Un autre témoin a aperçu un soldat de deuxième classe – qui figure sur la liste des disparus – dans une cour à Kati le 1er mai entre 9 et 10 heures du matin. Il a signalé que l’un des yeux du soldat « saignait à cause des coups reçus, comme s’il y avait un trou à la place de son œil. »

Human Rights Watch a appris que le 1er mai entre 10 heures du matin et midi, quelque 24 soldats avaient évacué 19 soldats blessés, dont des Bérets rouges et des soldats fidèles à Sanogo, de l’Hôpital public Gabriel Touré de Bamako, les emmenant dans au moins deux camions de l’armée au camp militaire de Kati. Des témoins ont entendu l’officier de l’armée en charge de l’évacuation dire que les patients allaient être conduits à l’hôpital militaire de Kati. Un 20e soldat grièvement blessé à l’abdomen a été autorisé à rester à Gabriel Touré. Human Rights Watch a reçu des informations non confirmées selon lesquelles lors de leur arrivée au camp militaire de Kati, les soldats fidèles à Sanogo avaient été transférés à l’hôpital militaire de Kati, tandis que les Bérets rouges s’étaient vu refuser tout traitement et avaient été placés en détention. On ignore toujours où ils se trouvent.

Des parents d’hommes victimes de disparitions forcées ont indiqué à Human Rights Watch qu’ils s’étaient rendus dans des hôpitaux, des postes de gendarmerie et de police, à la prison locale et dans plusieurs camps militaires à la recherche de leurs proches. Au moins deux des hommes qui avaient disparu sont apparus à la chaîne de télévision publique le 1er mai ; ils ont été présentés par le journaliste chargé de l’interview comme étant des détenus associés au contre-coup d’État.

Une parente a confié à Human Rights Watch, « Quand nous l’avons vu à la télévision, j’ai bondi et crié, ‘C’est mon fils ! Mon fils est vivant !’ Depuis lors, nous l’avons cherché partout, mais il n’y a aucune trace de lui. Expliquez-moi comment il peut passer à la télévision nationale un jour et tout simplement disparaître le lendemain ? »

La mère d’un autre disparu a expliqué : « J’appelle mon fils sur son téléphone mais il ne répond pas. Je suis allée partout et j’ai regardé sur toutes les listes – la liste des blessés, la liste des morts, la liste des détenus, mais le nom de mon fils n’est pas là. Pourtant, j’ai l’espoir que je le reverrai. L’espoir, c’est tout ce qui me reste. »

Des proches de Bérets rouges vivant dans le camp des Bérets rouges de Djikoroni se sont plaints de harcèlement, de menaces à caractère sexuel et d’actes d’intimidation de la part des soldats fidèles au Capitaine Sanogo qui gardent aujourd’hui le camp. L’épouse d’un Béret rouge encore détenu pour ses liens présumés avec le contre-coup d’État a déclaré : « Lorsqu’on entre et qu’on sort du camp, ils disent des trucs du genre, ‘Nous avons chassé vos maris. Si on veut, on peut avoir des relations sexuelles avec vous n’importe quand’ et aux filles, ils disent des trucs du genre, ‘Votre famille n’est rien… Maintenant, c’est nous qui commandons ici.’ »

Intimidation de journalistes et de fonctionnaires
Des membres des forces de sécurité de l’État ont cherché à interdire la publication d’informations relatives aux exactions commises dans la foulée du contre-coup d’État manqué. Ils ont convoqué pour interrogatoire ou visité les bureaux d’au moins cinq journalistes et deux fonctionnaires qui enquêtaient sur le coup d’État, le traitement des détenus, les disparitions forcées ou l’existence d’un charnier. Bien que les journalistes et les fonctionnaires n’aient pas été victimes d’agression physique lors de leur interrogatoire, ils ont signalé avoir été soumis à des pressions pour révéler leurs sources, abandonner leurs enquêtes et renoncer à publier des informations sur les événements ou à en parler. Plusieurs pensent que leurs conversations téléphoniques étaient souvent interceptées par les forces de sécurité de l’État. L’intimidation de journalistes semble s’inscrire dans une campagne de répression plus large à l’encontre de la presse malienne, campagne qui a débuté dans la foulée du coup d’État du 22 mars et s’est intensifiée depuis lors.

