Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, cela ne changera rien au franc-parler du capitaine Sanogo, même si pour certains sujets il se veut moins loquace, se cachant derrière la discrétion naturelle du militaire. Mais lorsque dans le jeu des questions on le pousse jusque dans son dernier retranchement, il explose et cherche à convaincre avec arguments et preuves. Avouons-le, à sa place, l’exercice n’est pas facile car chacun de ses mots est répété et interprété. Mais dans le fond, ses idées ne manquent pas de piquant. Lire cet entretien exclusif qu’il nous a accordé pour s’en convaincre.
Capitaine Amadou Haya Sanogo : La Cédéao, effectivement, après qu’on ait signé un accord-cadre sur lequel nous sommes encore en train de plancher, a pris une décision unilatérale. J’ai juste dit non. Nous devons revenir à l’Accord-cadre pour finaliser ce que nous avons commencé. Je crois que le message est bien passé. Les chefs d’Etat de la Cédéao – que je respecte beaucoup – ont encore offert l’opportunité de revenir là-dessus. C’est pourquoi notre délégation était à Ouagadougou. C’est la raison pour laquelle la délégation de la médiation se trouve à Bamako. Toujours dans le cadre de la mise en application de l’Accord-cadre.
Cela signifie-t-il que tout marche bien par rapport à l’application de l’Accord cadre ?
Nous sommes encore en train de repartir en fonction de l’Accord-cadre. Donc, pour moi, tout marche bien.
Justement ! Selon la clameur, le Professeur Dioncounda Traoré veut jeter l’éponge. Est-ce la raison pour laquelle les ministres Bassolé et Bictogo reviennent à Bamako pour convaincre à ne pas démissionner ?
Je ne saurais le dire. Je n’ai pas assisté à leur réunion. Ce que je peux dire, c’est que les ministres Bassolé et Bictogo, respectivement représentant de la médiation et de la Cedeao et du président en exercice de la Cédéao, sont là pour l’application de la mise en œuvre de l’Accord-cadre. Nos échanges s’arrêtent uniquement au niveau de l’Accord-cadre. Qu’ils viennent ici, c’est normal. Qu’ils passent voir le président de la République par intérim et le Premier ministre, c’est tout à fait normal.
Un autre problème préoccupe les Maliens. C’est la situation qui prévaut au sein de l’armée. Même si tout le monde dit qu’elle est maîtrisée, il y a toujours des inquiétudes. Qu’en est-il réellement ?
En tant qu’officier des forces armées, je dis que c’est fini. Je vous le dis : même si ce n’est pas cet incident, aucun pays africain n’est à l’abri de quelques petites difficultés par-ci ou par-là. Vous savez, dans l’armée, il n’y a pas de politique. C’est-à-dire que dans l’armée, si vous commettez une faute, vous êtes punis conformément au règlement. Et demain, on se met encore en rangs serrés pour progresser. L’incident était certes malheureux. Nous avons tout fait pour l’éviter. Dès le premier jour du coup d’Etat, j’ai personnellement appelé quelques collègues (Ndlr, des officiers commandos parachutistes) pour leur dire de ne pas s’entêter.
