La guerre “pas nécessairement” utile pour le Mali, selon Compaoré

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Le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur de l’Afrique de l’Ouest dans la crise malienne, a estimé mardi que la guerre n’était “pas nécessairement” un choix “utile” pour le Mali, alors que se prépare une force ouest-africaine contre les islamistes armés du nord du pays.

Le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur de l’Afrique de l’Ouest dans la crise malienne, a estimé mardi que la guerre n’était “pas nécessairement” un choix “utile” pour le Mali, alors que se prépare une force ouest-africaine contre les islamistes armés du nord du pays.

“Les Nations unies ont encouragé ce processus de dialogue qui doit se mettre en place et nous sommes en contact avec les parties, les mouvements (armés, ndlr) comme le gouvernement (malien), pour, dans les jours à venir, entamer cette phase qui est capitale pour la stabilité du Mali”, a-t-il déclaré.

“Car la guerre n’est pas nécessairement le choix premier utile, ni pour le Mali ni pour la région”, a poursuivi M. Compaoré, interrogé par la presse en marge d’un forum national des personnes âgées à Ouagadougou.

“Si par le dialogue on a une solution, les militaires” vont “rester chez eux”, a-t-il insisté.

Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté le 12 octobre une résolution qui donne 45 jours au pays ouest-africains pour préciser leurs plans en vue d’une intervention militaire destinée à reconquérir le nord du Mali, contrôlé par des islamistes extrémistes depuis près de sept mois, tout en invitant le gouvernement malien et les rebelles touareg à négocier.

Médiateur de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) dans la crise malienne, M. Compaoré a reçu le Mouvement national de libération de l’Azawad, la rébellion touareg évincée du nord du Mali par les islamistes, et Ansar Dine, l’un de ces groupes extrémistes contrôlant la zone avec Al-Qaïda au Maghreb islamique.

Alors que se précise l’envoi d’une force régionale, le Burkina Faso pousse de plus en plus à la négociation, mais sans résultat concret pour l’heure, et tout en promettant de fournir des troupes à une opération armée.

2012 AFP

Agence d’Information du Burkina

 

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59 COMMENTAIRES

  1. merci pour tout Président l histoire retiendra que voulez vous que le médiateur dise ? déclarer la guerre? je vous laisse répondre a cette question .

  2. Le Mali, nouvelle victime désignée d’actives ingérences néocoloniales françaises.!!!!!!!!!!!!!!

    François Hollande, au nom de la France, prit la parole lors de la 67ème session annuelle de l’Assemblée générale de l’ONU le jour de son ouverture, le mardi 25 septembre 2012, demandant entre autres choses un mandat international pour une intervention militaire étrangère au Mali, dont le nord du pays est occupé par des rebelles. Il qualifia d’”insupportable, inadmissible, inacceptable” l’occupation du vaste territoire du nord malien “par des groupes terroristes” en annonçant que la France soutiendra toutes les initiatives qui seront prises par les Africains. (1)

    Pour rappel, la France de M.Chirac et de M.Sarkozy ne trouvait pas insupportable, inadmissible ni inacceptable l’occupation du nord ivoirien par des rebelles sanguinaires, putschistes ratés, depuis septembre 2002 et cela jusqu’à avril 2011, car ces rebelles soutenaient l’homme adoubé par Paris, l’ancien fonctionnaire du FMI Alassane Dramane Ouattara (ADO), aujourd’hui hissé au pouvoir en Côte d’Ivoire. Et droites et gauches françaises se donnaient la main durant cette période dans une union sacrée assurant cette collusion où J. Chirac et N. Sarkozy assuraient un soutien militaire français aux rebelles pour agresser l’Etat ivoirien. Ici la France soutient des rebelles, là-bas elle fait la guerre pour les combattre. Allez comprendre ! Les rebelles semblent bons s’ils sont en Côte d’Ivoire, en Libye ou en Syrie, à un moment donné et contre l’ennemi désigné des intérêts occidentaux (réel ou supposé). La géométrie variable est bien visible. La ficelle est grossière.

    La France s’immisce à présent de façon aiguë et accélérée au Mali. Le néocolonialisme décomplexé se manifeste une fois de plus. L’ingérence politique et « diplomatique » devient ouvertement militaire. La crise interne, politique et militaire, au Mali veut être résolue militairement par la seule France et ses alliés africains, ses anciennes colonies ouest africaines. Dans un élan désintéressé ?

    Les origines d’une crise sans précédents : Touaregs et islamistes contre le Mali, plus affaibli que jamais.

    Cette crise au Mali est due aux rébellions, (2) sécessionnistes et/ou fondamentalistes, touarègues ou islamistes, qui réussirent à attaquer, occuper et contrôler le nord du pays avec ses villes principales, Gao, Kidal, Tessalit et la légendaire Tombouctou, depuis janvier 2012. Ceci provoqua un putsch fin mars 2012 pour déposer du pouvoir le général Amadou Toumani Touré, dit « ATT », impuissant et visiblement incompétent, président élu, lors de son élection contestée fin avril 2007 (comme lors de sa première élection, en mai 2002), et en fin de mandat car une élection présidentielle était prévue pour le 29 avril 2012. Le coup d’Etat fut populaire, et eut un fort soutien politique et citoyen exprimé publiquement. (3) Une description fine, avec une tentative d’analyse pertinente, ultérieure, devrait aborder le richissime sujet d’actions et réactions au Mali face au ‘pronunciamiento’ militaire, des partis, mouvements politiques, syndicats, associations, communautés, musulmans non-intégristes, soutiens et opposants des jeunes officiers révoltés, et des consensus et clivages.

    Faut rappeler que la déstabilisation du Sahel, de toute la bande sahélo saharienne, donc du nord du Mali à présent occupé par des rebelles, est l’une des conséquences directes de la guerre de l’OTAN contre la Libye, dont la France de N. Sarkozy fut l’initiatrice. Ce conflit provoqua la prolifération et le renforcement de bandes armées djihadistes et, à la chute du régime libyen et après l’exécution de Mouammar Kadhafi, la débandade de l’armée libyenne et la dissémination accélérée d’armes de tout genre et d’hommes armés dans le Sahel. Parmi les Touaregs rebelles et les islamistes au Mali il y a des vétérans de la guerre en Libye de 2011.

