Depuis l’avènement du CNRDRE et les forces du changement (société civile, partis politiques patriotiques) au pouvoir le 22 mars dernier, l’ex régime autocratique d’ATT et de ses complices n’arrêtent pas de mettre le bâton dans les roues du pays. Comme si cela ne suffisait pas, ils embarquent la communauté internationale après que la CEDEAO se soit disqualifiée par ses prises de positions outragères voir méprisantes face à notre digne et vaillant peuple, maintenant ce sont l’UA qui a voulu entraîner l’ONU dans cette bataille de reprise du pouvoir par des assoiffés. Dieu merci, là-bas, ils ont compris et la balle a été mise à terre. Le comble!
De nos jours, le peuple malien dans son ensemble bien que meurtrie avec la partition temporaire du septentrion, est plus que dégoûté de cette équipée de pilleurs et de fossoyeurs inconscients et dégoûtants qui s’adonnent à une offensive diplomatique éhontée contre le Mal qu’ils rêvent encore de vouloir diriger.
Le Capitaine Amadou Haya Sanogo dans une interview accordée à nos confrères de « Jeune Afrique » la semaine dernière, n’a-t-il pas rappelé à la CEDEAO, à l’UA et à l’Onu ainsi qu’à la bande prédateurs assoiffés de pouvoir que par leurs agissements veulent tuer « l’espoir qu’a crée le CNRDRE » qui a chassé le régime d’ATT et complices ?
La position de la CEDEAO, de l’UA et de l’ONU n’est pas comprise ici chez nous. Et pour cause, nous pensons que c’est l’avenir du peuple malien qui comptait pour eux et non ceux de ces « autocrates » aux mains tâchées de sang de ce même peuple qu’ils rêvent encore de revenir diriger par le biais de ces institutions citées ci-dessus. La politique de deux poids, deux mesures saute aux yeux. Mais, ce état de fait, le peuple malien l’a bien compris et est déterminé à empêcher par tous les moyens le retour de ces « vautours » au pouvoir à Bamako. Mieux, l’opinion nationale en général, les agissements de ces soit disant « démocrates » depuis l’étranger sont considérés par la majorité de nos compatriotes comme un « acte de guerre ». dans ce cas, la sursaut national est déclenché par cette horde de pouvoiristes jamais égalés dans l’histoire contemporaine du mali nouveau. Et pour cause, en guise de rappel, ce sont ces mêmes gens qui en 1991, des années durant se son coalisés pour balayer le régime de l’UDPM dirigé par le Général Moussa Traoré. Ils n’ont rien laissé pour essayer de l’enterrer avec comme seul objectif que son nom ne soit jamais prononcé par les maliens afin que d’ailleurs nos compatriotes ne réclament son retour. Ce travail de sape de ces « démocrates », a été possible à un prix fort car, ce sont des centaines de nos compatriotes qui seront assassinés et son corolaire de blessés. Ce qu’ils ont appelé les victimes de la « révolution ». Vingt et un ans après, les masques sont tombés. Je veux dire grâce au CNRDRE, le 22 mars dernier, tout le peuple malien a compris le degré de déliquescence du pays. Comme si cela ne suffisait pas, ce sont ces mêmes gens qui doivent normalement répondre de leurs actes posés de 1991 à 2012, qui crient « au voleur ! ». No comment !
Ces comportements ont permis de nos jours, une synergie d’action des forces vives du pays puisque tout le monde a compris que le FRD et ses affidés ne gesticulent que pour le pouvoir, les souffrances du peuple ne les regarde pas.
Le peuple est confus et ne les comprend plus face à ces agissements qui sont indignes de bâtisseurs dont se réclament-ils sa ns pudeur.
Bokari Dicko
Je voudrais seulement comprendre, aujourd’hui permis les présidents membres de la CEDEAO quelle sont ceux qui ont plus de notoriétés et qui sont aussi incontournable ? Ce qui sont démocratiquement élus ou ceux qui sont venus par coup d’état ?
Tu es malade de reflechir ainsi. Le FDR n’a frappé personne, n’a insulter personne. Le FDR est attaché à sa Constitution donc légaliste. Vous voulez foutre le désordre et le chaos. Vous êtes maudits de frapper un vieux de 70 ans. Vous êtes maudits de vouloir brûler ce pays. Vous êtes maudits de vouloir profiter d’un caos pour monter au pouvoir seule voie possible pour vous. Vous vous revendiquer d’un peuple qui ne vous reconnais pas. VOUS ETES MALADES.
La CEDEAO, c’est aussi le Mali.
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