Amnesty International a affirmé mercredi qu’une « purge » était en cours au sein de l’armée malienne à la suite d’une mutinerie, dénonçant des « exécutions extrajudiciaires » et des « disparitions forcées ».
« Des informations récentes indiquent que des éléments de l’armée du Mali effectuent une purge de soldats qui ont pris part à une mutinerie le mois dernier dans une caserne située à l’extérieur de Bamako », a déclaré Amnesty International dans un communiqué.
Le 30 septembre, plusieurs dizaines de jeunes soldats avaient bruyamment revendiqué, en tirant en l’air, des promotions comme celles accordées à Amadou Sanogo, capitaine promu général en août et auteur d’un coup d’Etat le 22 mars 2012. Ils avaient blessé un de ses proches, un officier supérieur séquestré plusieurs heures avant d’être relâché dans la ville garnison de Kati, près de Bamako.
Une trentaine de militaires ont été arrêtés à la suite de ces incidents, selon le ministère malien de la Défense.
« Les corps de quatre soldats ont été découverts au début du mois d’octobre près de la capitale et plusieurs autres, y compris un colonel, sont portés disparus. Ces exécutions extrajudiciaires et disparitions forcées apparentes font craindre que les soldats fidèles au général Amadou Haya Sanogo, qui a organisé un coup d’État en mars 2012, ne soient en train de mener une purge dans leurs rangs pour étouffer toute dissidence », a indiqué Amnesty.
« Ceci est le dernier exemple frappant de la manière dont un petit groupe de soldats qui semblent se considérer au-dessus de la loi continuent à s’accrocher au pouvoir au Mali », a commenté Gaëtan Mootoo, chercheur d’Amnesty International sur l’Afrique de l’Ouest.
L’organisation appelle les autorités maliennes à ouvrir une enquête indépendante et impartiale.
« Malgré l’arrivée au pouvoir d’un président démocratiquement élu en août 2013, un petit groupe de soldats fidèles à l’ex-junte continue d’imposer, en toute impunité, la terreur à leurs opposants présumés », a souligné l’organisation de défense des droits de l’homme.
Le putsch du 22 mars 2012, qui avait renversé le président Amadou Toumani Touré, avait précipité la chute du Nord du Mali aux mains de groupes islamistes. Ces derniers ont été chassés par l’intervention en janvier de l’armée française.
Cher NFP,
mais Sanogo n’est que le bras et Ladji est le cerveau de tout ce bordel.
il n’a pas le choix que d’essayer de se proteger.Ceux qui sont entrain d’etre “zigouillés ” sont des Tentacules ….wait and see.
Le film est au milieu ,apres avoir eu le MAGOt,les malfrats se zigouillent un á un jusqu’au ” CHEF “.
Les Maliens sauront qui ils ont “choisi” Salut.Hendou
Sanogo à tort de s’inquiéter! Il n’a qu’à “demander pardon” à la CPI comme il l’a demandé au peuple Malien! 😆 😆 😆
Il verra bien si ça marche!… 😆 😆 😆 😆
“L’organisation appelle les autorités maliennes à ouvrir une enquête indépendante et impartiale”
Ces toubabs kamême! 😀 😀 😀
“une enquête indépendante et impartiale”… 😀 😀 😀 😀 😀
“Les autorités Maliennes” 😀 😀 😀 😀 😀
Ils demandent…. aux autorités Maliennes 😀 😀 😀 une enquête indépendante 😀 😀 😀 et impartiale 😀 😀 😀 😀
Ces toubabs, kamême! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
Ces gens ont le cerveau atrofié!!!!!!!!!!!!!!!!!
Slut mon NFP 😆 😆
Finalement c’est de la farce à l’intérieur comme à l’extérieur!!!
Avec la CPI dans nos murs, et maintenant HRW qui fait une déclaration officielle en parlant carrément de purge, Sanogo doit commencer à souffrir d’un rétrécissement de “l’orifice de ponte!” 😆 😆 😆
Et par voie de conséquence, son grand protecteur Mandé massa aussi! 😆 😆
IBK est en train de prendre sa 1ère leçon de real politik: Au 21ème siècle, quand on s’associe avec la racaille, on paye l’addition un jour ou l’autre…
Maintenant que son protégé Sanogo est CUIT sous peu, et que les magouilles de Kati sont publiquement indexées par une organisation de stature mondiale comme HRW, IBK doit commencer à regretter de n’avoir pas envisagé son image à l’échelon INTERNATIONAL! 😀 😀 😀
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