    Après les offensives rebelles de janvier 2012 et la chute de tout le nord du pays suite au retrait de l’armée malienne au mois d’avril dernier, à présent les mouvances islamistes chercheraient, avec les crimes commis au nom de la charia et une lente poussé vers le sud-ouest, l’affrontement afin de galvaniser et d’unifier les groupes djihadistes probablement pour internationaliser le conflit dans le but d’« afghaniser » la région. Le MLNA touareg ayant été à l’heure actuelle largement submergé par les groupes islamistes. L’arroseur arrosé ? Qui tire les ficelles occultes de ces mouvances ? L’offensive du MLNA permettait à ses parrains un scénario d’eaux troubles où l’ingérence politique et militaire étrangère était autant cause que conséquence. Certains avancent les thèses bien plausibles, et démontrables, de l’implication française -sarkozyste- ainsi que des burkinabés (Blaise Comparé ayant facilité son pays comme base arrière) avec le MNLA, qui a pignon sur rue à Paris avec un siège qui agit ouvertement sans entrave. D’autres spéculent sur l’implication et accointances du Qatar -voire de quelques services algériens- avec des islamistes. Le « médiateur » Compaoré veut inclure le Qatar dans la table des négociations ! Les pompiers pyromanes n’ont pas des scrupules. Les hommes de paille et agents doubles semblent être partout. Et l’intoxication, la désinformation, reste une efficace arme de guerre. (4)

    Une junte militaire prit le pouvoir le 22 mars 2012 à Bamako. Des jeunes militaires ayant formé un « Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat » (CNRDRE) avec le capitaine Amadou Haya Sanogo (formé aux Etats-Unis entre 2004 et 2010) à sa tête. Sous pression de la France, par l’entremise de la CEDEAO (Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest) représentée par le burkinabé Blaise Compaoré, le CNRDRE céda le pouvoir le 12 avril 2012 à Dioncounda Traoré, président de l’Assemblée nationale qui nomma le 17 avril Cheick Modibo Diarra au poste de premier ministre intérimaire. Tout cela eut lieu après que l’Etat malien soit frappé d’un embargo total et que des sanctions politiques et économiques lourdes soient décidées par la CEDEAO, la France, l’Union Africaine et l’Union Européenne. Des élections présidentielles auraient dû avoir lieu pour que M. Traoré, président intérimaire, transfère le pouvoir à un président élu lors d’un scrutin régulier après la période de transition allant de trois semaines à quarante jours tel que le prévoyait la constitution malienne. (5) Mais le mandat intérimaire de quarante jours de D. Traoré fut prolongé pour une période d’un an de plus par. Ouagadougou et entériné par la CEDEAO.

    Rappelons qu’« ATT » fut déposé par les jeunes officiers d’une armée malienne qui lui reprochait son incompétence, son incurie et le manque des moyens pour lutter contre les rebelles touaregs et islamistes au nord du pays. Suite au coup d’Etat, l’embargo organisé par le couple France-CEDEAO empêcha l’armée malienne d’avoir des nouvelles armes, matériel militaire et munitions importées, pour lutter contre les rebelles sécessionnistes. Et la conquête rebelle de territoires du nord put ainsi s’élargir et se consolider au mois d’avril dernier. La junte céda le pouvoir rapidement mais l’embargo continue encore aujourd’hui. A Bamako les Maliens ont déjà vivement manifesté leur mécontentement et impatience, comme le 21 mai dernier lorsque ils manifestèrent contre Dioncounda Traoré. Ce dernier fut alors blessé. (6)

    Le rôle néfaste de la CEDEAO, efficace instrument français.

    La CEDEAO, avec la France, organise activement l’impuissance de l’armée malienne pour mieux justifier l’envoi d’un corps expéditionnaire formé surtout d’un noyau ivoiro-burkinabé. Dans le port de Conakry, en Guinée, le matériel militaire destiné à l’armée malienne reste bloqué encore aujourd’hui et cela depuis des mois. (7)

    L’ingérence française dans le conflit interne malien se concrétise avec le « consentement » de la victime, à savoir le propre Mali, car le président intérimaire malien a demandé le lundi 24 septembre au secrétaire général de l’ONU une intervention militaire étrangère. Étonnamment c’est le ministre français L. Fabius qui annonce cela à New York, à savoir que M. Traoré a demandé à Ban Ki-moon, une résolution du Conseil de sécurité autorisant “l’intervention d’une force militaire internationale afin d’aider l’armée malienne à reconquérir les régions du Nord occupées”‘ en rajoutant que le “Mali souhaite la présence immédiate de cette force». (8) Mais ce n’est peut-être pas exactement si consenti que ça. Faut se demander si ce « consentement » est totalement libre et complètement éclairé. Pour preuve, le journal Le Monde dit dans son article sur le sujet daté du mardi 25 septembre « Dimanche [24 septembre], le Mali a finalement cédé à la pression de la Cédéao qui, depuis des mois, soutient le principe d’une intervention militaire au nord du Mali . ». (9)

    Faut se demander aussi si ceux qui ont demandé cette intervention sont légitimes et mandatés pour cela. Au Mali, Cheick Modibo Diarra (ayant une double nationalité, malienne et états-unienne) est le premier ministre d’un régime non issu des urnes. Et Dioncounda Traoré est un président intérimaire imposé aux Maliens par Ouagadougou. Il fut imposé par une France interventionniste ayant mandaté pour cela le peu démocrate militaire burkinabé Blaise Compaoré, ancien putschiste, au pouvoir dans son pays depuis vingt-cinq ans.

    Dans le meilleur des cas D. Traoré et C. M. Diarra sont, soit des mannequins ventriloques forcés, portant la parole de Paris, soit victimes d’une naïveté sidérante. Dans le pire de cas ils sont complices et activement partisans profrançais, Françafricains, bradant la souveraineté malienne, si petite soit-elle, manquant ainsi à leur devoir de défense de la souveraineté de l’Etat et du peuple maliens. C’est une affaire dans l’affaire. Un coup de force, un coup d’Etat en douce, à retardement, opéré, gagné pour l’instant sur le tapis vert d’une table lointaine, entre Ouagadougou, Paris et New York.

    Ce n’est pas un jeu de pions ? Ce n’est pas un jeu de dupes ? Il est notoire que Paris -le président F. Hollande et le ministre des affaires étrangères L. Fabius- a pressé Bamako -Dioncounda Traoré et Cheick Modibo Diarra- pour qu’il demande ouvertement une intervention militaire étrangère sur le sol malien. Et Paris se presse pour dire que ce n’est pas l’armée française qu’y interviendra mais un corps expéditionnaire africain de la CEDEAO. La France assurant bien sûr les moyens financiers, le renseignement, les armes et la logistique.

    Comme l’OEA -Organisation des Etats Américains- qui fut des décennies durant le masque interventionniste des Etats-Unis en Amérique Latine, la CEDEAO est l’un de pseudonymes de la France en Afrique. Elle est l’instrument de blanchiment et de légitimation, des décisions politiques, économiques et militaires françaises destinées à l’ensemble de la région, de l’Afrique de l’Ouest, et à l’égard de chaque pays qu’y se trouve, exception faite du Ghana et du Nigeria, de la sphère anglophone où les Britanniques « ont la main ». C’est une chambre d’enregistrement des desseins et impératifs de la métropole néocoloniale française concernant ses anciennes colonies ouest africaines. La banque centrale de l’union monétaire de la CEDEAO, l’UEMOA, à savoir la BCEAO, est contrôlée par. la Banque de France ! Et la monnaie, le franc CFA, signifiait franc des « Colonies françaises d’Afrique », terme devenu « Communauté financière africaine », plus politiquement correct.

    Le cas « édifiant » de la Côte d’Ivoire et sa guerre de neuf ans. Chirac et Sarkozy réinventent « la coloniale »

    Dans l’incroyable guerre -souterraine puis ouverte- déclarée contre la Côte d’Ivoire de Laurent Gbagbo par la France depuis le 18 septembre 2002, lors d’une tentative ratée de putsch suivie de l’occupation du nord ivoirien par des rebelles partisans de A. Ouattara, choyés et sanctuarisés par l’armée française, la CEDEAO joua dès le début le rôle de relais de la France pour tenter de mettre à bas le président élu, L. Gbagbo, et in fine asseoir sur le fauteuil présidentiel A. Ouattara, l’homme du FMI. Ils réussirent cela seulement neuf longues années après, moyennant d’énormes souffrances du peuple ivoirien et suite à quatre mois et demi de guerre intense, décembre 2010-avril 2011, avec à la fin de cette période encore plus des souffrances, massacres généralisés, crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par les forces rebelles déferlant vers le sud du pays qui était resté sous contrôle de l’Etat ivoirien. Le président Gbagbo se faisant arrêter par des soldats français dans la résidence présidentielle d’Abidjan le 11 avril 2011. Séquestré puis emprisonné illégalement pendant des longs mois dans le nord de son propre pays par ADO, L. Gbagbo est aujourd’hui consigné, en prison, à la Cour Pénale Internationale à La Haye où son statut de prisonnier politique devrait lui être reconnu un jour.

