Le Mali n’est pas adapté à l’ère du terrorisme international. Ce qui se passe dans des pays comme le Kenya, le Nigeria commencent à se passer au Mali. A cet effet, nos autorités qui n’ont donc plus aucun choix, doivent s’adapter à lutter et à prévenir contre des attaques terroristes. Et pour ce faire, nos hommes de sécurité doivent se réveiller et être en première ligne. Dans la lutte anti-terroriste, ils doivent changer radicalement de mentalité. Car, chaque erreur, chaque négligence, chaque manque d’anticipation, de planification et de préparation coutera des vies! La priorité au Mali doit être la sécurité des personnes et de leurs biens. Toute chose qui semble échapper au contrôle des autorités maliennes. Pour un début de sérieux dans la lutte anti-terroriste, il faut entre autres : un programme d’identification réel de personnes et des véhicules…cela s’applique par d’autres programmes d’informatisation de pièces d’identités nationales, de contrôles d’identité strictes et routines de voyageurs entre les régions et aux frontières des pays limitrophes, de patrouilles routines ; un programme de fouilles improviste dans les grandes villes, Bamako (par quartier), Ségou. Gao, Tombouctou, Mopti, Diabali, et Douantza etc. La ville choisie doit être encerclée à l’aube suivie d’une fouille minutieuse. Aussi, un programme de payement pour toute information résultant en une découverte de cache d’armes ; la Création et équipement de nouvelles unités anti-terroristes et enfin un programme de sensibilisation des populations sur l’illégalité, en Islam, des actes que les terroristes commettent soi-disant au nom de Dieu. La preuve est que ces terrorises sèment le désordre et la désolation dans les pays africains tout en croyant qu’ils ont le plaisir d’Allah.
En tout cas, pour mener la lutte anti-terroriste, il faudra équiper immédiatement l’armée malienne en armes sophistiquées, des avions hélicos et d’armes de combat modernes. Mais aussi, de confier les fronts des combats aux soldats et officiers prototypes des maliens antiques fiers, honnêtes, courageux, intrépides sans peur préférant la mort à la honte.
Aliou Agmour
Il n’y a pas d’autre alternative si le Mali veut rester le Mali . Pour faire la paix il faut faire la guerre et pour faire la guerre il faut avoir les moyens . Donc équipons l’armée en helico ; sans cela les populations vont continuer à souffrir .
Je ne pensai pas qu’un de nos journalistes puissent avoir des idées claires comme ça, ce numéro doit être repris par tous les journaux du Mali et une fois par semaine.
Vous n’avez dit que du vrai. Il faut maintenant appliquer le vieil adage qui nous a toujours guidé: Courage chers compatriotes. Nous vaincrons l’ennemi camouflé en notre sein.
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