Ceux-ci vont se mettre bientôt au service exclusif de la sécurité des citoyens et de leurs biens. Ils sont 29 officiers, issus pour certains de pays de la sous-région (Bénin, Burkina Faso, Niger, Sénégal et Togo).
Le ministre de la Défense et des Anciens combattants, Tiéman Hubert Coulibaly, a présidé vendredi la cérémonie de remise des diplômes dans l’enceinte de l’Ecole de la gendarmerie à Faladié. C’était en présence du directeur général de la gendarmerie nationale, le colonel-major Mody Bérété, du commandant des écoles de la gendarmerie, Aly Ag Oumar.
Ce dernier a assuré que durant la formation, les officiers des deux stages ont acquis et maîtrisé un certain nombre de connaissances telles que la méthode de raisonnement général (MRG), la méthode d’élaboration d’une décision opérationnelle (MEDO) et peuvent appréhender différentes situations parfois complexes pour une analyse et une formulation de propositions adaptées.
Les officiers de la 6è promotion ont appris la maîtrise parfaite des techniques d’expressions écrite et orale, l’animation et la conduite d’une réunion ou d’un groupe de travail ainsi que l’utilisation des logiciels de la bureautique générale et le développement d’une grande ouverture d’esprit et de connaissance des problèmes de la société, a assuré Aly Ag Oumar.
Ce stage a permis à 10 officiers du grade de chef d’escadron et de capitaine de développer un savoir-être indispensable à un officier d’Etat-major comme l’exemplarité, la rigueur, l’esprit d’équipe, l’esprit de service et le sens de l’intérêt général, la discipline intellectuelle, la loyauté, la modestie et l’objectivité.
Quant aux 19 officiers de la 17è promotion du cours supérieur (CS) de la gendarmerie composée de 15 maliens et 4 ressortissants de pays frères, ils ont suivi un stage axé sur la formation professionnelle, la formation juridique (procédure pénale, droit pénal général, droit pénal spécial, principes généraux d’exécution du service, libertés publiques, droit international humanitaire), la culture générale (les méthodes de rédaction, les grands problèmes contemporains, l’informatique, le travail personnel de recherche) ainsi que la formation physique et sportive. Ils sont préparés aussi à l’exercice du commandement.
Pour le directeur général de la gendarmerie nationale, le colonel-major Mody Bérété, ces sorties de promotions viennent rappeler qu’en dépit des nombreuses contraintes et difficultés, un effort soutenu mérite d’être consenti à l’amélioration des prestations des hommes et femmes oeuvrant dans les différentes structures de commandement. « En prenant en compte les réalités sécuritaires d’aujourd’hui qui mettent les forces de défense et de sécurité en face de défis de plus en plus complexes, en prenant aussi en considération l’environnement humain qui caractérise notre société, la nécessité de former et de mieux outiller les militaires de la gendarmerie s’inscrit de manière indiscutable comme un défi majeur à relever », a-t-il estimé.
A. TOURE
C’est tout de même bizarre qu4au Mali nous continuions à former des “officiers” que ce soit dans l’armée ou dans les autres corps alors même que la pyramide est déjà renversée! Plus de 135 généraux au Mali pour presque rien de concret sur le terrain militaire. J’avais dit que tous les gouverneurs; préfets et sous préfets militaires doivent être relevés et remplacés par ceux qui ont fait leurs études en administration publique, c’est la moindre des justices à leur rendre.
J’espère qu’ils vont avoir la conscience professionnelle
mr le ministre n,oubliez pas de décorer lors du 22 septembre ces gendarmes racketteurs du barrage de selengué ,qui font la sous location de frigos dans l’escadron. 8) 😈
mdl chef c diallo kidal te conviendra.
Pourquoi on ne précise pas le grade de Aly AG Oumar .Pour les jaloux il est colonel et il s’appelle Mohamed El Mehdi Ag OUmar Ag Attaher Ag Mohamed Al. wafi Ag Mohamed Ahmad .il descend d’une lignée de grande famille
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