    Pour couvrir ses agissements contre la Côte d’Ivoire de L. Gbagbo depuis le 18 septembre 2002, la France mobilisa la CEDEAO, l’Union Africaine, l’Union Européenne et l’ONU. Elle fit signer de force les plus hauts responsables de l’Etat ivoirien à Paris des pseudos accords politiques en janvier 2003 (Linas Marcoussis / Kléber) où la rébellion pro Ouattara pas seulement était blanchie mais même récompensée. J. Chirac et Dominique de Villepin nommaient les ministres ivoiriens à l’Elysée et au quai d’Orsay ! La France fit voter plusieurs mandats onusiens par le Conseil de sécurité pour couvrir ses agissements militaires, dont l’envoi d’un corps expéditionnaire, l’opération « Licorne » d’octobre 2002 devenue ensuite « Force Licorne », élargissant amplement sa présence militaire sur le sol ivoirien au-delà de sa base militaire d’Abidjan./Port-Bouët, le 43ème BIMA. Elle fit aussi créer une mission militaire onusienne spéciale, l’ONUCI, déployée en avril 2004, composée de casques bleus et d’autres policiers et fonctionnaires civils. (10) Le tout visant à grignoter et à anéantir ce qui restait de la souveraineté de l’Etat ivoirien. Visant aussi à acculer le gouvernement légal dans le sud du pays, en sanctuarisant tout le nord ivoirien occupé par les rebelles pro-ADO qu’y régnaient et sévissaient en toute impunité. La mise sous tutelle d’un Etat souverain, avec intervention militaire étrangère directe, sous mandat onusien obtenu par l’ancienne puissance coloniale, pour obtenir in fine un changement de régime, voilà ce que fut le plan accompli de la France depuis septembre 2002 en Côte d’Ivoire. L’objectif était de mettre au pouvoir celui qui était l’adoubé de Paris, M.Ouattara, un riche homme d’affaires et ex-fonctionnaire du FMI, ami et relais françafricain de J. Chirac, de N. Sarkozy et de milliardaires français.

    Le rappel et le parallèle que nous faisons avec le drame ivoirien des dix dernières années, qui est loin d’être fini avec la sanglante accession au pouvoir de Ouattara en avril 2011, nous semble pertinent dans la mesure où existe et se reproduit un schéma de mise sous tutelle, une recolonisation masquée, d’Etats indépendants mais affaiblis du Sud, surtout en Afrique, commise par les anciennes puissances coloniales, les Etats-Unis et ses alliés, avec la compromission d’organisations régionales interétatiques vassalisées et du Conseil de sécurité de l’ONU. Le cas de la Côte d’Ivoire se rajoute au cas d’Haïti où en février 2004 un véritable coup d’Etat militaire franco-étatsunien fut commis pour déposer du pouvoir et envoyer à l’exil le président élu Jean-Bertrand Aristide.

    Le Mali d’aujourd’hui est la nouvelle victime désignée des ingérences néocoloniales de la France. Droites et gauches françaises se relayent le témoin dans cette politique transversale, d’ingérences et d’immixtions grossières ou subtiles, qui s’opère notamment contre les anciennes possessions coloniales françaises d’Afrique. Le principal pion de la FrançAfrique en Côte d’Ivoire à présent, A. Ouattara, est l’un des personnages le plus agité de la sous région pour envoyer ses troupes au Mali. Blaise Compaoré, militaire, président du Burkina Faso depuis octobre 1987 à la suite d’un putsch et de l’assassinat du président Thomas Sankara, est le « médiateur » imposé par la CEDEAO, donc par la France, pour « gérer » la crise malienne. Cela ne s’invente pas. Il est aussi pressé que Ouattara pour envoyer des troupes burkinabés.

    La France fait la guerre ou paye. Or, qui paye commande.

    M. Ouattara fut reçu à l’Elysée le 26 juillet 2012. A la fin de l’entretien M. Hollande annonça que la France accordait à la Côte d’Ivoire l’effacement de sa dette publique envers l’Etat français, à savoir un montant de plus de trois milliards d’euros ! (11) Le richissime homme d’affaires Ouattara obtint pour son régime ce cadeau au titre de la procédure dite PPTE, pour « pays pauvre très endetté ». (12) Son régime n’a pas les moyens pour payer la dette souveraine ivoirienne envers la France mais à une ambition inébranlable pour envoyer des milliers de ses militaires, ses anciens rebelles, au Mali. Sous prétexte de lutter contre une rébellion et réunifier le Mali. De qui se moque-t-on ?

    Du contribuable français. Car c’est lui qui devra payer les générosités de M. Hollande et les aventures militaires de la FrançAfrique. Et il payera double. Trois milliards d’euros donnés en cadeau par F. Hollande à M. Ouattara, à la tête d’un régime tyrannique et archi corrompu, où les droits de l’homme sont piétinés tous les jours. L’aventure guerrière en perspective de M. Ouattara et de M. Compaoré, cotitulaires de la CEDEAO, sur le territoire du Mali, avec leurs soldatesques surtout avides de toucher des soldes exceptionnelles et des primes, sera payée par Paris.

    Au moment où le gouvernement français annonce un projet de budget 2013 avec une hausse d’impôts et de taxes de dix milliards d’euros pour les ménages et autant pour les entreprises, qui se rajoutent à d’autres dix milliards d’euros de baisse du budget des ministères (13), en somme trente milliards d’euros « d’effort budgétaire », Hollande décide du renoncement aux créances de l’Etat français et s’engage au financement d’une expédition militaire ivoiro-burkinabée. L’aventure sera payée par le contribuable français, aucun doute.

    Dans ce tableau grotesque le peuple malien est, et sera encore, la première et la plus grande victime, car le théâtre d’affrontements militaires est, et sera, le Mali, les morts seront des Maliens. Il est prévu que les soldats maliens servent de chair à canon pendant que les étrangers occupent Bamako . Mais les peuples burkinabé et ivoirien sont aussi des victimes, victimes de leurs propres régimes, corrompus et tyranniques, de Compaoré depuis 1987 sans interruption et de Ouattara, depuis 2002 avec sa rébellion et depuis avril 2011 suite à son accession au pouvoir grâce l’armée française et à l’ONUCI. Le peuple français est aussi victime car les moyens financiers et les armes pour la guerre seront donnés et payées respectivement par leurs contribuables, et tout cela sera fait en son nom, sans qu’il n’en soit nullement consulté.

