Le Général Yamoussa Camara n’était pas à sa première tentative de soustraction de suspects dans la procédure d’enquête relative à l’affaire des « bérets-rouges » et au charnier de Diago. Il a presque réussi le même coup dans l’affaire des «bérets-verts».
Saviez-vous que plus de la moitié des militaires concernés par la mutinerie du 30 septembre, (présumés bourreaux), ont été réaffectés aux services du Général Amadou Haya Sanogo sur décision du Général Yamoussa Camara ?
Les pièces du puzzle géant se mettent lentement en place… C’est par décision N° 2012 en date du 05 /11/13 que le chef d’Etat major particulier du président de la République, le Général Yamoussa Camara a adopté une liste de 44 éléments devant être détachés au domicile du Général de corps d’armée Amadou Haya Sanogo.
Le secrétariat général du gouvernement, beaucoup plus par naïveté que par complicité, a vite fait d’entériner la décision qui comportait, en fait, un piège. Et pour cause, 16 parmi les 44 éléments affectés au Général 4 étoiles, son fortement soupçonnés dans les cas de disparition voire d’exécutions sommaires à l’origine des différents charniers.
Selon toute évidence, il s’agissait pour l’initiataire de ladite décision, de soustraire les éléments en question de la procédure d’enquête promise par le gouvernement à l’issue de la mutinerie du 30 septembre 2013. Mais avant même l’ouverture des investigations promises, le Chef d’Etat major particulier du président de la République s’empressa d’affecter certains d’entre eux aux services du Général Haya (voir listes). Une décision qui dénote évidemment un souci de protéger des suspects, autrement, la solidarité gouvernementale aurait exigé d’attendre les résultats de l’enquête promise.
On notera par ailleurs qu’aucune des victimes (portées disparues ou décédées) ne figure sur les nouvelles affectations du Général Yamoussa Camara. Avait-il déjà connaissance de leur sort ?
L’homme ne jouit, hélas, pas d’un préjugé favorable. Il a, d’ores et déjà été inculpé par le juge d’instruction pour une tentative similaire dans l’affaire des «bérets-rouges». Des éléments des 33ème et 31ème régiments des parachutistes portés disparus, voire exécutés ont en effet, été théoriquement incorporés dans une opération militaire dénommée BADENKO. Question de les faire passer pour des victimes de guerre, tombées sur le champ de l’honneur.
B. Diarrassouba
restons serins , et laissé karambe faire sont travail . que yamoussa soit coupable ou pas attendons la suite c’est CA le rôle d’un juge d’instruction patience patience que dieu aidez le mali ?
Tu fais honte à tous les gens qui porte le nom de Diarrassouba ,tu parles de liste ou est-elle importe quoi
Tu écris un article que tu ne sais même pas de quoi tu parles en plus forte raison que les autres same on you
Les personnes mal intentionné leur parole ne fait rien a nos brave Gal Yc,AYS vivi le Mali laisse les gens dire importe quoi ça avance le pays et sa grandi l ‘ homme
L’intitulé de la décision citée dans l’article n’est pas correct. Est – elle été prise en 2012 ou 2013 ? décision N° 2012 en date du 05 /11/13
pour vous dire que ces gens sont rusés. ils sont prêts à tout pour semer le ko encore. nous mettre dos à dos, rallumer le feu s’éteigne. faite beaucoup attention
Monsieur le journaliste, on est mieux servi que par soi même. N’était-il pas normal d’affecter les proches de Aya à ses services? S’il s’agissait de dissimuler un fait de crime quelconque, Yamoussa pouvait envoyer tous ces gens en stage à l’extérieur. Mais faire de la décision N° 2012 en date du 05 /11/13 une entrave à oa justice, révèle de la stupidité et du manque de bon sens. Un peu de moral s’il vous plait. Yamoussa n’est nullement responsable des actes qui ont été posés par les gens de Kati. VIVE LA REPUBLIQUE;
B. Diarrassouba, journaliste.
Monsieur, soyez sérieux et faites votre métier sérieusement. Dans le titre de votre article on lit ceci:
“La mutinerie du 30 septembre et les charniers de Kambila et du Dral:… “. On ne sait s’il s’agit des localités situées sur la Lune ou Saturne et… qu’à t-on découvert dans ces lieux ?
Ensuite vous parlez d’affectation de “…certains d’entre eux aux services du Général Haya (voir listes).”….QUELLE LISTES (au pluriel) ET COMMENT Y ACCEDER ?
LE SUJET EST GRAVE ET DOULOUREUX, CELA NE SE TRAITE PAS COMME UN FAIT DIVERS.
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