J’ai commencé une mission. Je compte la terminer tant que je resterai en vie. Donc, ce n’est pas la peine de faire couler du sang. Nous pouvons continuer, refaire l’armée pour la même cause. Malheureusement, le message n’est pas bien passé. J’ai déploré des morts dans mon camp comme de l’autre côté. Après, nous leur avons envoyé, une fois de plus, des émissaires pour leur dire de faire table rase sur tout et refaire une armée forte. C’est ce dont le peuple a besoin tout de suite. Car, il y a une réalité qui nous attend. Voilà ma priorité et non les jeux politiques et autres. Ils nous ont dit qu’ils ont compris, mais qu’est-ce qui s’est passé ? Ce même groupe a détalé de Gao, avec dix-sept véhicules lourdement armés du régiment des commandos parachutistes. C’est après leur défection que Gao s’est affaiblie. Ce qui n’est pas négligeable ! Imaginez, un peu, dix-sept véhicules lourdement équipés ! Ils ont pris la route de Bamako en alertant leurs camarades de les attendre pour se payer du capitaine Sanogo des humiliations qu’il leur a infligées. Dès lors, j’ai envoyé des troupes sur la route de Ségou, discrètement, pour les désarmer et les mettre dans un véhicule civil, direction Djicoroni Para. C’était aussi simple que cela. A ce propos, j’ai dit non, il n’y a rien. Mais, l’autre jour, paf ! On me dit que le régiment para s’agite parce que le capitaine et les hommes de Kati veulent les attaquer. J’ai dit que c’est insensé. Alors qu’ils étaient en train de boire, ils ont tout consommé -drogues et autres- avec les mercenaires qui étaient déjà-là. Lorsque j’ai eu les signes annonciateurs de l’arrivée de ces mercenaires et des caches d’armes, j’ai procédé à des arrestations et des investigations. Pendant ce temps, on pensait que Sanogo effectuait des arrestations arbitraires. Pourtant, ce sont des services spécialisés qui étaient à l’œuvre. Qui plus est, nous les avons relâchés. Voilà ce qui est arrivé à Bamako.
Ces gens-là, ils se sont entêtés. Ce qui ne pas empêché d’envoyer encore le chef d’état-major pour leur dire Messieurs arrêtez, laissez tomber, ne le faites pas, cela ne nous fera pas grandir. Vous savez ce qui s’est passé ? Ils ont pris le chef d’état-major et l’ont attaché. Peu de temps après, on m’informe que la première troupe est au niveau de Kati Sananfara. J’ai dit que c’est sérieux. Alors on réplique ! J’ai répliqué et j’ai nettoyé les deux camps. Le problème «commandos parachutistes» est fini au Mali (Rire). Ceux qui ne faisaient pas partie de cette opération saugrenue sont en train d’être recensés. Ils seront déployés auprès de leurs frères d’armes pour la même mission de défense de l’intégrité territoriale de ce pays.
Vous avez parlé de mercenaires. Est-ce-que vous avez des preuves matérielles qu’il y avait réellement des mercenaires à côté de vos frères d’armes pour vous combattre ?
Je le dis ouvertement. J’en ai tué sur le terrain! On en a capturé avec leurs armes on les a fouillés et regardé leurs pièces. Ce n’était pas des Maliens. Je ne dirai jamais quelque chose dont je n’ai pas la preuve. Si l’autre mentait à son peuple (Ndrl : ATT), moi, ce n’est pas le cas. On avait des responsables ignobles. Je dis aux Maliens ce que je vois et ce dont j’ai la preuve.
Quel sort est réservé à ces rebelles d’un autre genre ?
Je peux dire qu’ils sont chanceux d’avoir été capturés vifs. Ils vont être traduits en justice et finiront leur vie en prison. Ils peuvent s’estimer heureux.
Peut-on dire qu’il y avait des mains invisibles derrières ces soulèvements ?
Oui ! Aux plans national et international.
Est-ce vrai que vous avez découvert des caches d’armes à Bamako ?
Il y a effectivement des caches d’armes que l’on est en train de déceler petit à petit. Les propriétaires, sinon les commanditaires, vont connaître le même sort que les mercenaires. Si en fouillant une cache d’armes il y a une résistance armée quelconque, je n’hésiterai pas, une seule seconde, pour la sécurité de mes hommes, à réagir en conséquence.
Au niveau de la gestion du pouvoir, on a l’impression qu’il y a deux chefs d’Etat au Mali. Même si on dit que c’est Dioncounda Traoré qui dirige le pays. Le capitaine Sanogo n’a-t-il pas la main mise quelque part ?
