Crise sociopolitique du Mali : Une étape encore difficile pour le Mali

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Le communiqué final du mini-sommet de la Cédéao abrité à Ouagadougou, le samedi 7 juillet 2012, exige aux maliens l’installation d’un gouvernement d’union nationale d’ici le 31 juillet 2012, pour faire face aux conflits du nord sans laquelle ils seront sanctionnés par la CEDEAO. Tandis que ces forces de la nation se trouvent opposer et complètement déconnecter après le putsch du 22 mars dernier.

 

Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé,

Ladite conférence, abritée à Ouagadougou, avait pour objectif d’installé un ‘’gouvernement d’union nationale’’ et de renforcer les institutions de la transition pour faire face à la crise du nord, ont rapportés les médias. Cette décision des organisations régionales et internationales a suscité non seulement des mécontentements des personnes favorables au putsch du 22 mars, aux sympathisants du premier ministre mais aussi à d’autres organisations de la société civile qui jugent nécessaires que cette rencontre avec ses objectifs majeurs  devrait être abritée par le Mali, mais pas ailleurs. C’est dans la même perspective que l’on venait d’assister à la semaine dernière à plusieurs conférences de presse et de protestation pour désapprouver la tenue de ce sommet dans la capitale Burkinabè.
Un gouvernement d’union serait-il facile dans une situation exécrable ?
En effet les relations entre les différents acteurs sont exécrables, se caractérisant ainsi par le rejet  des uns et des autres.  La priorité n’est pas à les mettre côte à côte dans un gouvernement, mais de les rapproches et de les amener à se reconnaitre les uns les autres pour le seul intérêt de l’intégrité territoriale. De les amener à réfléchir à la situation du pays et de se référer sur la citation de John Kennedy, à se poser la question de savoir ce qu’ils peuvent donner au Mali et non ce qu’il peut leur offrir surtout en ce moment où les menaces pèsent lourdement non seulement sur Mali, mais sur toute la sous-région.
MD

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1 commentaire

  1. Mr Bassolé n’est qu’un traite comme son Président Blaise Compaoré Qui est tué son ami frère Sankara et en fin je vous conseil de bien régardé ce Monsieur Bassolé les yeux et vous verrez que c’est un bado vempire et voleur de nation avec une lèvre de prostutué

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