    En 2010 et 2011 la France commit des ingérences flagrantes devenues guerres ouvertes contre la Côte d’Ivoire et la Libye. La finalité étant de provoquer le changement de régime dans ces pays, en installant dans le deux cas des rébellions soutenues sournoisement voire ouvertement par Paris et ses fondés de pouvoir africains. Dans les deux cas la France obtint un mandat onusien pour faire la guerre. Contre la Libye l’instrument fut l’OTAN, qui bombarda le pays du 19 mars au 20 octobre 2011. Pendant sept mois ! En Côte d’Ivoire la mission onusienne, ONUCI, fit directement la guerre contre l’Etat ivoirien à côté des rebelles et de l’armée française ! En Syrie à présent la France essaye aussi de mettre à bas le régime d’un Etat indépendant, en installant au pouvoir une rébellion armée sanglante, d’orientation islamiste, avec l’Union Européenne, l’OTAN et ses relais régionaux tels la Turquie, le Qatar, l’Arabie saoudite et la Jordanie, qui financent et/ou servent de base arrière aux rebelles.

    Les obstacles, les défis et les luttes incontournables du peuple malien.

    Les Maliens devraient se douter qu’une conjoncture politique et militaire tellement complexe et grave, ne peut se résoudre aisément. Mais les compromissions et les renoncements militaires et politiques n’aboutiront certainement qu’à plus de drames et des pertes des vies humaines et de souveraineté, le peu qui reste à un pays dépendant, pauvre, avec un Etat faible. Et aux souffrances du peuple malien qui subira, qui subit déjà, ce sanglant conflit interne s’ajoutera la guerre intense et les exactions, autant des rebelles que celles, prévisibles, des « libérateurs » de la CEDEAO. Rappelons-nous du parcours édifiant, des exactions, de l’ECOMOG au Libéria et en Sierra Léone !

    L’acceptation sur le sol malien d’une force militaire étrangère, avec des soldats venant des pays frontaliers non exempts d’ambitions vénales et sous l’égide de l’ancienne puissance coloniale, n’est qu’un suicide national par chapitres annoncé. Annonciateur d’une nouvelle mise sous tutelle et même d’une vassalisation par ses voisins immédiats. Le remède proposé sera pire que la maladie. Rappelons le néfaste rôle de Blaise Compaoré dans la sous-région pour déstabiliser des pays entiers comme la Sierra Léone, le Libéria et tout récemment la Côte d’Ivoire où il imposa au pouvoir son protégé et compatriote Alassane Ouattara. Rappelons qu’existe aussi à présent l’ambition de Ouattara d’avoir un rôle régional, et il est pressé à ses 70 ans, alors même qu’il n’est pas maître du pays qu’il a conquis en 2011 grâce à la France. En Côte d’Ivoire aujourd’hui l’Etat n’existe guère et l’arbitraire, les exactions et les crimes de sang et massacres pour motifs politiques et ethniques sont commis toujours en toute impunité. ADO garde toujours le pouvoir grâce à l’armée française, toujours très présente sur le sol ivoirien.

    Le Mali risque ainsi d’échanger la rébellion du nord par une vassalisation au profit du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire, devenant le hinterland asservi de ces deux pays. Devenant concomitamment un territoire néocolonial chronique, avec des régimes fantoches, encore plus fantoches, à Bamako, aliénés plus que jamais à la France. Où celle-ci sera (l’est déjà) concurrencée par les USA et la Chine pour le contrôle des territoires et des matières premières. Contrôler le Mali c’est contrôler en partie le Sahel, mais aussi l’ouest africain et le Maghreb. L’Algérie, le grand voisin au nord du Mali, reste discrète ce qui ne signifie pas qu’elle n’agit pas ou fait agir des tiers.

    Justement à propos de la concurrence géopolitique pour le contrôle des pays et des matières premières en Afrique, la vitesse/précipitation de la France et de ses obligés ouest africains concernant la crise au Mali crée des réticences internationales et les rivalités inter impérialistes apparaissent au grand jour. Le mercredi 26 septembre à l’ONU, lors de la réunion de haut niveau sur le Sahel en marge de l’Assemblée générale, Mme. H. Clinton fait une étonnante déclaration. (14) Elle dit que le Mali est une “poudrière” et que seul “un gouvernement démocratiquement élu aurait la légitimité de négocier un accord politique au nord du Mali, de mettre fin à la rébellion et de restaurer l’Etat de droit”. Ah les postures ! L’art de l’hypocrisie n’a pas des limites. On l’aurait dit porte-parole légitimiste des pays non-alignés par exemple. Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais. Ceci dit, les Maliens se font voler des analyses et des alternatives pouvant être pertinentes et les concernant.

    Le principe de non-ingérence dans les affaires internes d’un Etat souverain, ainsi que les principes de sauvegarde de la souveraineté, de la paix et la recherche impérative des solutions pacifiques aux conflits entre Etats, sont ouvertement piétinés. Par la France, mais pas seulement. Par ses pions tels le Burkina Faso de B. Compaoré, la Côte d’Ivoire d’A. Ouattara et la CEDEAO. Prenant l’exécrable exemple des Etats-Unis et de ses alliés de l’OTAN, qui s’amusent à parler au nom de toute la planète en portant la casquette « communauté internationale » (autoproclamée).

    Quelques exemples dramatiques et encore sans solution définitive, étant des plaies ouvertes, sont là pour nous le rappeler. Haïti depuis 2004 est encore sous tutelle de l’ONU avec la MINUSTHA. La RDC, ayant les deux dernières décennies la série de conflits internes les plus meurtriers en Afrique, avec plus de quatre millions de victimes et des pans entiers de son territoire national occupés et pillés par des rébellions soit autochtones soit venues et/ou soutenues par les pays voisins de son nord-est, sous les bavures et le regard impuissant ou rendu volontairement impuissant de la mission de l’ONU, la MONUC/MONUSCO avec actuellement dix-sept mille casques bleus y déployés. La Côte d’Ivoire et la Libye, victimes toutes les deux en 2011 de guerres ouvertes visant le changement forcé de régimes sous le leadership de la France, de N. Sarkozy. La Syrie aujourd’hui où l’Occident, la France en tête encore, arme, finance et justifie une rébellion sanglante contre un Etat indépendant visant à mettre à bas son régime, militarisant jusqu’à la folie meurtrière les affrontements d’une complexe dialectique politique. La « démocratie » à coup des bombes et des rebellions ? L’Irak, l’Afghanistan, la Libye. etc. sont des cas « exemplaires ».

    Le Mali s’inscrit à présent dans ce schéma déjà bien rodé d’ouvertes ingérences politiques et militaires de l’ancienne puissance coloniale et de l’Occident et d’abandon « volontaire » de souveraineté. Le Mali est la nouvelle victime désignée et titularisée des ingérences néocoloniales de la France et de ses propres voisins avides, ivoiriens et burkinabés, pions de la FrançAfrique.

    Au Mali l’alibi français avancé pour justifier l’ingérence politique et militaire actuelle, directe et par pions interposés, est l’urgence (15) de chasser des rebelles sanguinaires, islamistes, tout en empêchant l’armée malienne par exemple de le faire elle-même et en méprisant le peuple malien, privé de décider et d’assumer ses droits -et ses devoirs- souverains. La défense de la souveraineté populaire malienne d’abord, ainsi que la souveraineté de l’Etat autant que l’intégrité territoriale, n’est pas, ne devrait pas, être négociable. 8)

  3. BLAISE ON AURA PAS BESOIN DE TON AIDE TU AS TRAHI LE MALU ET BLAISE NA PAS INTERET A CE QUE L ARMEE MALIENNE SOIT EQUIPEE

    • Salut blanche coco plein de neige!
      Concernant ton post satanique (sa mère!…) sais-tu pourquoi l’enfer fait bander?

