En 1960, l’armée française disposait de certaines bases aériennes. Le 5 août 1960, par le décret 60-197, TER fut créée par une sous-commission composée de Mahamadou Diarra, représentant fédéral ; Oumar Ly, Pinama Drabo et Sékou Traoré, tous deux Capitaines et Balla Koné, Lieutenant de la Gendarmerie, qui était chargé de suivre à titre consultatif les questions de mise en place de l’armée malienne. Le 20 août 1960, la Fédération du Mali a éclaté et le 21, tous les dirigeants soudanais furent renvoyés à Bamako par un train spécial. Ce qui a abouti à la proclamation politique de l’indépendance du Mali le 22 septembre 1960.
Le 26 septembre de la même année, par le décret N° 249/60, l’état-major territorial de la République soudanaise est devenu l’état-major de l’armée du Mali. Le décret 371 du 26 septembre 1960 était pour les premiers avancements. L’armée malienne fut présentée au président Modibo Keïta le 12 octobre 1960 devant la mairie centrale de Bamako.
Le 23 décembre 1960, le Colonel Soumaré rejoint le Mali et fut nommé chef d’état-major général de la défense nationale et des forces armées du Mali, le 28 décembre, avant qu’il soit nommé, Général de brigade, le 29. La France cessa alors de prendre en charge le salaire des soldats maliens, exactement le 1er novembre 1960. Le 20 janvier 1961, le président Modibo Keïta annonça aux corps diplomatiques son désir de voir la France quitter ses bases qu’elle entretenait sur le territoire malien. Ce qui a abouti à l’évacuation des bases de Kati, le 8 juin 1961 ; de Tessalit, le 8 juillet ; de Gao, le 2 août et la base de Bamako, le 5 septembre 1961.
Au début, l’armée malienne était composée de la Compagnie de reconnaissance de Nioro, de la Compagnie de reconnaissance de Gao et du détachement du Bataillon du Mali à Ségou.
N .T
Drôle d’article et drôle de titre …NT qu’avez vous fait de l’histoire de l’armée malienne après le 5 septembre 1961 ?
On aurait aimé savoir ce qu’est devenue l’armée malienne en 2016 ..Est- elle opérationnelle ?
Et maliweb qui assure que cet article n’engage que la responsabilité de l’auteur
Bonjour,
Aucun état ne peut vivre en autarcie (isoler des autres).
Bien sûr, comme le disent certains, évitons d’être assistés.
La collaboration avec d’autres états est indispensable si elle est de type gagnant-gagnant et si elle nous apporte ce que nous n’avons pas et que nos besoins exigent.
CE QUI EST AUSSI VALABLE POUR LA DÉFENSE ET LA SÉCURITÉ.
Nous devons donner une importance à notre défense et sécurité.
C’est pourquoi, la modernisation des forces de défense et sécurité Maliennes souhaitée par IBK est la bienvenue tout en n’oubliant pas de valoriser les fonctions associées et les Hommes qui les assument.
Centrées sur l’Homme et la cohésion nationale, la loi d’orientation et de programmation militaire et la reforme du secteur de sécurité (avec une vision globale prenant en compte tous les acteurs) prennent en compte ces aspects.
Nous arriverons, ainsi, à bâtir des forces de défense et sécurité à même d’assurer leurs missions régaliennes, DONC, LA PROTECTION, LA DÉFENSE ET LA SÉCURITÉ DE LA NATION, DES PERSONNES ET DES BIENS.
Valorisons (1) nos forces de défense et sécurité, (2) valorisons les fonctions associées (à travers le renforcement de capacités, de meilleurs salaires, des avancements en adéquation avec les salaires, constitution d’une force d’élite composite (combinant des éléments de la défense et ceux de la sécurité) et expérimentée (bien formée et bien entrainée) dont celles (à intégrer plus tard, pour plus de cohésion, dans cette force d’élite composite) contre le terrorisme sont un début, …) et (3) impulsons-les, elles nous protégerons, défendrons et sécuriserons mieux et seront autonomes.
Une telle force d’élite composite (combinant des éléments de la défense et ceux de la sécurité après la mise en place effective du DDR (Démobilisation, Désarment et Réinsertion) et de la RSS (Reforme du Secteur Sécurité)) devra être affectée et gérée par l’état major général des armées (au Ministère de la défense) en coopération étroite avec le ministère de la sécurité et de la protection civile.
Si les deux ministères (défense et sécurité) ne s’entendent pas sur l’affectation de cette force d’élite composite, elle pourrait être affectée à l’état major particulier du Président.
Si ce n’est pas un problème de ressources (financières et humaines), cette force d’élite composite serait affectée à l’état major particulier du Président et les deux forces contre le terrorisme (celle au ministère de la défense et celle au ministère de la sécurité) resteront dans leurs ministères respectifs comme c’est actuellement.
Ainsi, se construiront petit à petit des vraies forces d’élite au Mali pour une défense et une sécurité optimales et sans faille pour que plus jamais ça (ce qui s’était passé).
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
Bon titre mais tres mal developpe’.
C’est un plaisantin ce journaleux.
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