Le capitaine Sanogo et le comité, les forces armées sont là. Je vous dis d’emblée, les troupes qui sont là pour ma protection, pour le service, c’est le chef d’état-major des armées qui les désigne. A l’instant où je vous parle, il y a un président de la République du Mali par intérim. Il y a un Premier ministre avec pleins pouvoirs. Il y a un gouvernement en place. Le capitaine Sanogo ne dirige pas le Mali.
Pourtant, le Malien voit le capitaine Sanogo utiliser les moyens et les symboles de l’Etat. Pour lui, c’est le capitaine Sanogo qui est le président de la République…
C’est juste une interprétation. N’oubliez pas que mes apparitions médiatiques sont légitimes et normales. Du fait que c’est le capitaine et ses hommes qui ont posé cet acte libérateur que j’ai réellement trouvé salvateur. Vous croyez qu’on pouvait juste disparaître en un ou deux mois comme ça ? Non ! Le peuple a besoin de nous voir à son chevet. On a besoin de faire passer des messages. Voilà la seule raison. Sinon, ce n’est pas pour s’approprier quoi que ce soit.
C’est sûr ?
Sûr. (Rire) !
Capitaine, c’est bientôt la fin de la période intérimaire. Envisagez-vous de prendre le pouvoir ?
(Rire !) Je reste dans l’Accord-cadre. Tout est prévu dedans. Je ne permettrai à personne, je dis bien à personne, de sortir de l’application de l’Accord-cadre.
La gestion de cette période est simple. Je m’en remettrai au contenu de l’Accord-cadre qui précise qu’il exerce une fonction d’intérimaire. Au-delà de quarante jours, nous, Comité Cnrdre et la Cedeao, viendront ensemble à la table pour décider de mettre en place des organes de transition. Ces organes seront connus en temps opportun.
Dans l’Accord-cadre, on parle de feuille de route qui doit définir l’organisation de la transition à travers une concertation. En tant qu’acteur principal de ce document, dites-nous où nous en sommes aujourd’hui ?
En effet ! Je suis et je demeure l’acteur principal de l’Accord-cadre. N’eût été, bien sûr, quelques évènements et incompréhensions, suite à la décision unilatérale de la Cédéao, peut-être, à cet instant-ci, on aurait déjà progressé. Mais, je vous garantis, quand même, que le Comité évoluera en fonction de l’Accord-cadre.
Avez-vous une idée de la durée de la transition politique en vue ?
Je préfère ne pas faire de fixation là-dessus. Parce que tout dépendra de deux choses : la vitesse avec laquelle on règle le problème du Nord et l’élection présidentielle. Il faut d’abord un fichier consensuel, bien organiser les élections, pour que les Maliens élisent enfin le Président de son choix.
Pour beaucoup de Maliens, le capitaine serait otage des troupes. Vos décisions sont-elles librement prises ?
Je vais vous dire quelque chose. Le jour où je débutais ce mouvement, sans fausse modestie, j’étais le seul officier présent devant la troupe. Au fur et à mesure que les choses évoluent, j’ai des camarades qui ont vu la cause et sont venus, dès les premières heures, jusqu’aux premières 24 h, ainsi de suite. Pour moi, ils font partie intégrante du mouvement. C’est après avoir appris qu’on partage la même cause qu’on a commencé à se rejoindre. Donc, je ne vois pas sous quelle pression, et de qui, le capitaine Sanogo serait amené à prendre ou à changer une décision. Je vous le dis. Je suis encore le président de ce Comité, je peux m’associer à des collègues pour des prises de décision, prendre l’avis des uns et des autres, mais encore une fois, la dernière décision me revient pour toute décision qui sortira de ce bureau où venant de ce Comité. Et quand je prends une décision, je l’assume.
Une autre préoccupation : le Nord. C’est votre priorité, vous avez eu à le dire. Pensez-vous qu’une armée décapitée, une armée au sein de laquelle on s’entretue, peut faire face à sa mission de libération du Nord ? D’ailleurs, en a-t-elle les moyens ?
