Hamadoun Amion Guindo, president de la COPAM : « Ce n’est pas parce que ATT a été renversé que le pays va être bloqué »

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C’est là une déclaration faite par Hamadoun Amion Guindo, président de la Coordination des Organisations Patriotiques du Mali (COPAM). C’était au cours de leur meeting organisé, samedi dernier, au stade Mamadou Konaté.

Hamadoun Amion Guindo, COPAM

Selon lui, les Maliens patriotes doivent rester mobilisés pour faire face aux décisions que la CEDEAO veut imposer au Mali. Car, dit-il, c’est un combat qu’ils doivent mener ensemble.

Selon lui, le Mali a été fondé par des Maliens. Et, c’est un grand pays de par son histoire et sa culture dans lesquelles, puisent  tous les pays de la CEDEAO. Car, tous les pays de cette organisation, doivent une partie de leur histoire ou de leur culture provenant au Mali.

« Il est de notre devoir de mener ce combat », indique t-il.

Avant de poursuivre : « il y a des contradictions dans les déclarations de la CEDEAO».

Cette situation, explique t-il, a enlisé le Mali el l’empêche d’évoluer.

Selon lui, la décision de la CEDEAO de changer le gouvernement est inopportune. Puisque 80% des paysans ont des engrais à leur dispositions, les exonérations sont faites sur les prix des denrées de première nécessité, les élèves vont normalement à l’école, font leurs examens, de même que l’armée est en train de se préparer pour être déployée sur le terrain pour la libération des trois régions du nord du Mali.

Selon lui, toutes ces actions sont rendues possibles, grâce au gouvernement de transition, qui remue ciel et terre pour que les choses aillent dans le bon sens.

A en croire Hamadoun Amion Guindo, ils iront à une conférence nationale souveraine et élargie avec d’autres organisations de la société civile, des partis politiques  qui les ont rejoint pour ne pas prendre part au sommet de Ouagadougou. Mais aussi, pour former un front contre les résolutions de ce sommet.

Pour lui, les résolutions qui seront issues de cette conférence nationale souveraine et élargie reflèteront la volonté du peuple malien et seront appliquées, conclut-il.

Dieudonné Diama

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16 COMMENTAIRES

  1. Ce monsieur est sans personnalité. Après le débat qui l’a opposé à Me Tapo sur Africable il devait se la boucler.La CSTM est en danger de mort

  2. mes caramade vs qui s’opposent de oppinon de notre vraiement vs rendérez compte de la réalite des choses, le gouv d’union de cedeao c’est complicite avec dioncounda et ces complices malheureux comme imbecle tapo

  3. C’est vraiment inopportune de changer ce gouvernement on a trop à faire. Les acteur qui nous parle de gouvernement d’union nationale ils n’ont qu’à relire la liste de leurs gouvernement.Peut-on donné quel nom à leurs gouvernement(d’union anti-developpemnt)pour une bonne pronociation sinon autre chose.

  4. MR Amion Guindo a tjrs été un opportuniste,c’est parcequ’il n’est pas pu être secretaire général de l’UNTM qu’il a crée la CSTM.N’ayant pas pu profiter du regime de ATT qu’il veut profiter des putschistes pour se refaire une santé.Ce monsieur devrait être en prison pour trouble à l’ordre public et incitation au meutre.Si vous aviez eu le courage de manifester aussi bruyamment au temps de ATT,il allait reculer sur beaucoup de décisions.Publiez les comptes de la CSTM on verra qui vous êtes

  5. Si toi Amion GUindo tu oses encore l’ouvrir c’est que tu n’es pas au gnouf pour d’incitation au meurtre, de complicité de tentative d’assassinat du chef de l’Etat, de violences et de troubles agravés à l’ordre public.
    Il faut rapidement mener des enquêtes indépendantes sur la tentative d’assassinat du Président intérimaire dont le mandat courrait au moment des attaques contre le palais.
    On sera vite débarrasé de ce genre de personnage qui se croit tout permis au milieu de ses badauds agités.
    Surtout on donnera un avertissement sévère à ceux qui seront tentés de se comporter en cow boy dans notre pays, qui ne peut être l’otage des minorités activistes !

  6. se Mr est un attardé se son des gens qui ne savent même pas comment fonctionne le monde de nos jours. la politique se n’est pas du syndicalisme ont nous demande une ouverture pour que tous le monde soit concerné que les décisions prises soit accepter par tous car il s’agit de faire la guerre ils engage leurs pays et la communauté international vous ne savez pas que la cedao est totalement soutenue par la communauté international MR sans cette communauté international aucun pays ne pourra tenir seul vous crier de la souveraineté elle n’est plus depuis la fuite de l’armée au nord. le mali est occupé par les bandits armée et des terroristes étrangers c’est sa le déshonneur pour le mali c’est sa l’humiliation pour le mali vous avez mis le mali dans une situation de violence que nous aurons du mal a oublier depuis que vous est écouter dire certains propos après les arrestations arbitraires et l’agression du président dans ses bureaux par des radeaux que vous avez encourager et soutenue pour humilié l’homme et 🙄 le mali tous entier vous avez empêcher les présidents africains d’atterrir a Bamako il ne reste plus de confiance sur le mali en matière de sécurité et de défense PAR VOTRE FAUTE 🙄 😆

