Depuis le début de cette semaine, le dossier Mali occupe le centre des réflexions des membres du Conseil de Sécurité de l’Onu. Lors de la réunion tenue avant-hier mercredi, M. Hervé Ladsous, patron des opérations de maintien de la paix de l’ONU, a posé un constat accablant de la situation au nord Mali: “le gouvernement et les groupes armés ont fait peu de progrès vers un dialogue réel et substantiel”, depuis la signature de l’accord de Ouagadougou en juin 2013.
Partant de ce constat et des derniers développements sur le terrain, après les affrontements des 17 et 21 mai (suivi d’un cessez-le-feu signé le 23 mai 2014), M. Hervé Ladsous a martelé: “Le statu quo ne peut pas durer”! “C’est maintenant qu’il faut entamer des négociations de paix”.
Cette presqu’injonction du patron des opérations de maintien de la paix de l’Onu intervient alors que les autorités algériennes ont réussi à obtenir des mouvements et groupes armés du nord l’engagement à participer et à soutenir un dialiogue inclusif inter-malien. Six (6) groupes et mouvements (Mnla, Cpa, Maa, Hcua, Cm-fpr) ont justement signé deux documents confirmant cet engagement: la “déclaration d’Alger” et la “plateforme préliminaire”.
Ces avancées obtenues par l’Algérie ont fait dire à son Ministre des Affaires Étrangères, M. Ramtane Lamara que “la volonté de parvenir à une solution politique définitive dans les plus brefs délais est désormais partagée par le gouvernement et tous les mouvements”. C’était le lundi 16 juin 2014, à l’issue des travaux de la 3ème session de concertation de haut niveau sur le Mali.
Par la même occasion, M. Ramtane Lamara a annoncé que la phase initiale du dialogue inclusif inter-malien aura lieu en début juillet 2014 à Alger.
C’est dire que l’injonction onusienne relayée par M. Hervé Ladsous va certainement booster ce planning déjà tracé par le médiateur algérien et gouvernement malien, en accord avec les groupes armés et les mouvements.
D’ailleurs, toujours devant le Conseil de Sécurité, le Ministre des Affaires Étrangères du Mal, Abdoulaye Diop, a réaffirmé que notre pays “a choisi la paix”, malgré les combats meurtriers de la mi-mai à Kidal entre les forces armées et les combattants Mnla-Hcua-Maa. “Le Gouvernement du Mali demeure plus que jamais animé par le souci constant de réconcilier les Maliens”, a-t-il dit. “Le Mali est disposé à envisager (…) tout mécanisme de sortie de crise efficace”.
SUR LE TERRAIN
S’agissant des réalités du terrain au nord, M. Ladsous a confirmé devant le Conseil l’intention de l’Onu de déployer des drones de surveillance au Mali “afin de renforcer les capacités de reconnaissance de la Minusma et de lui permettre de protéger les civils et son personnel”. Tout en saluant l’arrivée sur le terrain d’hélicoptères de combat, il a exhorté les États membres qui ont promis de fournir des ressources supplémentaires à la Minusma à le faire “le plus vite possible”.
Selon M. Ladsous, la Minusma doit atteindre fin juin 77% de son effectif militaire total et 83% de son effectif policier. L’effectif maximal autorisé de la mission est de 12.640 hommes dont 11.200 soldats et 1.440 policiers. Tous les contingents prévus ont été fournis par les pays contributeurs mais “leur déploiement effectif continue d’avoir du retard”, a-t-il précisé.
Dans quelques heures, le Conseil de Sécurité doit procéder au renouvellement du mandat de la Minusma (les casques bleus au Mali). Dans cette perspective, le Ministre Abdoulaye Diop a plaidé devant le Conseil à ce que la Minusma soit déployée autour des villages et des campements touareg du Nord, et pas seulement dans les grandes villes, et qu’elle forme des patrouilles mixtes avec l’armée malienne.
El Hadj Sinaly DIARRA
MERCI A TECOUM ET SABOUR.
ONU EGALE FRANCE EGALE USA. TOUS CA POUR LA RESERVE D’URANIUM DE KIDAL. ILS SONT PRÊTS (TENEZ VOUS BIEN) A MASSACRER LE MALI ENTIER POUR CA. LE DEPUTE BELGE LAURENT LOUIS LES DÉNONCES DANS SA BRILLANTE INTERVENTION A L’A.N. SUIVEZ EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI DESSOUS.
https://www.youtube.com/watch?v=TW9kWe3MI-M
Le bloccage de la situation provient de ceux qui ont empeche l’armee
Malienne de s’installer a Kidal en tant que l’Armee Nationale chargee
de maintenir la securite des citoyens.Il est indecent de venir parler
d’un refus Malien de chercher la paix quand les forces de la MINUSMA
n’ont pas fait ce qu’elles devraient faire:le cantonnement,la demilita
risation,et l’etablissement de l’autorite legale.Ce genre de langage
n’est pas de mise,elle est tout a fait inapproprie.Le couragepolitique
demanderait que l’on denonce l’instrumentalisation ou bien encore
l’instrumentation a laquelle nous avons tous assistee.Jusque-la,le Conseil de Securite est reste sur le chemin du Droit International et
de la Justice Internationale.Cela montre la grandeur de cette Institution.Comment l’ONU peut-elle reconnaitre une rebellion qui a pactise au grand jour avec les criminels qui baffouent chaque jour les doits humains ,en combattant a cote des Al-Quaida contre un membre de l’ONU.Il faut prendre garde !
Ce qui intéresse la communauté Internationale c’est de bâillonner le Mali et “NON MUSCLER LE MANDAT DE LA MINUSMA” 😳 💡 ❗ : C’est empêcher le MALI d’obtenir des EQUIPEMENTS MILITAIRES pour combattre le MNLA et BASTA ! 💡 !
Pour faire PLIER le MALI au projet de PARTITION DU MALI par la FRANCE avec un Français HERVE LADSOUS à l’ONU et ses PRESSIONS multiformes par la presse française dont RFI : comme affaire TOMI, comme les réfugiers au Burkina qui s’attaquent à l’armée FAMA, comme chercher à trouver des cadavres dans tous les puits contre les Famas, comme se taire sur certains aspects de la tuerie à Kidal et PATATI ET PATATA : TOUT CA POUR CA ! 😳
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