J’ai le plus grand moyen: le potentiel humain et le moral. Si vous dites que l’armée est décapitée, je dirai, peut-être, non. Seulement, je me suis débarrassé de ce qui n’est pas bon. Lorsque le premier responsable d’une structure se permet de détourner ce qui doit parvenir aux soldats, je crois que l’absence de ce monsieur vaut mieux qu’une armée avec un chef pareil. Je ne le tolère pas. Je m’en suis débarrassé. Actuellement, toutes les structures de l’armée sont là : les chefs d’état-major, le chef d’état-major général, le ministre de la Défense. Et, au niveau des hommes aussi, l’armée n’est pas déchirée. Il y a un soldat qui s’est trompé, c’est qu’il s’est laissé manipuler par quelqu’un et je l’ai corrigé. Cela appartient déjà au passé. Aujourd’hui, nous sommes en train de voir comment il faudrait chercher, par-ci et par-là, le strict minimum pour commencer.
Mais les Maliens sont pressés. Pouvez-vous nous expliquer un peu comment évoluent les opérations ? Qu’est-ce qui prouve que les troupes sont jusqu’à Sévaré ?
Vous savez, l’opération militaire, trop l’expliquer, c’est dangereux. Ne pas l’expliquer, c’est dangereux. Vous avez le droit, en tant que citoyen, d’interpréter. Le travail a commencé.
Le résultat, c’est pour quand ?
Au fur et à mesure.
Revenons au capitaine Sanogo. Vous êtes venu à la suite d’un coup d’Etat, le 22 Mars. Aujourd’hui, il y a toutes sortes d’interprétations autour de la personne du capitaine Sanogo. On dit que c’est un pauvre type qui est venu les poches vides et qu’après vérification, il aurait sept cent millions de francs dans un compte. Pouvez-vous édifier le peuple malien par rapport à cela ?
(Rire !) Cela ne me surprend pas. Vous savez, on est au Mali. Si les phases d’actions physiques ne marchent pas, il y a les phases de diffamation. Ils peuvent tout dire. Ils n’ont qu’à vérifier dans toutes les banques du monde. Ils sont libres de publier ce que Sanogo a comme biens. N’oubliez pas que j’ai passé sept à huit années de ma vie à étudier et à me former à l’extérieur. J’ai fait des économies. A l’instant T, Sanogo n’a rien. Au contraire, le Comité n’a même pas de crédit. Il y a des personnes de bonne volonté qui viennent nous donner un, deux ou trois millions pour nous aider. C’est avec cela que je nourris les soldats que vous voyez dehors. Je les entretiens avec ces dons. Les véhicules qui roulent pour notre service, je n’ai pas de carburant pour ce faire. C’est aussi avec ces aides que je paye le carburant. Ensuite, au niveau de nos unités, je suis parvenu à mettre sur pied un certain nombre d’engins. Ce que le gouvernement passé n’a pas pu faire en vingt ans. Actuellement, les unités commencent à devenir opérationnelles uniquement grâce aux bonnes volontés. Donc, si j’avais uniquement souci de me remplir les poches, j’en ferai un autre usage. Ils se sont trompés de cible. Le capitaine n’a rien, absolument rien. C’est pourquoi, parmi les décisions de la Cédéao, je ne me suis pas inquiété du gel des comptes. Pour mon cas, ils allaient uniquement geler un numéro, pas un compte.
Vous vous cramponnez uniquement derrière votre déclaration prise la nuit du coup d’Etat ?
Je suis là. Les objectifs ne changeront pas. Seulement, j’ai eu du retard dans le processus. C’est dû à de petits évènements, par-ci et par-là.
Votre appel au peuple malien ?