      MAIS PARCE QUE SATAN L’HABITE 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

      Et voilà, j’étais sûr qu’il ne comprendrais rien! Ecoutes-bien, cerveau embryonnaire, L’enfer, satan l’habite non? (Ca tend la bitte, quoi!!! 😀 😀 😀 😀 😀 😀

      Allez, fais un effort, tout le monde avait compris à la fin de la lecture!!! Allez, quoi!!!… Ca tend la bitte (satan lh’habite!)

      Non? toujours pas? Bon, j’abandonne 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁

  4. A Koumba:

    …”ces êtres primaires ont la paresse la violence ingratitude incrustées dans leurs gênes” Il faut le lire pour le croire! 😀 😀 😀 😀 en
    plus, là où il y a des GENES, il n’y a pas de plaisir! 😀 😀 😀 Dieu qu’elle est con!

    …”ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie du Mali qui rêvent depuis fort longtemps d’occuper les zones nord du Mali ” T’excites pas, mémé! C’est juste qu’ils aiment le tourisme “sac-à-dos” et le camping! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

    …”qu’ils ne reconnaitront jamais les efforts du Mali à leur égard tant que le Mali ne leur promet pas la pitance l’assistance gratuites”
    45% du budget national assuré par l’aide extérieure!!!!!!! Les efforts du Mali sont effectivement éblouissants 😆 😆 😆 😆

    Ensuite, c’est nous qu’ils nourrissent, et qui subventionnent notre santé, notre éducation, et nos infrastructures, mais notre Koumba-kicomprantou nous explique qu’ils attendent de nous “pitance et assistance” 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    Dis-moi ma chérie: Ton nom c’est Koumba ou Conne-ba?

    Quand on te lis, la question s’impose. Et le pire, c’est que tu écris bien! 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯

    • enlève moins d’émotikons et tu seras plus lisible… minable 😉

  5. Blaise est un allié du MNLA contre l’intérêt du Mali, un saurien impliqué dans le réseau de la drogue et qui n’agit que pour son intérêt personnel.

  6. La guerre et la guerre, apres on negociera selon nos conditions. Il faut un prix a Payer pour tous ces mascarades tant pour le Mali et mais aussi la sous region. On en tirera une grande lecon nous tous. J’espere bien en tout cas.

  7. Il faut que chacun reste chez soi. Blaise repose toi et laisse les rebelles ni niquer jusqu a Bamako. Espede d ingrat pauvre tres ingrat. Vous avez quoi? Si Blaise veut aider les rebelles l armee burkinabe traverse le Mali en un jour.

    • Si Blaise veut aider les rebelles l armee burkinabe traverse le Mali en un jour

      tu dis des conneries. Il n’osera jamais.
      Pendant 8 ans, de 2002 à 2010 baise a soutenu les rebelles de ouatarra, sans succès. Il a fallu que l’armée française fasse le coup d’état elle-même pour blaise babyenden et ouatarat…

      De toutes les façons, en soutenant les rebelles du zazaouad, il a signé son arrêt de mort. Nos bolis vont s’occuper de lui!!!!!!!!!

      👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

      • …”Pendant 8 ans, de 2002 à 2010 baise a soutenu les rebelles de ouatarra,”

        On dit pas BAISE, on dit BLAISE! Un peu de tenue quoi, merde! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

        • tu me fai pitié… minable buveur de thé de sabalibougou…

    • je crois que l,armee du burkina et celle du mali se sont mesure les forces en 1974 et 1985…ou bien tu as oublie ça….l,assasin de thomas sankara et de norbert zongo connait tres bien l,armee malienne……blaise a brule le liberia la serra leonne et la cote d,ivoire mais pour le mali il a mise sur le mauvais cheval car le mnla ne represente plus au mali…..

      • bravo pour votre mise au point… 😉

        blaise doit mourir pour la paix en afrique!!!!!!! 👿

  8. Nous demandons à DIEU Le Tout Puissant Le Tout Miséricordieux d’Ėtendre Sa Protection sur le Mali aux fins que le Mali retrouve la paix l’unitė

    Nous disons que les ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie ont eu la tâche facile car ils ont se sont servi des comportements laxiste insouciante cupide ingrat égoïste des lettrés mutants politiques et consorts de l’ex mouvance et des « ramassis de voyous » d’Ansar Eddine MNLA et consorts pour la partition en 2 du Mali en les manipulant à leur guise

    Nous disons que les faux islamistes Suppôts de Satan Satan faits humains adeptes et fidèles de Dajal d’Ansar Eddine Mujao et consorts les bandits sans foi ni loi de touaregs voleurs violeurs tueurs sur des bases raciale et tribale de MNLA ou « enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » ont attaqué ensemble leur pays le Mali

    Nous disons que ces êtres primaires ont la paresse la violence ingratitude incrustées dans leurs gênes

    Nous disons leur association ne pouvait pas durer Les êtres primaires ne connaissent que la violence la brutalité comme mode de résolutions des mésententes et conflits Ils appellent cela la loi du milieu qui consiste à corriger chicoter voire tuer l’autre

    Nous disons donc que Dioncounda le 1er ministre et le gouvernement ne doivent pas négocier avec de tels êtres Il faut les expédier le plus vite possible en Enfer leur habitat naturel

    Nous disons ils ne veulent pas travailler à la sueur de leur front et sont prêts à s’allier avec n’importe qui n’importe quel pays ou puissance même avec Satan pourvu qu’on leur promette l’assistance la pitance gratuites jusqu’à leur mort

    Nous disons que les ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie du Mali qui rêvent depuis fort longtemps d’occuper les zones nord du Mali les utilisent en leur promettant l’assistance la pitance gratuites et permanentes

    Nous disons qu’ils ne reconnaitront jamais les efforts du Mali à leur égard tant que le Mali ne leur promet pas la pitance l’assistance gratuites jusqu’à leur mort

    Nous disons ils sont et seront toujours 1problème pour leurs frères touaregs travailleurs les autres ethnies du nord du Mali et pour le pays tout entier

    Nous disons qu’ils ne présentent que 1,5% des touaregs du Mali qui ne présentent de 2,5% des ethnies du nord du mali

    Nous disons que les touaregs ne sont pas les 1er occupants de cette zone revendiquée par ces ingrats paresseux impénitents assistés permanents

    Nous disons grâce à DIEU Le Tout Puissant Le Tout Miséricordieux le « puzzle malien » se dévoile progressivement et continuera à se dévoiler ainsi tout le monde entier saura les pays sous régionaux d’Europe d’Arabie et les personnes à l’intérieur et à l’extérieur du Mali impliqués

    • Koumba, ma chérie, ça fait des semaines qu’on te lisait plus! 😀 😀
      Moi, j’avais cru naïvement que tu étais morte, que t’avais pas payé ton abonnement Internet, ou que tu faisais une dysenterie qui te clouait sur les chiottes! 😀 😆 😆

      Je suis ravi de constater que tu n’es pas morte et que tu sembles même en parfaite santé, et je suis atterré de constater que tu es toujours aussi con!

      Je t’embrasse!

