Dans les coulisses de la MINUSMA : La Conseillère du Chef de la Minusma roulerait pour le Mnla

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MNLAMme Carole Mottei, une conseillère de Bert Koenders, le patron de la Minusma, serait également une conseillère occulte du Mouvement National pour la Libération de l’Azawad (Mnla). L’information, qui a fait le tour des Rédactions de notre pays, se fait insistante. L’influente conseillère ne ferait plus mystère de ses  accointances avec le Mnla.

 

 

Ancienne employée de l’Ambassade de la Suisse au Mali, Madame Carole Mottei, a intégré la Mnusma où elle se présente de plus en plus comme un hôte encombrant pour notre pays. Plus le temps passe, plus cette collaboratrice de Albert Gérard Koenders affiche son engagement auprès du Mnla, qu’elle conseille dans un sens ou dans un autre. Déjà, le passé de cette dame ne plaide pas du tout en sa faveur, compte tenu de tout ce qu’elle a apporté au Mnla lorsqu’elle travaillait pour l’Ambassade de la Suisse au Mali. De nombreux Maliens qui ont suivi les tribulations de Mme Carolle Montéi ces dernières années se demandent pourquoi les autorités du pays ne l’ont pas encore déclarée “persona non grata” au Mali.

 

 

Mme Carolle Montéi ne serait pas étrangère à la politique de la chaise vide observée par le Mnla, depuis le depuis des concertations tripartites (Gouvernement, Groupes armés, Minusma), initiées par la Minusma elle-même. Lors de la dernière rencontre tenue les 13 et 14 mars, le Mnla était encore absent. De sources informées, Mme Carolle Montéi aurait travaillé en amont pour amener tous les groupes armés à bouder cette rencontre tripartite Gouvernement-Groupes armés-Minusma de la mi-mars. Or celle-ci était importante, puisque visant à relancer le processus de dialogue inclusif prôné par le comité de suivi des accords de Ouagadougou.

 

 

La question qui se pose désormais est de savoir si l’Onu, de par les agissements d’un agent de la Minusma, peut et doit être juge et partie dans le  processus de résolution de la crise.

 

 

Mieux, Mme Carolle Montéi jouit d’une telle influence auprès de M. Albert Koenders, le chef de la Minusma, qu’il est difficile de croire que celui-ci ne travaille pas en confirmité avec l’agenda de la Suissesse. Un agenda qui relève désormais du secret de polichinelle et qui fait la courte échelle aux intérêts des groupes armés.

 

 

Aux yeux de l’opinion nationale, la responsabilité de la Suissesse est grande dans le blocage du processus de dialogue. Un blocage qui est la conséquence de la politique de la chaise vide observée par le Mnla, sur conseil de Mme Carolle Montéi.

 

 

Albert Koenders, le chef de la Minusma, est-il conscient de la portée des agissements de Mme Carolle Montéi? En est-il complice? Saura-t-il prendre les mesures nécessaires pour ne plus imposer la présence d’un agent aussi encombrant à ses hôtes du Mali?

Laya DIARRA

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4 COMMENTAIRES

  1. Ce Laya Diarra est il vraiment un journaliste ? Je sais que nous sommes en avril, mais le 1er avril est déjà passé

  2. L affaire de Kidal je trouve que cel populations
    Malienne peut résoudre ce problèmes en donnant
    Rdv a Kidal ensembles

  3. LA CONSEILLERE PERD SON TEMPS ET CELUI DU MNLA QUI SERA ECRABOUILLE PAR LE NOUVEAU ROULEAU COMPRESSEUR DE L ARMEE MALIENNE !

    Le gouvernement du Mali a demandé à la Russie de lui livrer des hélicoptères, des avions de combat et des véhicules blindés pour combattre les rebelles islamistes dans le nord du pays, affirme mardi le quotidien russe Vedomosti. Le Mali veut «des hélicoptères Mi-35 et Mi-17, des avions cargo et des avions de combat, des véhicules blindés BTR-80, des systèmes radar de défense antiaérienne, ainsi que des armes légères et des munitions», a indiqué une source au sein de l’agence publique russe d’exportation d’armements Rosoboronexport.

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    En février, la Russie a déjà livré au Mali 3 000 fusils d’assaut kalachnikov, 300 mitrailleuses et des munitions pour un montant total de 12 millions de dollars, dans le cadre d’un contrat conclu en septembre 2012. Il n’est pas exclu que de nouveaux contrats sur la livraison d’armes russes, en premier lieu des hélicoptères et des véhicules blindés, au Mali puissent être signés «prochainement», a-t-elle souligné. Le directeur de Rosoboronexport, Anatoli Issaïkine, avait indiqué début mars que l’agence livrait au Mali des armes à feu «en toute légalité». Les autorités maliennes avaient alors fait part de leur intention d’acheter d’autres types de matériel militaire.

  4. Tout cela, c’est leur affaire!
    Preparons nous seulement! C’est tou! Ce qui est sur, ces voyous ne sont pas fiables pour un sou. Cependant, s’ils savent que nous sommes prets, ils vont nous foutre la paix! C’est pas très compliqué, tout ça! Il nous ont deja surpris dans le passé. Faisons en sorte que cela n’arrive plus jamais! C’est tout!

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