J’ai deux appels à lancer au peuple malien. Le premier, c’est d’inviter encore le peuple malien à rester vigilant. Car, tout n’est pas terminé. Quand je dis que tout n’est pas terminé, c’est qu’il y a encore des individus mal intentionnés qui peuvent cacher quelque chose. Le minimum c’est d’informer les services de sécurité d’à côté. C’est le premier cas. Le second cas, c’est surtout les voyageurs. Qu’ils ne se sentent pas frustrés lorsqu’il y a des fouilles. Il faudrait que la population elle-même contribue. Si l’on avait commencé par cela, vous pensez que des caches d’armes se trouveraient à Bamako ? Mon deuxième appel va à l’endroit de nos frères du Nord. Personne n’est oublié, personne ne sera oublié. On dit en bambara : «Mieux vaut ne pas danser que de mal danser». Je vous remercie !
Propos recueillis par
Nouhoum DICKO,
Gérard DAKOUO et
Rokia DIABATE
MERCENAIRES FAUX ARSSI FAUX IL FALLAIT PLUTOT DIRE QUE TU AS TUE LES INNOCENTS;ASSASSINS QUE TU ES, BON A RIEN QUE TU ES ,TU N’AS MEME PAS HONTE DE DIRE QUE TU AS TUES LES MERCENAIRES;
MERDE SANOGO TU DIS QUE TU N’AS PAS D’ARGENT, SAL, VOLEUR , MENTEUR
UN SIMPLE PORTE PAROLE KONARE DIT 06 H QUI ACHETE UNE VILLA DE 55 MILLIONS ET MEUBLES A 5 MILLIONS A OU ES QU’IL A TROUVE L’ARGENT?;
LA VILLA FAIT FACE A LA MAISON DE SON PERE IL PEUT PAS NIE CA;
VOLEURS QUE VOUS ETES
VOUS VOULEZ TROMPER QUI? VOUS MEME
CA VA TARDER VOUS ALLEZ SIGNE VOTRE CONTRAT DE MALHEUR.
Qd on est pas à la place qu’il faut on fait trop de debauche d’énergie pour expliquer aux uns et aux autres qu’on est là. Ttes vos sorties journalières prouvent à juste titre. J’aurai voulu que de tel interview se passe à Gao ou même Tombouctou et aussi à Kidal sans oublier Douentza. 😛 😛
aucun mercenaire n’a une pièce d’identités. c’est du jamais vue. 🙄 🙄
Cet homme ne reflechie pas il na pas du tout le cararctere d’un responsable ni la compétence il dit ouvertement qu’il a tuè des gens , il peut pas mésuré sa parole avant de l’ouvrir .
ILs oublie que des civiles ont été tués à l’ORTM il pense aux parents des morts ? Je lui dit juste une chose s’il regarde ce site : Demande toi ou se trouve les Laurent cabila , les Bédié ,Les Mobutou , Les charle Taylor pour te dire que tu finira mal tres mal Monsieur
sanogo, va te faire niké, ta pfffffffffffffff foutu le mali en l’air
avant de tuer les mercenaires et pour quoi pas les rebelles qui tue les maliens.vous amuser bcp dans notre pays.
Des Mercenaires avec des pieces d’identité sur champ de bataille! ça fait pas rire?
Sanogo dit qu’il a capture les mercenaires et leurs armes, les personnes qu’ils nous ont présentées à la Télé, ce ne sont pas des mercenaires, ils ont capturé les étrangers résidents au Mali. Il fait tout ça pour se faire plaire à la population. On n’en a marre aves ses discours bidons.
Encore un ramassis de conneries« J’ai tué des mercenaires sur le terrain et on en a capturé avec leurs armes »;mais je rêve.Mais très sincèrement,vous croyez a cela? Des sources nous disent qu’il aurait fuit pendant l’assaut des bérets rouges.Pourquoi se faire tuer sur le terrain alors qu’il s’attend devenir président.