      • Touts le monde est con pour toi et ct toi le seule inteligent dans tout le mali tu me fais voumir salle petite con va on ta merde 👿

  9. Que peut-on réellement négocier actuellement? et avec qui?
    Négocier avec ceux qui disent que “tout est négociable sauf la charia”?
    Négocier avec ceux qui veulent la partition du pays? parlons clair! Que représente actuellement le MNLA pour négocier avec ce mouvement? Il n’a rien à donner ou à perdre dans ces éventuelles négociations; mais par contre, il a à y tout gagner.
    Merci Mr Blaise! personne ne veut de ton colis encombrant (MNLA). Faites tout simplement comme les autres qui se sont débarrassés de ce mouvement après en avoir cerné tout le contour; c’est-à-dire les laisser tomber si vous ne voulez pas tomber avec lui.

  10. que tu le veuilles ou pas, tu auras ta rebellion, blaise compaoré; tu penses que tu vas rester à verser l’huile sur le feu dans tous les pays comme ça sans payer un jour? le brave peuple du burkina mettra bientot le feu à ton caleçon de bilakoro et cassera tes texticules avec tous ceux que tu nourris sur son argent détourné là. u bè e kili pèrèn paaaa ! a tè mè tugun ni Alah son na

  11. il a peur, l’imbécile des conséquences de ce qu’ils ont commencé. c’est vous qui avez aidé à armer ces bandits contre le mali parcequ’on gagnait le trafic d’otages, maintenant qu’on veut faire la guerre, tous les otages ne sont pas libérés et blaise n’a pas tous ses sous….. donc il pense qu’il fo pas faire la guerre, l’idée de guerre internationalisée est venue de vous cecedao sinon les maliens ont voulu se liberer d’eux mêmes mais vous avez bloqué nos armes pour dire que c’est vous qui allez nous liberer. le mali n’est pas la g bissau, cedeao peut pas. il est clair que ces bandits sous les feux vont fuir sur vos pays respectifs chacun aura sa part pour avoir comploté contre le mali. Nka an bè tila k’aw bèè kaya ti ni Alahou ka dignè ye. jamana wèrè tè ho, Maliba de don

  12. A cette phase de la crise odieuse du nord, la negociation n’est plus une vertu cardinale mais secondaire pour aboutir a une paix relle et durable. Il faut que les armes petaradent comme ce fut le cas au “Katanga ou au Biaffra” dans le passe.

  13. Nous disons que les ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie ont eu la tâche facile car ils ont se sont servi des comportements laxiste insouciante cupide ingrat égoïste des lettrés mutants politiques et consorts de l’ex mouvance et des « ramassis de voyous » d’Ansar Eddine MNLA et consorts pour la partition en 2 du Mali en les manipulant à leur guise

    Nous disons que les faux islamistes Suppôts de Satan Satan faits humains adeptes et fidèles de Dajal d’Ansar Eddine Mujao et consorts les bandits sans foi ni loi de touaregs voleurs violeurs tueurs sur des bases raciale et tribale de MNLA ou « enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » ont attaqué ensemble leur pays le Mali

    Nous disons que ces êtres primaires ont la paresse la violence ingratitude incrustées dans leurs gênes

    Nous disons leur association ne pouvait pas durer Les êtres primaires ne connaissent que la violence la brutalité comme mode de résolutions des mésententes et conflits Ils appellent cela la loi du milieu qui consiste à corriger chicoter voire tuer l’autre

    Nous disons donc que Dioncounda le 1er ministre et le gouvernement ne doivent pas négocier avec de tels êtres Il faut les expédier le plus vite possible en Enfer leur habitat naturel

    Nous disons ils ne veulent pas travailler à la sueur de leur front et sont prêts à s’allier avec n’importe qui n’importe quel pays ou puissance même avec Satan pourvu qu’on leur promette l’assistance la pitance gratuites jusqu’à leur mort

    Nous disons que les ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie du Mali qui rêvent depuis fort longtemps d’occuper les zones nord du Mali les utilisent en leur promettant l’assistance la pitance gratuites et permanentes

    Nous disons qu’ils ne reconnaitront jamais les efforts du Mali à leur égard tant que le Mali ne leur promet pas la pitance l’assistance gratuites jusqu’à leur mort

    Nous disons ils sont et seront toujours 1problème pour leurs frères touaregs travailleurs les autres ethnies du nord du Mali et pour le pays tout entier

    Nous disons qu’ils ne présentent que 1,5% des touaregs du Mali qui ne présentent de 2,5% des ethnies du nord du mali

    Nous disons que les touaregs ne sont pas les 1er occupants de cette zone revendiquée par ces ingrats paresseux impénitents assistés permanents

    Nous disons grâce à DIEU Le Tout Puissant Le Tout Miséricordieux le « puzzle malien » se dévoile progressivement et continuera à se dévoiler ainsi tout le monde entier saura les pays sous régionaux d’Europe d’Arabie et les personnes à l’intérieur et à l’extérieur du Mali impliqués

  14. Négocier oui, mais avec qui? Blaise semble se moquer de nous.Le mnla ne représente rien et c’est une évidence que Blaise refuge d’admettre. Ceux qui contrôlent le nord ont été on ne peut plus clair. Ils sont seulement disposer à négocier l’éventualité d’étendre la charia au reste du pays voire de la sous région un point un trait.Sinon le sabre réglera le reste.Ils ont donné la base de négociation c’est à prendre ou à laisser. M. COMPAORE nourrit d’autres plans contre le MALI qu’est la négociation.S’il a pris effet et causes pour le mnla, alors il n’a qu’à les garder chez lui.C’est le tour du Mali aujourd’hui, à qui la prochaine fois? Wait and see.

  15. MNLA QUI A TOUT PERDU AU PROFIT DE ANSORDIN MOUJAO ET AQMI VEUT PLANIFIER UN NOUVEUA PLAN EN PASSANT PAR LE DIALOGUE .
    QUI A ETE ALA BASE DES EXACTIONS A AKELHOCK, LAPIDATION ,MAINS COUPEE SANS CITE QUE CELA . NEGOCIER C EST SE MOQUER DE CES VICTIMES .
    ANSAR DIN A CONFONDU LA CHARIA ET HADOU EN ISLAME EXEMPLE : NE PAS VOLER EST LA CHARIA EN ISLAME MAIS AMPUTER LA MAIN D’UN VOLEUR EST APPELE HADOU(punition) EN ISLAME.
    HADOU EST IL APPLICABLE AU MALI , SI OUI . EST CE QUE TOUTES LES CONDITIONS SONT REUNIES POUR SON APPLICATION .
    INSTITUTION ISLAMIQUE . MOYENS NECESSAIRES POUR L’APPLICATION . POPULATION CONCERNEE.
    LIBERATION DES OTAGES MOYENANT QUELQUE CHOSE EST CONTRAIRE AUX CHARIA ; LES BIENS ISSUS DES CES OPERATIONS SONT ASSIMILABLES AUX VOLES QUALIFIES

  16. MONSIEUR BLAISE MERCI DE VOTRE BONNE COLLABORATION POUR LES MEDIATIONS EN COTE D’IVOIRE EN CE QUI CONSERNE MNLA ILS SONT ARRIVES CHEZ EUX ? FATIGUER REPOSE TOI/ SES REBELLES ONT CHERCHES POURQUOI ILS SE SONT ARRETES A DOUANZA ? 24 HEURES A BAMAKO AUCUN REBELLES NE SURVIVRAS CAR LA MANIERE DONT ILS SONT RENTREES AVEC LA COMPLICITE DES CERTAINES PERSONNES .APRES LA GUERRE LA RECONCILLIATION OUI

  17. Il faut la guerre avant de négocier quoi que ce soit. Ils sont venus par les armes ( sachant qu’on pouvait négocier) la reponse ne passe pas par mille chemain.