  7. ses gesns ne savent meme pas qu’es qu’ils font tellement qu’ils egoistes aveuglés de place

  8. Ce vieux loup de président de la COPAM doit impérativement reconnaitre ses échecs et savoir que la messe est déjà dite pour lui et ses camarades qui ont rarement posé des actes salutaires pour le Mali qui n’a pas seulement commencé avec les évènements du 22 mars dernier. Il a intérêt à se battre pour une plus grande adhésion des travailleurs à sa chétive CSTM qui n’est que l’ombre de lui même. Ses “aboiements” et ceux d’autres en disent long sur leurs ambitions non assouvies qui n’ont rien à avoir avec le salut du pays. D’ailleurs, disons-le, lui et nombres de ses ouailles ne voudraient même pas qu’il y ait une sortie de crise. Une situation chaotique qui a surtout permis de les mettre sur orbite. C’est ce qui explique surtout leur entêtement. Sinon, saurait été un problème familial, la solution serait déjà trouvée. N’en déplaise aux pessimistes,le bateau Mali ne va jamais chavirer. Plaise à Dieu, cette période tumultueuse appartiendra très rapidement à l’histoire ancienne. Une histoire qui devra nous servir de leçon pour un avenir radieux.
    Que Dieu bénisse le Mali pour que disparaissent ces cortèges de malheur qui tranchent avec le patriotisme, la tolérance, le sens du respect, l’écoute mutuelle…

  9. Va te faire voir ailleurs. Tu parles de quel Mali? Le 1/3 de ce que nous avions avant le 22 Mars? Vous parlez de souverainetete alors que plus de la moitie de ton pays est sous occupation Afghane, pakistanaise, algerienne, etcc…

  10. Monsieurs respectons ce grand pays qui a toujours ete un nid des braves .cette armee Malienne etait crainte de toute la sous region .Les politiciens sont venus l’affaiblir a la recherche des interets sordides .Monsieurs et Dames liberer le mali d’abord .

  11. Le Mali en bébé éprouvette: Pourquoi la Cedeao a raison

    Début avril 2012, “Nous demandons l’aide des amis du Mali”, c’était l’aveu d’impuissance des soldats agités de la garnison de Kati qui ont balayé le régime corrompu des généraux du “repli tactique” pour “incompétence” à faire face à la rébellion au nord, quand ils ont battu tous les records de contre-performances militaires au nord en perdant 5 et non 3 régions du nord ( Kidal, Ménaka, Gao, Tombouctou et Taoudenit) en 3 jours dans une fuite éhontée, sans commune mesure en Afrique contemporaine, en laissant d’importants arsenaux de guerre à la merci de l’ennemi.

    Pour masquer cette déculottée, la junte militaire s’essaie à la pirouette, pour faire diversion, au lieu de jeter les bases d’une réelle reconquête militaire du terrain perdu par l’armée malienne dont elle a, au contraire, contribué à déstructurer et à démobiliser (hiérarchie cassée, commandement inexistant, manque de visibilité sur la logistique, communication de guerre désastreuse, inopportunes rivalités intestines…) 

    Les troupes en position avancée au nord, comme celles du Colonel Gamou, sont donc restées orphelines, armes aux pieds, seules, face à un conglomérat du terrorisme international, et ne doivent leur salut qu’au génie stratégique du colonel major pour se retrouver au Niger.

    A Kati, coeur névralgique du pouvoir militaire, passés maître dans l’art de la pirouette, on continue a expliqué que des élections n’auraient jamais eu lieu sans le coup d’état, que la classe politique n’est pas acte à diriger le pays, que les soldats sont devenus experts en constitution du 25/02/1992, que les armements sont bloqués aux ports africains alors que Sénou est sous leur contrôle et que tous les vendeurs d’armes du monde ont une logistique de livraisons aériennes (prouuuuuuu), que les “mercenaires” sont dans toutes les rues, que la garnison de Kati peut valablement se substituer à la justice malienne en arrêtant arbitrairement de citoyens ordinaires, hommes politiques et journalistes avec son lot d’humiliations, d’intimidations et de violences gratuites reléguant complément le problème du nord non pas au second mais en troisième position car la deuxième après la gestion des arrestations arbitraires c’était la gestion de la transition après les 40 jours.

    Le monde entier a alors compris, que la solution du nord n’est pas à Kati, et que le coup d’état n’était pas dirigé contre ATT, mais contre la démocratie malienne dont on jette l’opprobre sur toute la classe politique avec l’aide d’opportunistes à grandes poches largement ouvertes.

    Alors pour réussir le crime parfait, on “tord le bras” au président intérimaire en visite à Kati, après son retour au Mali suite aux événements des 21 et 22 mars 2012, on l’impose un astrophysicien, gendre du général déçu en mars 1991, comme premier ministre, ayant “plein pouvoir” au détour d’un accord-carton-vide, appelé accord-cadre, pour endormir un peu la Cedeao et sa médiation, et leur faire croire que l’ordre constitutionnel normal est en marche désormais. 