Ce type nous a causer énormément de tords.Qu’il soit maudit et toute sa bande d’incultes.
Un pays comme le Mali meritait bien Sanogo et le CNRDRE comme consequence logique de la façon dont les choses etaient gerees. Il ne sert a rien de voiler la face sur les mensonges.
Ces journalistes sont de mauvais griots ou des poltrons qui sont obligé de plaîre à l’assassin de Sanogo.
Sanogo et sa junte sont l’obstacle principal qui empêche les institutions et la Communauté internationale de passer à l’essentiel qui est la libération du Nord.
Sanogo est pire que les islamistes et le MNLA puis que son entêtement à rester au pouvoir bloque tout et favorise les ennemis au Nord.
Il faut que tous les maliens se mobilisent pour le chasser lui et sa junte.
Qu’est ce que la CEDEAO attend pour envoyer sa force appuyée de la logistique franco-américaine pour attaquer la junte à Kati ?
Kadhafi était 1000 fois plus puissant et plus égaré que Sanogo, il n’a pas survécu.
Jonas Savimbi était 1000 fois plus protégé, son armée valait plusieurs fois toute l’armée malienne mais les renseignements américains ont eu raison de lui.
Sanogo a décidé de confisquer le pouvoir et de s’éterniser sur la tête des maliens. Il faut qu’il sorte sans honneur, vivant ou mort.
Sanogo a assassiné qui ???
doucara pardon si tu n’a pas l’interview ou c’est de la foutaise en posant cette question vraiment pardon.
capitaine tu dit tjours qe ma priorité c’est le nord c’est faut tu veux le pouvoir mais attention ns ne somme plus dans les années 90 ou tout était possible les choses ont changé si tu essaie de revenir au pouvoir tu fera souffrir le peuple malien et toi tu finira comme dadis camara. je te conseil de te retirer calmement avant qu’il soit trop tard pour toi. il fait honte aux militaires
capitaine tu dit tjours qe ma priorité c’est le nord c’est faut tu veux le pouvoir mais attention ns ne somme plus dans les années 90 ou tout était possible les choses ont changé si tu essaie de revenir au pouvoir tu fera souffrir le peuple malien et toi tu finira comme dadis camara. je te conseil de te retirer calmement avant qu’il soit trop tard pour toi.
En droit constitutionnel, l’intérim est une disposition généralement prévue par la constitution pour organiser les cas de vacance, d’empêchement ou d’absence temporaire d’un dirigeant (notamment un chef d’État), dans l’attente de son retour ou de la désignation d’un nouveau titulaire. L’intérim du président prend fin, soit lorsque l’ancien président reprend ses fonctions, soit lorsque le nouveau président élu entre en fonction.
Très cher Capitaine, avez vous relu votre interview ? un proverbe dit qu’il vaut mieux se taire et prendre le risque de passer pour un con que de l’ouvrir et enlever le doute à ce sujet. Je vous invite à vous relire puis de vous poser la question de savoir si avec ce charabia on peut prétendre diriger un pays d’environs 15 millions d’habitants, grand comme deux fois la France avec une histoire millénaire.
A la lecture de votre interview,on est comme abasourdi par ce langage indigeste. A vous lire, ce sont des personnes de bonnes volontés qui vous procurent les fonds vous permettant d’entretenir vos troupes. Ah bon !!!! vous et vos hommes font parties de l’armée Malienne ou pas ? Que je sache, il y a bien un gouvernement en place avec un ministre de la defense. Ce Ministère dispose d’un budget ou pas et surtout à quoi il sert ? Vous avez faits des économies pendants vos études ? Est ce à dire que pendant vos études vous gagniez des milles et des cents ? ça se voit que vous ne savez rien de la vie d’un étudiant à l’étranger ou peut être vous prenez les Maliens pour des débiles mentaux. C’est quand même très grave !!!
Continué à fanfaronner jusqu’au jour où vous allez vous retrouver entre quatre murs.
