Après une mortelle et tragique tergiversation, les autorités maliennes, sous la houlette du Dr Cheick Modibo Diarra semblent désormais disposées à accepter le principe de l’envoi des troupes étrangères pour la libération du septentrion, ainsi que pour la sécurisation des institutions de la République. C’est la principale substance et l’enseignement qu’on peut retenir de la rencontre des chefs d’Etat et de Gouvernement à Yamoussokro, où le Premier Ministre de la Transition a représenté le Mali.
C’est dans ce contexte qu’est intervenu, en fin de semaine dernière, le sommet des chefs d’Etat et de Gouvernement où la question malienne a eu le mérite d’être à nouveau remise sur le tapis. Comme on peut s’en douter, les débats, tout comme les décisions, ont essentiellement porté sur la nécessité d’accompagner les autorités de la transition, afin qu’elles s’acquittent convenablement de leurs missions de libération des territoires maliens occupés par les assaillants islamistes et indépendantistes. Entre la peste que représentent les uns et la pègre qu’incarnent les autres, le gouvernement de la transition n’a apparemment eu d’autre choix que lâcher du lest. Après s’être longtemps opposé à l’envoi de forces étrangères pour la crise malienne, le gouvernement a fini par revoir sa copie, en acceptant notamment l’arrivée d’experts pour l’évaluation des besoins militaires pour la libération des territoires occupés et la sécurisation des organes de la transition.
Le Sommet des chefs d’État et de Gouvernement de la Cédéao a également obtenu que le gouvernement du Mali fasse lui-même son plaidoyer auprès de l’ONU, en vue d’accélérer le dossier malien naguère bloqué, faute de volonté politique de la part du pays concerné.
Le conclave de Yamoussokro pourrait avoir marqué le début d’une levée des barrières endogènes au règlement de la crise malienne. Et pour cause, c’est la première fois que le gouvernement du Dr. Cheick Modibo Diarra ose s’affranchir de la junte putschiste hostile au plan de décrispation préconisé par la communauté internationale et auquel adhère une large proportion de l’opinion malienne.
A.Keïta
LE MNLA EST AUSSI PIRE QUE ANCARDINE,BOKO ARAM,AQMI,et MUJOA
TRES MINORITAIRE AU NORD MALI ILS PRENNENT TOUJOURS LES ARMES AU DETRIMENT DES SONGHOI,DES PEULS,DES BELLAS,DES ARABES POURTANT PLUS
MAJOITAIRES ET SILENCIEUSES 👿 CES ETHNIES QUI N’ONT JAMAIS PRIS D’ARMES.
DANS LE PASSE LES TOUAREGS ONT TOUJOURS VECU DE RAZZIA ET DE VOL DE BETAIL,
ILS ADHERENT PAS AU SYSTHEME CLASSIQUE DE GAGNER SON PANX A LA SUEUR DE SON FRONT
LE MNLA EST AUSSI PIRE QUE ANCARDINE,BOKO ARAM,AQMI,et MUJOA
TRES MINORITAIRE AU NORD MALI ILS PRENNENT TOUJOURS LES ARMES AU DETRIMENT DES SONGHOI,DES PEULS,DES BELLAS,DES ARABES
MAJOITAIRES ET SILENCIEUSE CES ETHNIES QU N’ONT JAMAIS PRIS D’ARMES.
DANS LE PASSE LES TOUAREGS ONT TOUJOURS VECU DE RAZZIA ET DE VOL DE BETAIL,
ILS ADHERENT PAS AU SYSTHEME CLASSIQUE DE GAGNER SON PAIX A LA SUEUR DE SON FRONT. 👿
Oui, il est grand temps.
Il était temps.
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