En juillet, deux journalistes ont été enlevés par des hommes armés et masqués qui conduisaient des pick-up sans plaques d’immatriculation. Ils ont été violemment passés à tabac et déchargés à la périphérie de Bamako après avoir été avertis qu’ils devaient cesser de critiquer l’armée. Le 2 juillet, Abdoulaye Keita, rédacteur du journal Aurore, a été embarqué de force dans un véhicule 4×4 par des hommes armés habillés en civils, emmené dans un lieu isolé près de l’aéroport et roué de coups par des hommes qui ne cessaient de fustiger les journalistes maliens. Le 13 juillet, un journaliste malien respecté, directeur de publication de L’Indépendant, Saouti Labass Haidara,a été enlevé par huit hommes lourdement armés habillés en civils.

Depuis son lit d’hôpital, il a déclaré à Human Rights Watch, « Ils ont tiré en l’air au moment où ils m’ont fait monter dans leur voiture… Après avoir vu les lumières de la capitale commencer à s’estomper, ils se sont rangés sur le côté, m’ont jeté à terre, m’ont donné des coups de pied et ont continué à me rouer de coups. Ils appelaient toujours celui qui les commandait ‘capitaine’ et ont dit à plusieurs reprises, ‘C’est vous les journalistes qui nous embêtez’. Ils ont menacé de me tuer si je portais plainte contre eux et m’ont dit que de toute façon, il ne leur arriverait rien. »

Haidara souffrait d’une fracture au bras et de multiples contusions. Le ministre de la Justice a promis l’ouverture d’une enquête sur cet incident.

Un journaliste a signalé à Human Rights Watch, « M. Haidara est l’un des journalistes les plus respectés du Mali et il est comme le doyen de la presse malienne. C’est le mentor de 10 rédacteurs de journaux moins importants. En attaquant M. Haidara, ils cherchent à nous envoyer un message à tous. »

Source: Human Rights Watch – 25 JUILLET 2012

 

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77 COMMENTAIRES

  1. Comment Sanogo et sa junte peuvent exécuter des compagnons d’armes vaincus et desarmés.Là ils sont pires que les assassins de Haguel hoc car les rebelles quand même sont nos ennemis.

  2. Dans la logique du malien on doit dépasser tout ça se pardonner se parler et se dire après tout ça nous sommes des maliens et cette crise va finir in cha allah et nous allons nous retrouver après et d’autres ne pourront plus se regarder face à face et ceux qui se rendraient coupable de quoi que ce soit va répondre soit devant le peuple malien, soit devant la justice internationale au pir devant Dieu nul ne peut l’échapper. Dans la vie il faut toujours mesurer ce l’on fait. Attention il ya la CPI.

  3. Vous n avez encore rien vue avec notre Dadis national mais qu il sache que la roue tourne pour tt le monde ( ni yé mi que tiè ta tô la ou seqin tô ba sara y la) laisson le temps au temps

  4. Mali is a wonderful country .We have to stick together through thick and thin.We are making a bad name for our country .We cannot let anyone take over us .How are we going to live ? How will we feed our families ? Captain Sanogo is doing everything he can to make a change in Mali .If we don’t believe in him how will we make this chaos end.

  5. AGUELHOC a KATI………………………

    La CPI attend la junte…..comme les touaregs responsable du massacre d’aguelhoc…..

  6. Inimaginable…..

    La verite resortira…. toute la verite…et es militaires seront punis de ce qu’ils ont fait……executer des gens ds des villages proches de Kati a 3 hrs du matin….les enterres et pensant que c’est fini….vous ne perdez rien pour attendre….la justice vous ratrappera un a un…et vous payerez…

  7. C’est affreux!
    La violence,l’immoralité,l’inculture et la bêtise érigées au rang des beaux arts.
    Tôt ou tard ces fainéants paieront inéluctablement leurs crimes. 👿

  8. J’étais loin d’imaginer que les militaires maliens de l’ère de la démocratie n’avaient pas rompu avec les vieilles pratiques jadis en vigueur à TAOUDENIT
    PROPOSITION: cette armée là ne fait plus l’affaire du Mali. Il faut la DISSOUDRE et former de nouveaux cadres dignes et humains. Ceux d’aujourd’hui ne sont rien d’autres que DES BETES FEROCES. : LE DANGER PUBLIC qui nuira tjrs à la communauté. RASER TOUS LES CAMPS ET CREONS D’AUTRES.