Pour l’instant de grace, pour l’amour du ciel et de ce Mali que vous prétendez défendre, ne donner plus d’interview. Le Mali est suffisamment en souffrance, ne l’humilié pas en ruinant son image. Quand on vous lis, on se sais plus s’il faut rire ou pleurer. Décidément, on n’est pas au bout du tunnel
Continues mon capitaine sur ta lancée , les fumistes vont te rejoindre tôt ou tard.
Sanogo le terrain c’est au Nord c’est la-bas que tu dois tuer pas à Bamako
Sanogo le terrain c’est au Nord c’est laba que tu dois tuer pas à Bamako
Je suis vraiment soulager et rassurer de vous lire mes très cher(es)compatriote, maintenant j’ai de nouveau confiance a l’avenir de notre, car j’ai compris a travers vos écris que malgré tout nous restons juste et solidaire.. Que dieu bénis le Mali et les Maliennes.. j’ai tellement honte pour nos concitoyen(nes) du nord.. Que dieu soit vraiment avec vous,.. Sanogo vraiment maudit soit le jour ou tu es venu au monde..
sanogo que tu aille en ENFER,SOULLARD,FUMEUR DE CHAVRE INDIEN,tu n aura jamais de succes comme ATT et tu ne feras jamais ce qu ATT a pu faire,sache que tu finiras comme DADIS CAMARA,NULLARDS QUE TU ES.deja avec vos amis vous vivez de corruption,des cadeaux de bonne volonte pour payer le carburant ca s appele corruption.MORT A SANOGO ET CES AMIS
T’as raison: Sanogo ne pourra jamais vendre le MALI au terroristes comme l’avait fait ATT!
Mrrrrrr!!!! Le Mali est tombé bas ohh!!!
Capitaine ,il vaut mieux que vous vous absteniez de faire des interviews! Ainsi on vient d’apprendre que les berets rouges avaient des vehicules lourdement armés! Et vous qui hurlez qu’il n’y a pas d’armes!Secondo vous êtes capables de vous battre à Bamako et de tuer des mercenaires !Très triste !Il aurait mieux valu que vous le fassiez au nord!De grace evitez les interviews et ceux qui se trompent de bonne foi continueront a vous acclamer! 🙁
FANFARON, QUAND EST CE QUE TU VAS NOUS DIRE QUE TU AS TUE L’ENNEMI QUI OCCUPE 2/3 DE TON PAYS ET VIOLE NOS SOEUR AU NORD…AU LIEU DE TE GLORIFIER D’AVOIR TUE DES BERETS ROUGES…TES PROPRES FRERES…
AU FRONT OU AU DIABLE!
« HONTE AUX MILITAIRES QUI SE CACHENT A BAMAKO, KATI, KOULIKORO… ALORS QUE LES 2/3 DE LEUR PAYS SONT OCCUPES. A BAS LE MILITAIRES CITADINS »
Moussa Ag
Mon mediocre capitaine vous avez fait un coup d’etat soit vous gouverner par la force soit vous rennoncez et on vous poursuit en justice il n’ya pas de solution mediane. un despote puschiste et un despote pushiste ni plus ni moins.
Et je vais ajouter que ce n’est pas a Sevare que ca se passe:
Apparement les jeunes de Gao ont recu le message puisqu’ils ont decide d’aller se battre eux meme pour leur liberte.
Le sang des soldats maliens ne doit pas couler, mais le sang des jeunes citoyens malien peut couler?
« HONTE AUX MILITAIRES QUI SE CACHENT A BAMAKO, KATI, KOULIKORO… ALORS QUE LES 2/3 DE LEUR PAYS SONT OCCUPES. A BAS LE MILITAIRES CITADINS »
La bouche est grande, le reste est petit. Quand on verra un changement on applaudira, pour le moment on dit merde, et pas du tout merci d’avoir foutu la merde!!!
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