Depuis un certain temps, les femmes des bérets rouges du camp de Djikoroni durcissent le ton face à la junte de Kati, qui maintient encore en détention certains de leurs époux suite aux événements du 30 avril dernier. Par des manières de plus en plus vigoureuses, lesdites familles demandent non seulement la libération des détenus mais disent aussi niet à la dissolution de l’unité des parachutistes, en charge de la garde présidentielle jusqu’à la chute du président Amadou Toumani Touré.
Le lundi 16 juillet dernier, les familles des bérets rouges ont manifesté leur ras-le-bol à l’occasion de la marche pacifique, partie du camp para de Koulouba à celui de Djikoroni. Tout au long du trajet elles ont clamé la libération de leurs époux détenus et exigés des éclaircissements sur les cas de ceux (bérets rouges) portés disparus.
Mais peine perdue, la junte de Kati, qui d’ailleurs continue de plus belle sa chasse aux sorciers demeure sourde aux cris de détresse de ses femmes et enfants sans époux, sans papa depuis plusieurs mois.
Ce mercredi 01 Août 2012, les familles assistaient impuissamment aux arrestations sans tenter une quelconque intervention pour dissuader les bérets verts. Mais ce jour là, les choses se sont avérées plus complexe avec la sortie musclée des femmes et enfants du camp pour dire non (à l’arrestation d’un sous officier supérieur), la situation a vite dégénérée et une bataille de jet de pierres opposant les bérets verts aux jeunes du camp. Mais selon les informations, il aurait eu des blessés de part et d’autre.
Cet évènement malheureux a semble t il fait monter d’un cran les tensions déjà très tendues dans les casernes. Et le pire des schémas se profile à l’horizon : un affrontement entre les familles des bérets rouges et celles des bérets verts.
Loin de nous une quelconque idée de cultiver la haine. Dans les coulisses, les familles des camps militaires de Kati attendraient fermement une autre manifestation des familles du camp de Djikoroni para pour mettre leur pendule à l’heure. A en croire les propos d’une femme de Kati, leur « sœurs » du camp des parachutistes devraient comprendre une bonne fois pour toute que leur mari ont commis l’irréparable. Et d’ajouter qu’à une autre sortie des femmes de Djikoroni para ‘’Nous réglerons cette affaire entre femmes’’ a-t-elle indiqué
Encore pour une fois, le capitaine Amadou Haya Sanogo et son clan pourraient endosser l’entière responsabilité de la genèse d’une crise sociale. Toute chose dont n’a nullement besoin un Mali déjà très affaibli par la scission de son territoire et les jeux d’intérêts animés par certains de ses fils et filles.
Issa B Dembélé
Quand le 21 mars, le CNRDR+E et ses truffions attaquaient a l’arme lourde Koulouba et la Compagnie de a Garde Republicaine, c’etait pour
“s’amuser” ou effrayer seulement? Ou tuer le President? Ce qui serait une premiere au Mali, car ce serait un assasinat deguise en coup. Passons meme cette soiree “maccabre”, au cours de laquellela compagnie chargee de la securite du President n’a pas voullu engager le combat avec les mutins, qu’est ce qui a amene les autres corps a commencer a aggresser verbalement les paras? Pourquoi a-t-on desarmer les pars qui revenaient du Nord?
Epargnez-nous donc vos “les paras ont commis l’irreparable. On peut comprendre la mutinerie, mais a voulloir couvrir une tentative d’assassinat de la premiere insttituion et deguiser son echec et ses peurs en vengance serait le comble.
Nous les parents des victimes des berets rouge on est là que la justice soit faite.
Les berets rouge ont tiré sur leur propre frere d’arme donc ça merite une punition. La justice est là pour ça
Les bérets rouges n’étaient-ils pas agressés chez eux-mêmes ? Donc ils étaient en légitime défense, non ?
il faut etre au mali ici pour connaitre la realité des choses. Des propos malheureux sortent de bouches malheureuses et par des hommes de malheurs si non tous les maliens savent combien sanogo et ses hommes se sont sacrifiés pour tenir ce cher maliba des mains claniques et considéré comme entreprise familliale. En tout cas Sanogo et ses hommes ont la benediction des maliens, des vrais maliens.
Ils ont la bénédiction de quelques Maliens violents et sanguinaires à l’image de Mr Sanogo !
Le putsch n’avait pas lieu d’être à la veille d’élections démocratiques. Les putschistes devaient attendre le vote et les résultats et , éventuellement passer à l’acte ensuite. Ils ont préféré aller plus vite que la musique, on voit le résultat ! En fait ils avaient tellement peur que leur parti se fasse aligner, qu’ils ont préféré prendre les devants . Le présent nous prouve que c’était une très mauvaise idée et un calcul minable, puisque plus le temps avance et plus ils se font détester par les Malien(ne)s.
Si la presse encourage la revolte des femmes des berets rouges il faut s’attendre à une revolte des femmes des berets verts aussi.
Avant de combattre Ansardine au nord nous devrions d’abord combattre Sanogo au sud, car il est a la base de tous nos malheurs. Tant qu’il sera la, il n’y aura aucune stabilite au Mali. Apres la formation du gouvernement transitoire, Sanogo doit etre envoyer a la CPI pour qu’il reponde de ses crimes et atrocites contre civiles et militaires. La seule place qu’il merite est la prison et ce a vie loin du Mali.
Issa B Dembélé.Vous faites honte au métier de journaliste!Au lieu d’accuser Sanogo, qu’est ce que ces bonnes dames ont fait pour decourager leurs époux quand ils s’attaquaient au symbole de la république, qu’est l’armée?Ne dit-on pas “Qui sème le vent récolte la tempête”? 😉
Ce journaliste ne sait rien sur l’Armée. Lui et les dames qui marchent oublient qu’il y a eu enquête de moralité avant que les militaires ne se marient. Issa Bataraden Dembélé peut continuer à galvaniser ces femmes qui, au lieu de prier pour leurs époux, ne font qu’enfoncer le clou dans leurs plaies. Si elles sont quelque chose de bon, pourquoi ont-elles laissé leurs maris prendre les armes contre la nation entière? Croient-elles qu’elles sont plus fières que leurs soeurs des bérets verts? Ce genre de journaliste doit subir un e…
Sanogo et sa bandes son des pires enemies du mali sa de vien un cauchemars .tant ké sanogo vivra le mali ne Serapa en paix ; c’est un malheur national
g me demande la guere est entre les militaire ou entre le mnla et le vrait malien.chers maliens tout ça c sanogo et cest chien c lui le pure enemis du mali
Comments are closed.