  9. le camp de kati est devenu un lieu de massacre pour la junte les individus sont massacres en flagrants par la force de defense et de securite j aimerai savoir si le droit de l homme esciste et si l onu la communaute international sont pas des force neutres

  10. Privé de nourriture depuis quelques jours, ce contingent militaire, anciennement en poste à Tessalit, lutte à présent pour sa survie et nourrit le sentiment d’un oubli ou abandon total de la part de nos autorités et même de l’opinion.

    Nos soldats qui sont au nombre de 80 personnes, dont le commandant de régiment, Ousmane SANGARE, et quatre autres officiers de différents grades, après avoir reçu de la hiérarchie militaire l’ordre d’un « Repli tactique », se dirigeaient vers le Niger lorsqu’ils ont été fait otages du Mouvement populaire de l’Azawad (MNLA).
    Après leur capture, en février dernier, ils ont été conduits dans une zone frontalière avec l’Algérie.
    Mais depuis ce moment, jusqu’à maintenant, soit 5 mois, aucune démarche n’a été entreprise pour leur libération.
    NB : Human Rights Watch attend quoi pour aller voir ces otages ou bien ils ne sont pas maliens eux et n’ont pas de familles???? 👿 👿 👿

  11. Quand tu cherches à tuer ton prochain et que tu échoues, alors ton prochain te tue. Il y a pas de commentaire à ce niveau.

    • On ne tue pas l’ennemi capturé, même en temps de guerre. Si il y a des gens pour prêcher le contraire, c’est qu’ils ont le gène de l’assassinat en eux.

      Il faut que force reste à la loi!!Ceux qui ont orchestré ces meurtres doivent répondre devant la juridiction militaire. La cour martiale existe et on ne peut, soit-on CNRDRE, l’outrepasser et se faire justice.

      Les exécutions extrajudiciaires sont condamnables et dignes d’une autre époque, celle de la barbarie qui ravale au rang de l’animal.

  12. Sanogo et ses supporters pensent qu’on peu tuer en toute impunité eh bien non! On finit toujours par vous attraper et vous faire payer jusqu’au dernier péché. Vous n’avez pas l’éducation du malien. Des assassins de vos frères d’armes que vous avez fait prisonnier. Vous pouviez les remettre à la justice, mais drogués que vous étiez et aveuglés par la méchanceté et l’idiotie. Maintenant tant pis pour vous. La CPI arrive et rien ne peut l’arrêter. Bagbo et Kadhafi étaient des dieux comparés à vous pauvres fuyards, voyez ce qu’il leur est arrivé.

  13. Si on doit condamner ubn coup d’Etat, alors il faut aussi condamner un contre coup d’Etat: Tout est coup d’etat!!!!
    Quand tu prends des armes pour tuer quelqu’un sans avoir au préalable evaluer tes forces, alors ne soit pas surpris par sa reaction. Ce Contre coup d’Etat etait une operartion suicidaire montée avec un diletantisme absurde. Je regrette qu’on ait sacrifié de jeunes innocents pour assouvir une vengeance. Les initiateurs auraient dû connaître et appliquer cette sagese chinoise: toute victoire se fonde sur la duperie: si ton adversaire t’es superieur, esquive-le; s’il est coléreux, irrite-le; s’il est de meme force que toi, bats toi sinon rompt le combat et re evalue”

  14. La fin de Sanogo a sonné. il ne pourra jamais s’échappe.C’est ignoble ce que Sanogo et sa bande de goujats et de *****ont fait subir aux bérets rouges et à certains hommes politiques.cons qu’ils sont, ils ont même filmé leur forfait et publié sur youtube. Voilà qu’ils sont rattrapés par la justice internationale. Ils finiront tous à la CPI.les organisations de défense des droits de l’homme attendent que la situation se calme pour exiger le transfert de Sanogo et sa bande à la CPI.
    Quelle fin tragique pour ce crasseux de capitaine.

