L’information a été publiée par la Présidence Burkinabé. Des officiers supérieurs du commandement de l’armée burkinabé ont été dépêchés par le Président du Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, le vendredi dernier à Bamako pour rencontrer le Colonel Assimi Goïta. Au cœur des échanges, la reprise de la lutte contre le terrorisme sur le terrain.
Les informations, fournies par la Présidence Burkinabé, précisent que c’est le Commandant des opérations du théâtre national, le Lieutenant-colonel Yves-Didier Bamouni, qui a conduit la délégation burkinabé au Mali. Au rang des émissaires, on note la présence du Lieutenant-colonel Daba Naon, Commandant la Brigade nationale de Sapeurs-Pompiers et le Chef d’escadron Serge Thierry Kiendrebeogo, Directeur de cabinet du Président de la transition du Faso.
A Bamako, la délégation a été reçue par le Chef de l’Etat Malien qui était accompagné de ses alliés de l’ex-CNSP à savoir le Président du Conseil national de la Transition, le Colonel Malick Diaw, le Ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, le Colonel Sadio CAMARA, le Directeur général de l’Agence de renseignement et de la sécurité de l’Etat, le colonel Modibo Koné ainsi que le Directeur de cabinet du Président. Les deux parties ont abordé les questions relatives au renforcement de la coopération opérationnelle entre les deux pays. Le Burkina et le Mali, alliés dans la lutte contre le terrorisme, puisque faisant partie tous du G5 Sahel, ont vu leur coopération militaire se détériorer à cause de la décision de la CEDEAO et de l’UEMOA d’imposer un embargo sur le Mali. La présidence de l’UEMOA était assurée au moment des faits par le Président burkinabé déchu Rock MarcChristian Kaboré.
A Bamako, les autorités actuelles du Faso ont réaffirmé leur volonté de tourner cette page et de continuer la coopération militaire et sécuritaire avec le Mali et de la renforcer notamment par l’intensification des opérations sur le terrain. « Nous avons les mêmes problèmes de sécurité et le même ennemi. A ce titre, nous devons donc rester solidaires pour relever les défis qui se posent à nos deux pays », a expliqué le Chef d’escadron Kiendrebeogo.
A travers cette rencontre, les autorités burkinabés ont réitéré leur ambition d’anticiper les problèmes sécuritaires que, selon la déclaration de la présidence Burkinabé, pourraient engendrer un repli des groupes armés terroristes sur le territoire burkinabè. Le Burkina craint qu’en raison de la montée en puissance des Forces de défense et de sécurité maliennes dans la lutte contre le terrorisme, les groupes armés terroristes ne se replient sur son territoire. C’est pourquoi la partie burkinabè a dépêché cette délégation de haut niveau afin de développer des synergies pour contrer ces forces du mal. C’est ainsi que la délégation a été autorisée, dès son arrivée à Bamako, à avoir une séance de travail avec le Chef d’Etat-major général des armées maliennes, le Général de division Oumar DIARRA, autour des perspectives pour le renforcement de la coopération opérationnelle maliano-burkinabè dans la lutte contre les groupes armés terroristes.
La situation très tendue sur le terrain, avec la multiplicité des attaques meurtrières contre les civils et les militaires des deux pays, serait à l’origine du rapprochement, selon le lieutenant-colonel Paul Damiba et le Colonel Assimi Goïta. Les réalités du terrain ont finalement eu raison sur la crise diplomatique née de l’embargo que le Burkina avec les autres pays de l’UEMOA continuent d’imposer au Mali. Les deux pays partagent plus de 1200 km de frontière et sont engagés depuis plusieurs années dans la lutte contre des groupes armés terroristes. La zone des trois frontières, qu’il partage avec le Niger voisin, est le fief de l’Etat Islamique dans le Grand Sahara. Elle est quotidiennement le théâtre de plusieurs expéditions meurtrières orchestrées par l’EIGS contre les armées et les populations civiles des trois pays. C’est pourquoi nombreux analystes déconseillent l’escalade verbale entre les autorités Nigérienne et Malienne au profit d’une sincère coopération militaire.
Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net
Oui, oui, oui colonel DAMIBA, vous avez parfaitement raison, mais faite comprendre au colonel Assimi d’accepter d’intégrer l’apprentissage de vos armées auprès des pays les plus avancés dans cette lutte contre ces forces du mal sans aucun complexe, il s’agit des pays comme le Maroc, la Mauritanie, l’Algérie qui ont des plus eu égard à cette lutte contre ces forces du mal. Du courage te beaucoup de détermination dans cette lutte contre des écervelés du 21ième siècle.
ECOWAS remind me of person my ex-wife became after we had some financial success. She became selfish only caring what she wanted leading me to think I liked you better when we were financially broke. Where I came from you have to like person before you truly love them. If you do not you just confusing lust with love. A tremendous shock to me to see caring somewhat I will take charge woman become more monster she became more financial withal she possessed.
ECOWAS have given far to little consideration for security situation of Mali plus Burkina Faso. Like bitch ass slave master all ECOWAS have cared about is having it’s will imposed. With small on my face I would happily kick ass of presidents of Ghana plus Nigeria for secretly leading ECOWAS in pursuit of that evil goal. They have given no meaningful consideration to terrorists actions of murdering, raping, kidnapping, robbing plus destroying property of people of Mali plus Burkina Faso. Only places we expect to find ” niggers” lives mean so little is in nations led by Caucasian western democracy.
Africa do not need anymore leaders like their corrupt asses. It is shame Unstoppable accelerated Global Warming is unable to single them out plus impose it’s will on them before it impose that will on anyone else. They are truly scumbag people. Their mothers are likely constantly lying about their sons as presidents goodness to keep from crying about evil they impose upon Negroid Africans of Mali.
Henry Author Price Jr aka Kankan
😊IL FAUT MOBILISER LES PEULHS DU MALI, LES PEULHS DU BURKINA ET LES PEULHS DE LA GUINEE CONTRE LE TERRORISME ISLAMIQUE QUI LES OCCUPE!😊
😊
PARLONS DE NOS BONS NOMADES QUI DORMENT LE JOUR ET ENVAHISSENT LA NUIT! CECI DEPUIS DES SIECLES! RAMADAN DECHIFFRE’: ILS NE CHERCHENT PAS A SORTIR LE JOUR ET LA NUIT ILS BRULENT LES VILLAGES DE CEUX LA QUI ONT TRAVAILLE LE JOUR!😊
😊VIVE NOTRE COLONEL ASSIMI GOITA! VIVE NOTRE COLONEL DAMIBA!
😊VIVE LA COOPERATION MILITAIRE AVEC LA RUSSIE ,
😊VIVE LES PEUPLE EVEILLES D AFRIQUE! PEUPLES NON ISLAMISES NON CHRISTIANISES! FIERS DE LEURS TRADITIONS ET CULTES ANCESTRALES!
😊VIVE LE PAYS DES MORO NABA!
😊VIVE LE PEUPLE DU BURKINA FASO!
😊VIVE LES BURKINABEH!
😊VIVE DES ENFANTS DE THOMAS ISIDORE SANKARA!
😊VIVE LES PEUPLES NOIRS D AFRIQUE!
😊VIVE L HOMME NOIR OU’ QU IL SOIT!
😊VIVE L AFRIQUE!
😊VIVE LA DIGNITEE DE L HOMME NOIR!
😊VIVE TOUS LES AMIS VRAIS ET SOUTIENS DES NOIRS POUR L EMANCIPATION DES RACISTES RELIGIEUSEMENT CRIMINELS😊
Kinguiranke, plus de 1200km de frontières entre le Mali et le BFA.
Si ces 2 pays ne cooperent pas ,la lutte contre le terrorisme est voué à l’éehec.
Le Lt.Col Damiba, chef de l’état a servi dans le contingent du Faso déployé au Mali dans le cadre onu.Il c’est très bien ce qui se passe.Les combines de la France.
C’est pourquoi pour mieux lutter contre le djihadisme il a mis fin au régime de Kaboré.
BRAVO AU PEUP[LE BURKINABE ET C’EST LA SOLUTION ENTRE PAYS-AFRICAINS CONFRONTANT LES MEMES PROBLEMES POUR NOTRE LIBERTE, SOUVERAINTE ET INDEPENDANCE!
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