Démission du général Mousa Sinko Coulibaly du poste de Directeur de l’Ecole de Maintien de la Paix : Le régime refuse de lui notifier le décret portant abrogation de son décret de nomination

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Le Général Moussa Sinko Coulibaly

Moussa Sinko Coulibaly n’est plus un élément des effectifs de l’armée malienne. Il n’est plus aussi Directeur de l’Ecole de Maintien de la Paix, Alioune Blondin Beye de Bamako. La nouvelle a été rendue officielle par l’intéressé et la lettre de démission et de l’armée et du poste de Directeur a circulé sur les réseaux sociaux. Quelques jours après, l’Etat malien a abrogé le décret de nomination du général Moussa Sinko Coulibaly. Selon nos informations, Moussa Sinko Coulibaly, n’a pas reçu copie de la décision. L’instruction serait venue de Abdoulaye Idrissa Maïga à l’époque Premier ministre.

Après nos investigations, nous avions pu nous procurer une copie de la décision d’abrogation du décret de nomination de Monsieur Coulibaly. Elle date du 11 décembre 2017 (décret N°2017 -0965/P-RM) et est signée par : Le Président de la République, IBK ; le Premier Ministre, Abdoulaye Idrissa Maïga ; le Ministre de la Sécurité, le général de Brigade Salif Traoré et le ministre de l’Economie et des Finances, Docteur Boubou Cissé.

Pourquoi ce refus ? De quoi le régime a-t-il peur ?

Cette décision ouvre un boulevard à monsieur Moussa Sinko Coulibaly de concrétiser ses ambitions comme celle d’être probablement candidat à la présidentielle de 2018.

Les raisons évoquées par Monsieur Moussa Sinko Coulibaly suite à sa démission sont les suivantes : La mauvaise gouvernance ;  le manque de souci du régime à ouvrir les yeux, travailler dans la dynamique de sauver le Mali qui va tout droit dans le mur. Alors pour lui, il urge de faire barrage à ce système et cela n’est possible sans une vraie alternance qui se traduira par un grand rassemblement de tous les citoyens soucieux du devenir du Mali. Comme aime le dire ceux qui ont marre de cette gouvernance, l’’heure est grave et le peuple a deux choix : ‘’agir ou périr’’.

A rappeler que le général Moussa Sinko Coulibaly a été nommé Directeur de l’Ecole de Maintien de la Paix Alioune Blondin Beye sous le décret N° 2014-0428/P-RM du 10 juin 2014.

Kèlètigui Danioko

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3 COMMENTAIRES

  1. comrades Mr. Moussa Coulibaly under total circumstanced have shown withal a person deserving of leading young adults of Mali to world class modern living they all should possess. Young adults of Mali be not mislead by lazy plus foolish OLD MEN who have not done to this date what development acts that should have been fulfill decades ago.
    Mr. Moussa Coulibaly is leader that is willing plus fit to lead you all quickly to greater living plus fulfill all essentials along way.

    MOUSSA COULIBALY FOR PRESIDENT OF MALI 2018.

    Very much sincere, Henry Author (people of books) Price Jr. aka Obediah Buntu Il-Khan aka Kankan aka gue.
    translationbuddy.com

  2. FB, au lieu de passer ta vie à lècher le gros Q pourri d’IBK, tu feras mieux de t’associer à ton ethnie et continuer à faire ton sot métier de lèche-Q dans le nouveau pays propre à ta race !!!!!
    Moi, je ne veux plus entendre parler de Mali !
    La cohésion sociale ne sera jamais possible dans une société de loup, agneaux, caïmans, hyènes, chèvres, choux et salades !!!!!!!
    Chaque ethnie doit créer son propre Etat et utiliser sa propre langue !
    Adieu le français !
    Adieu la Françafrique !
    Vive les Etats ethniques en Afrique !
    Les indépendantistes touareg ont maintenant un allié de poids. Je veux qu’on en finisse avec cette farce grossière appelée le Mali. Chaque ethnie doit créer son propre Etat. Et on verra dans 5 ans maximum, certains vont créver de faim et de soif, tandisque d’autres deviendront un nouvel eldorado. Le vivre ensemble n’est pas possible et ne sera jamais possible!!@
    Nous allons prendre la France en contre-pied et ces fascistes vont bien regréter leurs sals jeux de diviser pour reigner. La langue française va complètement disparaître dans les nouveaux Etats ethniques, car chaque ethnie va utiliser sa propre langue comme unique langue officielle de son Etat.
    Au Mali, il existe un Apartheid qui ne dit pas son nom, mais qu’il va falloir reconnaître en fin, et faire le bilan du vivre-ensemble dans un Mali pluri-ethnique. L’hypocrisie n’a que trop duré !!!
    Maintenant, il n’y aura plus de “mussalaka”, et le chat sera démormais appélé par son nom: Miamm !!!!
    A lire certains commentaires je commence à comprendre pourquoi tous les postes stratégiques au Mali sont entre les mains des Songhoy, Peuhls, Touareg et Arabes.
    Le Mali fut détruit progressivement par le tribalisme cancérogène de ces groupes ethniques et ce, dépuis Moussa Traoré. C’est d’ailleurs Moussa Traoré qui a inicié cet apartheid au Mali, en accordant systématiquement, et de manière disproportionnée tous les postes clés à ces groupes ethniques au Mali, au mépris des autres ethnies.
    Donc, pourquoi pas diviser le Mali, si certaines ethnies se croient supérieures aux autres ???
    A partir d’aujourd’hui, je suis fervant partisant de la division du Mali en micro-Etats basés sur l’occupation ethnique. C’est la seule solution pour le Mali et le seul moyen d’éviter des génocides pires qu’au Rwanda.
    Que chaque ethnie réclame son propre Etat et s’occupe de son propre dévélloppement socio-économique. Si certaines ethnies voudront s’unir pour créer un Etat ensembles, tant mieux pour elles, mais aucune ethnie ne doit être pénalisée par ce régime d’apartheid qui ne dit pas son nom !!
    Les ethnies qui refusent de travailler et passent leur temps à parasiter sur le fruit du travail des autres seront obligés de travailler ou de partir chez les autrez ethnies vivre comme immigrants sans-papier et sans droits !
    Chacun pour soit, le travail pour tous !!!

  3. Kèlètigui Danioko est le type de journalistes qui a émergé depuis l’arrivée du président IBK au pouvoir. Ces journalistes ont l”intoxication dans les veines et ne savent rien de rien. Le gouvernement n’a pas à notifier quoi que ce soit à un démissionnaire. Le gouvernement prend acte de sa démission et abroge son décret de nomination et nomme une autre personne. A force de vouloir culpabiliser le gouvernement les gens se ridiculisent.

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