Après de nombreuses années de menaces terroristes, les pays africains du Sahel tels que le Mali et Burkina Faso ont commencé à prendre d’autres mesures et moyens plus efficaces pour mettre fin à la présence de groupes terroristes déstabilisent de divers pays africains depuis plus de 10 ans.
Le Mali a été le premier pays à faire pas en s’appuyant entièrement sur les forces armées malienne (FAMAs) dans la lutte contre les groupes armés, suite à la résiliation de la coopération militaire avec la France, l’ancienne puissance coloniale, et à la détérioration des relations entre les deux pays ces derniers mois. Les rapports tendus sont terminées à cause des résultats insatisfaisants des forces armées française sur le terrain et l’augmentation des menaces terroristes qui ont fait couler beaucoup de sang.
Récemment, le Mali a relancé une coopération militaire avec le Burkina Faso dans un mouvement de renforcement de l’axe Ouagadougou-Bamako et de protection des frontières communes entre les deux pays, qui sont estimées à plus de 1 000 km, et dans le but d’intensifier la lutte armée contre les groupes terroristes qui endeuillent les deux nations lors d’une rencontre d’amitié et du travail des dirigeants des deux pays Assimi Goïta et Ibrahim Traoré à Bamako le 02 novembre 2022.
Dans le cadre du raffermissement des relations d’amitié et de coopération militaire entre la République du Mali et le Burkina Faso, une rencontre de travail s’est tenue, ce vendredi 11 novembre 2022 à Ouagadougou, entre les ministres en charge de la Défense des deux pays accompagnés de leurs délégations à l’Etat-Major Général des Armées burkinabé.
À cet égard, le ministre malien de la Défense, le colonel Sadio Camara, a affirmé que le Mali et Burkina Faso allaient mutualiser leurs efforts et leurs moyens afin de faire face au terrorisme, à l’issue de cette visite.
« Nous avons reçu les instructions de nos chefs d’Etat, de se mettre ensemble, de mutualiser non seulement les efforts mais aussi les moyens, afin de faire face à notre ennemi commun et pour le bien-être de nos populations », a déclaré Camara à l’issue d’une rencontre avec le président burkinabè le capitaine Ibrahim Traoré, selon un communiqué de la Présidence burkinabè.
Par conséquent le gouvernement de transition au Burkina Faso prend les mêmes mesures que le Mali envers les forces françaises dans le pays en prélude à la non-accréditation et à la résiliation du partenariat militaire des forces françaises du pays, comme l’a fait le Mali au cours des derniers mois.
La coopération militaire entre les pays africains et l’indépendance vis-à-vis des forces étrangères est une étape positive pour rétablir la sécurité et éliminer les groupes terroristes. Les forces militaires locales se distinguent par un grand potentiel et capacités d’obtenir des résultats probants, comme les forces armées maliennes qui ont enregistré succès successifs depuis le retrait définitif de la mission de Barkhane.
Sabine Traoré
La coopération militaire entre le Mali et le Burkina cet une bonne chose, G5 sahel bel et bien mort ,
mobilisation patriotique et populaire le mali doit suivre lèxenple du burkina et non linverse
Pourquoi déshabiller aveuglément Saint-Pierre si c’est pour habiller Saint-Paul ? Dénoncer et quitter G-5 pour convoler avec le Burkina, le Mali marche sur la tête.
Tres Bonne demarche pour deux pays freres car ensemble nous allons bâtir une Afrique digne, libre et prospère.
C’est gratuit le rêve
Les rêves de la maudite France oui!
Laisse la France et l’occident tranquille. Ton beau pays de merde n’intéresse personne ici, même pas la diapora
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