  15. CES BANDITS DE KATI ET TOUS CEUX QUI LES ONT SOUTENUS FINIRONT MAL.
    LE MALI N’AVAIS EN AUCUNE MANIERE BESOIN D’UN COUP D’ETAT, AVEC CES ATTARDES LE PEUPLE A CONNU UNE HUMILIATION TOTALE.
    SUIS AUSSI SUR D’UNE CHOSE:ATT RESTERA A JAMAIS CITE DANS LE MONDE ENTIER POUR SON PATRIOTISME ET POUR TOUT CE QU’IL A EU A FAIRE POUR NOTRE CHER PAYS (LE MALI).

    COMPTE TENU DU FAIT QU’ILS ONT PERPETRES LE COUP D’ETAT POUR SOIT DISANT FAIRE FACE A LA SITUATION DU NORD. VIVEMENT LES MEMBRES DE LA JUNTE SUR LA TETE DE LISTE DES MILITAIRES QUI DOIVENT ALLER AU FRONT.

    QUE DIEU NOUS PROTEGE DES RACAILLES DE KATI, ILS NOUS ONT ETALES SUR LA PLACE PUBLIQUE.

  16. Moussa Ag, comme d’habitude tu as raison sur toute la ligne en ce qui concerne les militaires au Mali.

    Kdiallo, ha, tu ne sais pas que les maliens (pour la plupart) ont perdu ce qu’il y a de plus cher, l’honneur, et ce depuis fort longtemps!

  17. Sanogo a fait le coup d’etat pour servir les militaires, il n’a aucun cas parler l’avenir du Mali uniquement l’avenir des militaires,
    ILS mouront tous dans l’enfer.

  18. SANOGO NE PEUT PAS QUITTER…SANOGO NE PEUT PAS RESTER….

    ON EST DANS LA MERDE POUR LONGTEMPS ET CA RISQUE D’ETRE PIRE BIENTOT….

    EN TOUT CAS SI CES ALLEGATIONS SONT FONDES….LE FANFARON DE SOLDAT RATE DE CAPITAINE VA PERIR COMME TOUS LES AUTRES QUI L’ONT PRECEDE DANS LA TORTURE…..

    IL N’EST PAS LE PREMIER…IL NE SERA PAS LE DERNIER….ET IL NE FERA PAS EXCEPTION….

    POUR CE QUI EST DES SOLDATS RATES QUI ONT COMMIS CES ACTES….LA VIE D’UN MILITAIRE CROISE BEAUCOUP DE CHEMINS….LA PROBABILITE DE SE RETROUVER CAPTIF … UN DE CES JOURS …EST TRES ELEVE….ET LE BON DIEU NE DORT PAS ET N’OUBLIE PAS….

    DANS UNE ARMEE….LE MAUVAIS LEADERSHIP EST PIRE QU’UN CANCER….NOUS AVONS UNE RACAILLE A KATI A CAUSE DU MAUVAIS LEADERSHIP D’UNE BANDE D’OPPORTUNISTES DE SOLDATS RATES….

    NOUS ALLONS TOUS….JUSQU’AU DERNIER MALIEN….REGRETTER CE COUP D’ETAT IRREFLECHI ET OPPORTUNISTE D’UNE RACAILLE DE SOLDATS RATES …..

    LE PM IRA DANS LE GOUFFRE AVEC EUX….

    Moussa Ag, qui sait quel sort est reserve aux soldats rates si ils ont vraiment execute des berets rouges captifs…..LE BON DIEU NE DORT PAS…DEMANDEZ A SADDAM….MOUBARAK….KADDAFFI….CHARLES TAYLOR…ET AUTRES DU GENRE…..CA VA VENIR …JUSTE UNE QUESTION DE TEMPS….

      • JE SUIS ENTIEREMENT D’ACCORD AVEC TOI….CE N’EST PAS UNE EVENTUALITE A ECARTE….

        MAIS JE TE GUARANTIE UNE CHOSES….SI CES ALLEGATIONS SONT FONDEES….CES GARS LA VONT PERIR…..TOT OU TARD….

        ON ESPERE QU’ILS NE VONT PAS EMPORTER LE MALI AVEC EUX….

