Feu rouge : L’étau se resserre de plus belle autour du capitaine Amadou Sanogo

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L’étau se resserre de plus belle autour du capitaine Amadou Sanogo
Amadou Haya Sanogo

Victime de ses propres turpitudes, Amadou Haya Sanogo, le naïf, célèbre au bagne le baptême de sa fille chérie. Quel malheur ! Quelle honte pour un capitaine général, un capitaine président ! 

 

Amadou Haya Sanogo, loin d’être un officier fantoche, mais téméraire comme c’est pas possible, soldat à la mémoirede veau, paie sa dette pour avoir commis une ignominie pour des intérêts bassement terrestre.

 

 

Avec une application bien vaillante de la loi, le reste de sa vie se résume normalement à la perpète. Ce soldat d’élite contesté médite sur son triste sort pour avoir oublier, avant même de faire tonner les Brdm et autres armes de guerres redoutables, que l’infâme dictateur Mousa Traoré, tombeur de Modibo Kéïta, végétait en prison pour crime. Son tombeur ATT, en fuite, en retraite, sous la coupole de Macky Sall, président du Sénégal, attend son tour pour goûter aux meilleurs délices de l’enfer des criminels. Si c’était à refaire, le capitaine président ou le capitaine général ne fomenterait pas un coup d’Etat ou faire exécuter sauvagement ses frères d’armes.

 

 

Si c’était à recommencer, il ne tomberait pas dans le piège consistant à accepter d’usurper le grade de général et le statut d’ancien président en tant que putschiste. C’est qu’il ne savait pas que lorsqu’il cette foultitude de nominations à lui décerner, successivement, par deux présidents de la République représentait un appât, le seul hameçon incontournable pour l’extirper de son bunker de Kati et lui rappeler que les murs parlent aujourd’hui. A preuve, ses victimes enterrés dans des charniers n’ont été exhumés qu’après son départ de la forteresse de Kati. Dès qu’il mit les pieds dehors en toute confiance, il s’en suivit son inculpation et sa mise sous mandat de dépôt.

 

 

Tout le monde applaudit à tout rompre. Même la Cedeao se rétracte : «Une fois la parenthèse du coup d’Etat refermé, la Cedeao n’a pas reconnu le statut d’ancien chef d’Etat à Sanogo», affirme mordicus Aboudou Cheaka Touré, représentant spécial de la Cedeao au Mali. C’est donc terminé pour le putschiste Amadou Haya Sanogo. Du moins, il poursuit sa carrière en prison.

 

Mister NO

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11 COMMENTAIRES

  1. Que Dieu nous donne la force de bannir la vengeance et qu’on arrive avancer chers frères. La loi fera son travail et non les cœurs
    remplis de haine

  2. Mais dites – moi , quel message ce nullard de journaliste veut passer? Car je ne pige rien rien dans son analyse meme apres moult relecture.
    Un peu de professionnalisme quand meme et je me demande si reelement le RD jette au moins un petit coup d’oeil sur le travail de ces journaleux. puffffffffffffff la honte, mais Allo koi

  3. Je suis très content que les maliens comprennent les mensonges des faux journalistes!!!!!!!!!!!!!

  4. vous savez le journalisme est devenu un refuse de bandits aussi de grands chemins des fossoyeurs d’état je t’assure quelle honte

  5. Tant mieux, que ce soldat rate medite sur son sort, meme si le coup d’etat etait saluaire et l’apres restait trop a desirer.
    En plus Mister No a doit a son opinion et sa facon de penser.
    Qu’est ce qui n’est pas torchon au Maliba, meme le president en un un, pire une vieille socks. :mrgreen: .

  6. Mais comment maliweb accepte de publier de pareils torchons? 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

    • euh …
      parce que le Mali est le pays le plus avancé du monde pour la liberté de la presse ?

      j’ai bon ?

      amicalement

      😉

  7. Soyez professionnel Mr le journaliste on veut avancer. Ne nous présenter pas du n’importe quoi

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