    C’est promis et c’est juré!
    Paroles d’officiers subalternes.

    Cet astrophysicien met en place un gouvernement d’amis et de “grins” familiaux à la sauce Cnrdre et Udpmiste (pour que l’ambiance soit conviviale loin des “démocrates” devenus les “baudets” des temps modernes injuriés jusque devant l’assemblée nationale alors qu’ils sont élus par les maliens c’est à dire plus légitimes que les ministres et leur premier ministre) qu’on peut valablement appeler, le ” Grinvraiment” de Cheick Modibo Diarra dont les seules décisions en conseil de ministres sont: nominations de copains, lois d’amnistie pour putschistes, nominations de membres de famille, loi de transformation du Cnrdre et non sa dissolution comme demandée par la Cedeao, et nominations de proches.
    Et Again and again…. 

    Et le nord dans tout cela?
    Le haut conseil islamique s’en chargera avec ses convois humanitaires, et on croise les doigts pour voir si la magie va fonctionner, si Iyad Ag Ghali et associés ne vont pas détruire la ville sainte de Tombouctou et si le Mnla va cesser par lui même les vols et les viols à Gao.

    Peine perdue, une trentaine de mausolées de Saints de Tombouctou sont parties à jamais, perdues pour l’humanité dans la furie islamiste contre l’immixtion de l’Unesco dans leurs “affaires intérieures”, et un enseignant fut tué à bout portant à Gao parce qu’il a exprimé son raz-le-bol face l’occupant Mnla.
    Tous mes respects, brave enseignant, nous ne t’oublierons jamais.

    Et l’armée malienne où est elle partie?

    Le premier ministre de la “guerre qui met fin à la guerre” n’ose même plus parader à son côté, il préfère désormais les chasseurs traditionnels ” les donzos” comme du temps de Da Monzon et Bakarydjan, en bon ségovien, ça fait chaud au cœur, mais ce n’est pas suffisant pour faire face au Mujao et au Boko haram, respectivement dérivée première de l’Aqmi et son avatar nigérian.

    On tourne en rond, comme d’habitude, d’Alger à Rabat en passant par Ouaga, Abidjan et Paris pour faire coucou à Dionconda Traoré et lui rappeler que finalement il n’est pas mal loti au Pullman Montparnasse Hôtel, même si l’air de Koulouba est meilleur.

    Alors pour venir en aide aux populations du nord qui est-ce qui s’en occupe?

    Les braves jeunes de Gao et de Tombouctou ainsi que les adorables femmes de Kidal qui osent affronter les mains nues les fous de Dieu, paient souvent au prix de leur vie, sans que le grinvraiment de Cheik Modibo Diarra ne bouge d’un iota.

    Alors la Cedeao formule une requête auprès de la CPI pour engager des poursuites contre les crimes de guerre et stationne 3000 hommes prêts à intervenir dès qu’il y aura un gouvernement légitime à Bamako.

    En effet, elle ne peut pas faire du légal (intervention militaire dans le cadre du droit international de mandat onusien dont les prémisses sont la résolution 2056) sur de l’illégal ( dans et au profit d’un pays dirigé par un Grinvraiment de Cheick Modibo Diarra qui est un groupuscule de copains et de liens familiaux pour faire plaisir à Kati en violation de la constitution en vigueur au Mali). 

    Elle somme le “grinvraiment” à s’élargir à toute la classe politique avant le 31/07/2012 parce que le jeu politique démocratique se fait avec les formations politiques d’un pays et non par le copinage d’état en “grins familiaux”.

    Si ces formations politiques sont médiocres et corrompues alors que ceux qui ne le sont pas, créent des partis politiques, conformément aux lois en vigueur, et font la preuve de leur popularité en rassemblant le maximum de militants à leur cause.

    Ils rentreront aussi au gouvernement d’union nationale.

    Ça s’appelle la démocratie, c’est la seule exigence de la communauté internationale pour aider le Mali à recouvrer son intégrité territoriale et sa stabilité politique.

    La Cedeao en a même fait un “protocole de bonne gouvernance et de démocratie” qu’elle a appliqué, par le passé, au Niger et à la Côte d’Ivoire bien avant le Mali, pays membre signataire dudit protocole, dans leur escapade putschiste et leur virée de crise postélectorale.

    Nous ne valons pas mieux que la Côte d’Ivoire et le Niger dans l’espace communautaire, nous devrions revenir à la démocratie, et on a tout intérêt sinon face aux défis qui se dressent devant nous, nous ne sommes pas loin d’un bébé éprouvette.

    Quelle régression! What a chrinking country!

  12. Monsieur guindo, c’es bien de penser au bonheur du Mali, mais ta de l’AMO ne doit pas être melangé à elle des question nationales. je veux simplement te poser une question: concernant les préparatifs des militaire, il st à quel nivo concrêtement?

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