        LA POLITIQUE EST AUSSI PUISSANTE QUE LES ARMES….ET NOS GARS ONT LAISSE TOUT NOTRE ARSENAL AVEC LES ISLAMISTES DANS LEUR FUITE…

        Moussa Ag, qui est certain que les fanfarons ne pourront pas echappe a leur sort….

  19. Pourquoi les maliens laissent Sanogo regner en chef au mali et pourquoi les maliens ne se soulevent pas ? je ne comprends pas ….

    • LES MALIENS DOIVENT SE REVOLTER CONTRE LES POLITIQUES DONT LE SILENCE ET LA COMPLICITé NOUS A VALLU CETTE SITUATION .SI CES C.H.I.E.N.S DE POLITICIENS OPPORTUNISTES AVAIENT JOUé LEUR RÔLE ,LE COUP D’ETAT N’AURAIT PAS EU LIEU….C’EST PARCEQUE LES POLITICHIENS ONT FAILLI QUE L’ARMEE EST ARRIVéE ET C’EST CES MEMES POLITICHIENS QUI BLOQUENT LE PAYS CAR CHACUN VEUT UNE PART DU GATEAU MALI….IL EST PREFERABLE DE SUQPENDRE TOUTES LES ACTIVITéS POLITIQUES JUSQU’AU RECOUVREMENT TOTALE DES 3 REGIONS

  20. #TOLERANCE ZERO# bien fait pour ces appatrides qui par idiotie ou par gain d’argent facile ont au lieu de partir liberer le nord a la base de sevare ils ont refuse pour faire leur sale besogne.
    Tx…………………..

  21. On peut tromper tout le monde une fois, certain tout le temps mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps. Abraham Lincoln
    Regarder A.SANAGO est un RIPOU
    Il faut pas avoir peur de ce RIPOU. 😈 😈 😈

  22. la vengeance est un plat qui se mange à froid dit-on ,c’est vrai ils ont raté leur contre coup d’Etat ,ils ont été pris ,maintenant c’est à la justice de faire son travail.Rien ne sert de battre un homme déjà à terre.comme on le dit chez nous en banbara SAMBA DJOTE KELE LA O TE WERE TCHI KOUNBO.La haine aveugle .

  23. ESt ce que le coup d’état est permis dans un état démocratique? si Sanogo et son clan l’ont fait puis se voient contre attaquer par d’autres je vois pas le problème du moment où ils sont tous dans l’illégalité, et pourquoi eux ils n’ont pas reçu les mêmes châtiments. Merde à cet imbécile de Sanogo et à son clan qui nous ont foutu dans cette impasse que dieu les maudisse, “antoro là”

  24. Un crime se paye par un crime, c’est eux qui ont d’abord tiré sur leurs frères sans assumer la conséquence.La dame qui dit avoir vu son enfant à la télé , aurait pu se poser la question combien Son enfant a pris afin de s’hasarder dans cette besogne

  25. Si cexxxx Sanogo savait que Dieu existe, il n’allait pas faire ça. Mais malheureusement pour lui, c’est un xxxx hors pair donc il ne peut pas imaginer ces sanctions divines. Pauvre de lui! Son dernier jugement sera très amer inch’Allah.

  26. prions pour la paix au mali car vous ne connaissez pas la guerre c’est pourquoi vs jouez avec les mots

  27. ceux apportent crédit au gouvernement de transition de diarra et sanogo ont pris pour leur grade. pour l’honneur, diarra, de lui même, doit rendre sa démission.

  28. si ses actes sont avérés c’est inadmissible intolérable et inhumaine on n’est ds un etat de droit quelque soit les faits qu’ont leurs reprochent ils devraient etre mis a la disposition de la justice et non de leurs exécutés c’est un crime contre l’humanité

  29. Que les détenus soient sévèrement punis jusqu’à ce qu’ils crachent les noms de leurs complices si non ils risqueront de reprendre.
    On ne rate pas un coup d’Etat. Demandez aux Guinéens avec Lassana KONTE et Burkinabés leur mutinerie contre Blaise. Ce n’est ni la première et ne sera non plus la dernière. Si chacun d’entre nous attrape un voleur armé dans son domicile qu’est ce qu’on fait de lui?. “Diafoule wayi”,