  18. La mediation de la CEDEAO a echoue ,et partant la negociation,parce que le Mediateur n’a pas fait montre des qualites de mediateur, a sovoir,une integrite ,une loyaute aux objectifs affiches.Il a pactise
    avec le MNLA ostensiblement;ses soldats ont pris part au conflit arme
    en sauvant ses leaders MNLA de la mort certaine et en les hebergeant a Ouagadougou.Il n’a cesse d’user de manipulations et de machinations
    d’abord au sein du gouvernement Malien ,Premier Minstre avec pleins
    pouvoirs,negociation quand la negociation ne servait qu’a donner le
    temps aux rebelles de s’etablir solidement.Tout le monde connait les
    effets detructeurs de la guerre.Des milliers de Maliens y perdront leur vie, y compris des enfants, des femmes ,des viellards et des jeunes pleins de vie.Tout cela a cause des manigances d’un autre comploteur dont personne ne parle aujourd’hui.Le Mali est reduit a cette guerre s’il veut echapper au demenbrement,a la partition.La France de Hollande a mobilise la commnaute Internationale pour faire
    la guerre contre les terroristes.J’espere que les Autorites de notre
    pays s’opposeront a toute tentative de retarder ou de faire echouer
    ce projet de sauvetage.La mediation a echoue .Nous devons en prendre acte.

  19. depuis combien de temps vous êtes en contacte avec les rebelles Mr Blaise ❓
    l assassin le traître 😳

  20. Blaise Compaoré (je n’ai rien contre lui) est inconstant. Une telle attitude à terme risque de saper sa crédibilité. On ne peut pas vouloir une chose est son contraire et une crise majeure au Mali n’épargnerai point le Burkina-Faso pays dans lequel je compte du reste de nombreux amis civils comme militaires.

  21. Mes fréres bourkinabés doivent comprendres maintenant que les Maliens ont raisons d’acuser Blaise dans sa role de Mediation,Blaise sait trés bien que le MNLA fait partit des groupes islamistes,et il sait aussi que les conditions de négociations ne serrait pas pour un Mali uni et laike, cet qui est sur Blaise a des liens avec ces téroristes mais plus tard il serait démasquer de sont hyphocrisie enver le MALI.

  22. chien .touareg c’est africain Azawad c’est leur territoir .le mot afrique même est berbèr.chien ta mère est une chienne
    (celui qui se tape
    blanche neige et sa
    coco sans pitié

    • mon frere Paixo retiens toi
      nous ne somme pas sur un concours ” d e qui peut mieux insulté ”
      😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

  23. C’est l’hôpital qui se moque de la charité! Blaise s’en fout du Mali parce que ce n’est pas son pays. Dans la vie il faut toujours compter sur soi-même pour trouver les solutions à ses problémes et non sur quelqu’un d’autre! Yaco i doun ka sabali ne fa

    • si tu v savoir ce ke c’est une guerre raciale, va voir ce qui se passe avec les libyens noirs et les libyens arabes!!!!!!!!!!!!!

      Au mali heureusement, que nous ne sommes pas remplis de haine, sinon nous aurions exterminé la toute petite minorité arabe dans notre pays……………………………………………….

  24. Faut faire la guerre vous même. ne pas demander aux autres de la faire à votre place .pour quelques groupes armes .ingrat

  25. Plus de négociation, on fera cette guerre. Et après il faudra sécuriser notre desert en installant une base francaise à Tessalit pour que notre puissant voisin du nord ne refoulent plus ces brébis galeuses au Mali.

    • tu veux les français au nord au milieu des touareg et arab.non il faut une base à bamako au milieu des noirs.imbécile

      • le nord du mali est africain, le mali est un pays africain./ si tu n’aime pas le mali va vire en arabie, mother fucker!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 😉

  26. Combien de fois nous avont negocier avec ses gens? ils acceptent apres ils reviennent. devrons nous faire confiance a ses rebelles? a vous d’en juger

    • AD1 CES GENS LA .? Tu veux parler des touareg et arab de nord mali.franchement les commentaires maliens que je vois ici sur maliweb.DES GENS LA ont raison de faire un état AZAWAD TOUAREG ET ARAB après tout c’est les français qui ont rattaché AZAWAD au mali

  27. Comme dit mon General Gamou apres la guerre on negociera.que Blaise ferme sa gueule ou etait il quand ses rebelles tuaient nos braves soldats?? dire que toute la comminauté internationnale se mobilise pour la liberation du Nord Mali et lui il trouve un terrain ou mettre son peni.Il na qu’aller se faire voir.

  28. Blaise encore toi? Toutes mes excuses à ceux avaient de loin vu les intentions de Blaise que moi je n’avais pas pu voir. J ai un jour sur maliweb à propos de Blaise de le laisser jouer sa chance que même s’il avait fait beaucoup de mal (Jusqu’à aller tuer son frère Thomas). Je viens de comprendre après analyse des émissions que j ai écoute sur RFI et les actes posés par Blaise (en sauvant la vu des responsables des rebelles du MNLA après leur accrochage avec les autres groupes islamistes(en envoyant un avion les récupérer). Blaise a encore demander au gouvernement malien de négocier avec le MNLA qui n’est même plus d’actualité après que celui soit mis or jeux par les islamistes. Blaise doit mettre en tête que son protecteur Nicolas SARCOGI ne plus au plus au pouvoir et que François HOLLANDE regrette tous ceux que ce dernier à pu faire au monde entier plus précisément à l’Afrique. Ce n”est pas pour rien que monsieur Hollande a fait de se problème du nord un problème personnel.

  29. TAS D’HYPOCRITES, BLAISE DIT ET FAIT EXACTEMENT CE QUE VOTRE PRÉSIDENT SOUHAITE.dINKOUNDA A DIT QUE SES TROIS PREMIERS CHOIX C’EST POUR LE DIALOGUE. ALORS, ALLEZ VOUS FAIRE VOIR AVEC VOS COMMENTAIRES STUPIDES ET COMME TOUJOURS D’UNE BASSESSE INDICIBLE. SAUF DES INBÉCILES COMME VOUS PEUVENT PENSER QUE LA GUERRE EST SANS DOMMAGE. BABODINGUÈ NOU-NOU.
    LAISSEZ BLAISE TRANQUILLE

    • JE SUIS TERRIFIÉ DE CONSTATER QU’IL Y’ A ENCORE SUR MALIWEB QUELQUES BÉBÉS QUI OSENT VENIR NOUS TITUBER QUE BLAISE A RAISON DE SOUTENIR UNE QUELCONQUE NÉGOCIATION AVEC LES BA.T.ARDS ROUGES, VERTS, VIOLETS, MARRONS, NOIRS, GRIS,…

      sur ce, je ne reviens pas sur la nécessité d’intervention militaire au nord que j’ai toujours soutenu haut et fort.

      aussi, je n’aimerai pas faire preuve d’ impolitesse en balançant des injures comme la fait notre canadien dioum-atoun qui a osé insulter tous les honnêtes citoyens de maliweb…

      mais, puisqu’il semble être nouveau sur maliweb…laissons-le le temps de se repentir….

