Le discours à Bamako le vendredi 05 avril 2013 de Laurent Fabius semble consolider la confiance dans l’esprit des Maliens. Le ministre français des affaires étrangères a été radical sur le dossier concernant la région de Kidal : «Jamais deux armées dans une seule République démocratique souveraine», a-t-il laissé entendre. Ajoutant que ni la France ou la Communauté internationale n’accorde cela à aucun groupe ou individu. Lire notre décryptage.
Le monsieur de la diplomatie française a dit que le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) a intérêt à être désarmé pour aller sur la table de négociation avec le Grand Mali. Ces mots ont mis fin à l’idée selon laquelle le MNLA est aidé par la France. Kidal faisait fait et fera partie du territoire national. Si ce discours réconfortant assorti de confiance procure de la joie à la population malienne, par contre, il sème le désarroi dans le cœur des bandits qui sont les soutiens incontestables du terrorisme au nord Mali.
Les médias occidentaux au service du MNLA
Pour dissiper la panique qui s’est emparée de ses camarades bandits, le poltron Ibrahim Mohamed Asaleh, a répliqué au discours de Laurent Fabius. Il a grossièrement affirmé que la France la CEDEAO et la Communauté internationale ne peuvent en aucun cas dicter au MNLA ce qu’il doit faire. Aussi la chaîne France 24, la Voix d’Amérique et d’autres ont commenté les propos du ministre français des affaires étrangères sur le plan du désarmement du MNLA. Mais, la partie concernant Kidal a été occultée par nos confrères de Radio France Internationale (RFI).
Le correspondant à Bamako de cette station s’est penché seulement sur la sécurisation et l’organisation de l’élection présidentielle comme si la question du désarmement du MNLA ne constitue pas un élément essentiel du discours de Laurent Fabius. Que justifie cette attitude de RFI en faveur du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA)? Celui-ci a été et restera la source de tout ce qui s’est passé au Mali du 17 janvier 2012 à nos jours.
La priorité pour les Maliens demeure l’anéantissement du MNLA qui ne représentant même pas 10% de la population du nord prétend être le défenseur des intérêts de toute une communauté. En outre, l’organisation de l’élection présidentielle sans que le MNLA soit affaissé, comme l’exige la Communauté internationale, fera plonger le Mali dans une crise plus complexe que celle dont il connait actuellement. Notre pays ne doit prendre aucun risque qui, sans conteste, lui fera subir le sort que le Soudan a connu en 2004.
Dognoumé Diarra
Accueil Armée
la france ne vous aide pas chèrs Maliens ,n’oubliez jamais ça!!c’est eux qui vous ont foutu la merde! et c’est le meme cas qui continue !!
De toute façon les jours de ces criminels sont comptés et seront bientôt à lahaye pour repondre des atrocités qu’ils ont commises.
Comme le dit Abdo, effectivement il ya une des journalistes de RFI qui est liée à Moussa AG Assarid je pense bien que c’est Christine Muarteh et l’autre Marie Pierre Aulphan est du côté de sa maman très attachée au Touareg. la majeure partie des reportages sur le Mali sont assurée par ces deux dames qui ont pour mission de fustigier le Mali de tous les maux. Une chose est sûr RFI aujoud’hui doit cesser d’emettre sur le territoire malien ou ellec hange ses façons de traiter l’infos sur notre pays 😉
le MNLA n’set qu’une bande de voyous, et si d’aventure la France leur fait les yeux doux;jeter un coup d’oeil sur les USA.
Les bandits du MNLA doivent avoir des copines parmi les journalistes de RFI, sinon s”il s’agit du MNLA Murielle pomponne et consort donnent une image d’ange à ce mouvement satanique autoproclamé. Ces gens là n’auront jamais la paix au Mali car leurs vies seront hantés par les morts qu’ils ont fait et le harcèlement des autres maliens .
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