  30. Ce qui ont attaqué le camp deKati ont tort mais après affrontement il failait pas faire d’exactions que justice soit faite

  31. C’EST BIEN CONNU, LA VIE EST AINSI FAITE: ON PEUT PAS ETRE DOUE EN TOUT!
    MALHEUREUSEMENT, IL Y EN A MEME QUI NE SONT DOUES EN RIEN!… COMME PAR EXEMPLE CERTAINS PETITS CAPITAINES SOULARDS, MULTI-RECEDIVISTE DE L’ECHEC AU BACCALAUREAT! C’EST LA VIE!…

    OBJECTIVEMENT, ON EST FORCES DE CONSTATER QUE NOS TROUPES DE KATI N’ECHAPPENT PAS A CETTE EVIDENCE DE BASE: ELLES NE SONT PAS DOUEES EN TOUT, MAIS POUR AUTANT, ET DIEU MERCI, IL Y A QUAND CERTAINS DOMAINES DANS LESQUELS ELLES EXCELLENT:

    POUR DEFENDRE LA NATION, LA, ONT LE VOIT DEPUIS LE 22 MARS, ELLES SONT BIEN PLUS QUE NULLES ELLES SONT INEXISTANTES! EN REVANCHE, POUR PILLER LES DOUANES ET DIFFERENTS MINISTERES, REQUISITIONNER DE FORCE DES VOITURES A DES AUTOMOBILISTES DESARMES, PILLER DES COMMERCES ET DES STATIONS D’ESSENCE, VIDER LES CAISSES DE L’ETAT, VOLER LES BIENS PERSONNELS DES CIVILS QU’ELLE ARRÊTE EN TOUTE ILLEGALITE, LA, RECONNAISSONS-LE OBJECTIVEMENT, NOS BERETS SE MONTRENT CARREMENT REDOUTABLES!

    ET DANS LE MEME REGISTRE, SI CES DERNIERS SE MONTRENT INCAPABLES DE MONTER LIBERER LE PAYS FACE A DE DANGEUREUX ENNEMIS, IL N’EMPECHE QU’ELLES SE MONTRENT IMBATTABLES QUAND IL S’AGIT DE TORTURER DES PRISONNIERS ENCHAINES A TERRE, DE MENACER ET TERRORISER LEURS EPOUSES ET MERES, DE FAIRE TABASSER UN PRESIDENT DE 70 ANS PAR DE SIMPLES BADAUDS, D’ENLEVER NUITAMMENT, PLANQUES SOUS DES CAGOULES, DES JOURNALISTES DE PLUS DE 60 ANS ET LES LAISSER POUR MORT, ETC. etc…

    C’EST CE QU’ON APPELLE UNE ARMEE…”TRES SPECIALISEE”!… ET MEME SI NOUS AVONS ATTENDU EN VAIN QU’ELLE MONTE AU NORD POUR REPRENDRE DES POSITIONS AUX REBELLES ET NE L’A JAMAIS FAIT, ELLE A QUAND-MEME DE HAUTS FAITS D’ARMES A SON ACTIF DEPUIS DE 22 MARS: LA PRISE DE L’ORTM PEUPLEE D’EMPLOYES DESARMES! SANOGO, ON A LES FAITS D’ARMES QU’ON PEUT…

    MAIS EN GENERAL, AU 21eme SIECLE, IL EST RARE QU’ON LAISSE IMPUNIS DES CAS DE TORTURE OU DE “DISPARTION” CONNUS DE TOUS. TES PROCHAINES MEDAILLES RISQUENT FORT DE T’ETRE DECERNEES PAR LA CPI, AINSI QUE TON BRILLANT COMPLICE CMD QUI T’A COUVERT DEPUIS LE DEBUT! ON A LES MEDAILLES QU’ON PEUT…

  32. Messieurs, Mesdames , Bérets Rouges, Bérets Verts, Casquettes, Képis, Casques,cheveux longs, cheveux courts, et même chauves … quel est le sang qui coule dans vos veines ? N’est ce pas du sang Malien ?
    Votre ennemi n’est pas votre frère, mais ceux qui bafouent votre culture, vos valeurs. Voila vos vrais ennemis. ne vous trompez pas de cible.