      CE CRIMINEL DE BLAISE, AVEC SON VISAGE CHIFFONNÉ ET DÉGRINGOLÉ À INTÉRÊT À BIEN S’ACCROCHER, CAR SI LA BANDE DE CAFARDS TOMBE IL RISQUE DE VOIR SA CASE BRULÉ…

      PARCE QUE, PERSONNE NE SAIT CE QU’IL A SIGNÉ AVEC CES ORDURES… PEUT ÊTRE QU’IL A MÊME MARCHANDÉ UNE PARTIE DE NOTRE DÉSERT EN COMPLICITÉ AVEC LES B.A.TARDS DE TOUT ACABIT, AU PETIT PRINCE DU QATAR.

      CES PETITS B.A.T.ARDS DE PRINCE QATARI, DANS LEUR RÊVE FOU DE CRÉER UN ROYAUME AU SAHEL, PENSENT QU’AVEC L’ARGENT DE LEUR ÉPHÉMÈRE PÉTROLE POURRONT TOUT LEUR DONNER DANS CE MONDE.

      LE VIEUX ATTARDÉ MENTAL DIONKIS, SE LAISSANT MANIPULER PAR TOUTE CETTE BANDE DE MAFIEUX RISQUERA DE VOIR DE NOUVEAU LA COLÈRE DES MALIENS S’ABATTRE SUR LUI.

      JE CROIS QU’IL A VITE OUBLIÉ…”ATTENTION, AU RETOUR DU BÂTON, ¨ca va faire mal, AAAAye!!!. 😀 😀 😀

  30. Finalement, je vais dire ce à quoi je pense dpuis que le monde civilisé s’est retourné vers le Mali Forcement ça doit faire des jalous et pour cause:
    Armée malienne bien équipée et bien formée à ma frontière ❗ ❗ ❗ pensez vous que suis bète; non je ferai tt pour trouver une solution arrangeante de ni paix ni guerre. Blaise veut nous maintenir dans cette situation car ça été la seule et unique occasion de sa vie d’avoir pour un temps donné le Mali sous sa main 👿 👿 Blaise reveille toi et sort de ton tchapalodrome 😀 les gens avec qui tu veux negocier sont des terroristes purs loin de moi quelconque haine envers le peuple frère du fasso mais Blaise doit se reveiller 😀 😀

    • Si Blaise n’était pas là, c’est votre anus que ces rébelles allaient trouer, pauvre con.

  31. La guerre n’est pas bon pour le mali mais sauver et soigner les rebelles qui font la guerre au Mali, c’est ça qui est bon pour le Mali selon Blaise babyenden!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    😈 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 😈

      • t’inkiète, je suis cool: ke mets juste en forme la contradiction de Blaise babyenden!!!!!!!!!!!!!!!!!
        😈 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 😈

  32. Je fais mienne la question de Fatimata dans un autre forum et la reponse de momar, ici, parce que c’est extremement pertinente cette question. La voila:
    —-
    Fatimata

    Je ne comprends pas la réaction de Blaise. Un moment donné il soutenait avec ADO le déploiement des troupes de la CEDEAO et maintenant il dit que la guerre n’est pas nécessaire. Qu’est ce que ces militaires venaient donc faire au Mali?
    —-
    momar

    aaaaaah Fatimata, GRAND MERCI! GRAND MERCI, d’avoir poser cette belle question. Mais vous vous rappelez certainement que Blaise Compaoré et Dramane Ouattara voulaient tout simplement se la faire couler douce a Bamako avec leurs racailles de FRCI pour soi-disant securiser nos institutions de transition. Quand nos dirigeants ont pu convaincre meme les derniers vauriens de ce monde que cela n’est pas necessaire, alors Blaise Compaoré et Dramane ne savent plus ou donner de la tete. Ils tatonnent partout, en cour flagrant d’arguments pour leur intervention militaire au Mali.

    Et en plus, circonstances agravantes pour eux, le Mali vient de demontrer avec brillo a la face du monde qu’il peut organiser et securiser avec ses propres forces armées et de securités une conference internationale de tres grande envergure. Tout cela derange ces Blaise Compaoré et Ouattara.

    • Mais cette affaire de la CEDEAO fait tellement rêver que certains oublient même le sens du réalisme !!! Si c’était pour nous aider à faire la guerre tu penses qu’ils allaient bloquer nos armes pendant tout ce temps ??? L’argument avancé en disant qu’ils n’avaient pas confiance à la junte était du bidon!!! Qui coordonne à présent l’arrivée des armes à Bamako ce n’est pas cette même junte ??? Eh bien c’est cette même junte !! 😯

  33. Mais qu’est-ce qu’il vient encore foutre sa meerrde, celui là. C’est de la diversion. Purement et simplement de la diversion pour reprendre la main. C’est son jeu favori.

    Hé Blaise… le Mali a toujours été un pays de paix. Mais les maliens disent : “ni kèlè ma kè, sébaga tè don” (arrivé à un certain stade, il faut se battre… pour connaître le vainqueur).

    Hé Blaise… les accords cadres… les histoires de blocus de la CDEAO… tout ça, c’est caduc ! C’est fini… a bana !

    La France a parlé. L’Onu a délibéré. L’UA a analysé et parlé. Un nouveau “médiateur” a été nommé. Qu’est-ce que toi tu viens encore dire là ?

    Bamako a retrouvé sa place dans le concert des nations. Les réunions se passent désormais à Bamako, et pas à Ouagadougou. Et toi tu parles encore de négociations ?

    L’armée malienne récupère ses armes. La France (dont les vies des ressortissants sont en jeu, il ne faut pas l’oublier), l’Union Européenne, l’Allemagne (le fidèle ami parmi les fidèles du Mali), les autres pays amis du Mali s’apprêtent à nous aider pour chasser les bandits armés, assassins criminels drogués qui se cachent dans les grottes du désert malien… Tous ces pays sont disposés pour entraîner et équiper notre armée, en faire une armée républicaine, et toi tu viens encore faire diversion …

    Les maliens ne doivent plus laisser l’initiative à Balise. Il a dit publiquement qu’il n’y a pas d’hommes à Bamako. On verra.

    Vive le Mali UN et INDIVISIBLE. Démocratique, et laïc.

  34. Est-ce que Blaise COMPAORE peut la fermer un peu. La CEADEO se donne des problèmes. Blaise est un Monsieur qui est venu au pouvoir par les armes, dans le sang. Et oui! il a tué Thomas SANKARA et Norbert Zongho pour se maintenir au pouvoir. Quelle médiation, un individu de ce genre peut ou faire mener sur le continent? Rien du tout. Alors, que Blaise la boucle et son coursier de Yipéné bassolé, qu’ils aillent au diable. Nous savons qu’ils ont versé du sang à Ouagadougou, dans les rues, et c’était l’oeuvre de Yipéne Bassolé, gendarme de sont Etat, spécialisé dans les sales boulots que lui confie l’ivrogne de Blaise. Alors, qu’ils laissent le mali regler sa crise avec le soutien de la communauté internationale, la CEDEAO a lamentablement échoué.

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