  33. Tous les responsbles de ces crimes ignobles indignes du Mali seront punis un jour. Allah ne dort pas. Il sait tout. IL voit tout.

  34. “Qui règne par l’épée périra par l’épée”… Très bien dit.

    Human Rights Watch, cette organisation est bien silencieuse sur ce qui se passe en Palestine, à Watanamo, sur ce qui se passe aux Etats Unis concernant les améridiens. d’Amérique, ce qu’à fait la France vis à vis de Algériens à Paris, combien d’Algériens ont découvert la profondeur de la seine??.., Encore un organisation qui bouffe de l’argent pour remuer la M…., plus tôt que d’apporter des solutions de réconciliations, pour faire vivre ces vauriens, ces fonctionnaires que sont TPI et CPI… Au lieu de maintenir ce organisations, il serait judicieux d’aider les pays à développer l’agriculture. Oh que non, on ne va pas donner un coup de pied dans son assiette dans laquelle on mange.

    On assiste actuellement à un acharnement sur les exactions de Bérets Verts. Mais en 1991, les Bérets Rouges ont-ils été des enfants de coeur? Je ne suis pas pour ces exactions, mais, laissons tout çà pour le moment. Il n’est plus temps de polémiquer, il est le temps d’union, de pardon, pour qu’ensemble le Mali retrouve ses enfants soudés pour chassés ces “Foux de Dieu”.
    Ce qui est fait , est fait. Evitons de les refaire. Pour bien vivre, il faut vivre en Paix. Faire la Paix autour de soi, avec ses proches, pardonnez son ennemi (facile de dire mais extrêmement difficile à réaliser).
    Le fait que G. Moussa Traoré, condamné, a été amnistié prouve bien que le Malien a un bon fond, un fond religieux. Essayons de retrouver ces valeurs qui ont été la force du Mali.
    Ne nous attardons pas nos différences, mais rassemblons nous sur ceux qui nous unis, et le Mali se relèvera de ses propres forces. Le Mali a besoin de tous ses enfants, de tous ses enfants.

    • C’est faux Monsieur. Human Rights Watch a dénoncé tous les crimes dotn vous parlez, que ce soit en Palestine, en Afghanistan, en Irak, à Guantanamo, etc…Il faut au moins reconnaitre. Quleque soit ce que les bérets rouges, on ne peut pas justifier et accepter ces traitements inhumains. Ceux qui ont été tués, torturés, violés,.. ont des familles comme vous et moi. Malgré ce qu’ils ont fait, ils avaient des droits. Il faut faut bien que quelqu’un parle de ce qui s’est passé car ce n’est pas le Gouvernement incompétent et poltron de CMD qui va faire quoi que ce soit. Si Malick Coulibaly est réellement intègre comme cela se dit, il doit faire ce qu’il faut, ordonner de vraies enquêtes, à défaut démissionner ou continuer et se couvrir de la honte suprême. Car tot ou tard, les auteurs de ces actes finiront devant la CPI. J’en suis convancu. Je l’espère de tout mon coeur.

    • Tu écris n’importe quoi!!! Tu devrais étudier ton sujet avant de te balancer un tissu de conneries sur le site.HRW a dénoncé clairement toutes les exactions dont tu parles!!! Quand à dénoncer les crimes de la france envers les algériens (régulièrement rappeles en France par des milliers d’associations et il y a dejà plusieurs années que la justice française à poursuivi l’ex ministre Papon, réveilles-toi!), leur vocation n’est pas de dénoncer des crimes commis et connus de tous il y a plus de 50 ans mais plutôt les crimes actuels. C’est du simple bon sens.

      Quand a demander à HRW de s’occuper du developpement de l’agriculture, c’est comme demander à l’ONU de s’occuper des espaces verts! Ridicule, impartial, et stupide ton message!

      • Avant de critiquer, vous devriez comprendre d’abord ce que j’ai dit. Je n’ai jamais dit à HRW s’occuper du développement de l’agriculture. Il faut bien relire ce que j’ai écrit. C’est pourtant clair et limpide. La langue française est précise et concise…. Je ne sais pas si mon message est stupide, où celui qui comprend de travers est stupide…

        HRW a-t-il condamné G.BUSH et T.BLAIR ? les dégâts colatéraux causés soit disant que Saddam Hussein avait des armes à destruction massive ????

        Les crimes commis par l’Etat d’Israel ??? Le massacre de Fallujah , Sabra et Chatila ? Il ne suffit pas de condamner verbalement les actes, mais , quid des CPI et TPI ??

        AH bon ? le rôle de la TPI et CPI n’est pas de dénoncer des crimes commis et connus de tous il y a plus de 50 ans? pourtant, on traque encore les anciens nazis… il y a quelque part de la partialité dans la justice de ces organisations…

  35. Monsieur lavérité, gardes ta vérité pour toi même. Ce sont les vrais militaires qui ont été torturés, massacrés. Les auteurs de ces actes n’iront jamais libérer le Nord. Ils ne connaissent que la belle vie, l’histoire jugera chacun de nous.

  36. Il est vrai que coup ou contre-coup est punissable mais torturer comme cela a été le cas est un crime de guerre !!! Vivement que les coupables de torture soit devant la justice internationale pour répondre a leur salle besognes !!! Qui règne par l’épée périra par l’épée !!!

  37. C’est bien fait ils recoltent ceux qu’ils ont semer vous n’avez rien dit quand ils ont essayer d’attaquer notre propre armée vive Sanogo et que la verité triomphe

  38. Je n’ai jamais su que de tels actes peuvent se produire dans notre pays. Human Rights Watch vous m’avez donné larmes aux yeux en lisant cet article. Vraiment c’est inhumain. Que la justice fasse son travail et que ces malfaiteurs soient punis.

  39. Je n’ai jamais su que de tels actes peuvent se produire dans notre pays. Human Rights Watch vous m’avez donné larmes aux yeux. Vraiment c’est inhumain. Que la justice fasse son travail et que ces malfaiteurs soient punis.

  40. De toutes les façons Sanogo et sa troupe de petits esprits doivent attendre vivement leur tour. Dieu ne pardonne pas de tels actes. Ils sont petits d’esprit en croyant qu’en se terrant à Kati, ils pourront échapper. C’est très bête. C’est le frère d’un béret vert tué, c’est l’oncle d’un béret tué, c’est le cousin d’un béret vert torturé…Chacun a son tour. Wait and see. Le pouvoir changera de camp un jour soyez certains que vivement votre tour mais nous ne souhaitons pas de tels actes au Mali.Des nullards, ne peuvent prendre les rênes d’un pays. Juste leur temps éphémère.

  41. D’abord il faut renvoyer ce gouvernement de voyou et de vauriens ensuite laisser place a la CPI de venir prendre les vagabonds du CNRDRE ….

    Sanogo, si Charles Taylor a ete arrete comme un poulet, moi je ne m’en fait meme pas, toi et tes accolytes finiront plus malheureux que Charles taylor..

    Attendons voir

    • taylor au moins a eu un traitement décent y égard à son statut d’un ancien chef d’état, sanogo ne subira que son sort.

  42. les auteurs du contre coup ont tord.touit le monde doit s attendre aux consequences.c est une affaire entre militaires

  43. La CNDEMERDE va payer. Comme ils l´ont eux même dit: l´impunité est finie dans le monde. Sanogo et sa bande à la CPI. Bagbo, Taylor et autres y sont.

  44. « Quand nous l’avons vu à la télévision, j’ai bondi et crié, ‘C’est mon fils ! Mon fils est vivant !’ Depuis lors, nous l’avons cherché partout, mais il n’y a aucune trace de lui. Expliquez-moi comment il peut passer à la télévision nationale un jour et tout simplement disparaître le lendemain ? »

    Ayé sabli doni donnez au une réponse aux parents
    au lieu de leur laisser dans l angoisse et la tristesse

    La mère d’un autre disparu a expliqué : « J’appelle mon fils sur son téléphone mais il ne répond pas. Je suis allée partout et j’ai regardé sur toutes les listes – la liste des blessés, la liste des morts, la liste des détenus, mais le nom de mon fils n’est pas là. Pourtant, j’ai l’espoir que je le reverrai. L’espoir, c’est tout ce qui me reste. »

    • S’il ne répond pas ce que son portable est allumé quelque part
      et lui même dans un autre quelque part

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