Cabale contre le Général Moussa Diawara : Ces résultats qui font babiller ses détracteurs

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Pendant que le monde entier est impressionné par les performances des services de renseignements maliens, certains esprits tordus n’ont trouvé mieux que de s’en prendre gratuitement au Général Moussa Diawara, Directeur Général de la Sécurité d’Etat. Leur dessein : déstabiliser davantage le un pays qui clopine et qui doit en partie sa survie à certains hommes et femmes dont cet  homme dont les mérites ont franchi les frontières africaines dans le cadre de la lutte contre le terrorisme : Général Moussa Diawara. Retour sur les victoires des hommes de l’ombre.

En effet, aujourd’hui, sans aucun doute, dans la farouche lutte contre le terrorisme enclenchée par la communauté internationale, le Mali a bien son mot à dire. Et à plusieurs titres.

La Direction Générale de la Sécurité d’Etat  a joué incontestablement un rôle déterminant et en toute discrétion. Grace à la vigilance des hommes du Général Diawara, plusieurs dizaines de terroristes ont été mis hors d’Etat de nuire, sur le territoire national et en dehors de nos frontières dans un contexte particulièrement contraignant. Eux qui avaient longtemps été accusés de laxisme et même d’incompétence ont réussi admirablement à redorer leur blason à travers leurs hauts faits d’armes. L’arrestation du redoutable terroriste mauritanien, Fawaz Ould Ahmeida, l’assaillant de « La Terrasse » et bien d’autres caïds du terrorisme international en est une parfaite illustration. Et pas seulement.

Pour rappel, c’est dans la soirée du 21 avril 2017 que le terroriste mauritanien longtemps recherché avait été cueilli  à Bacodjicoroni Golf. Soit à la veille du vendredi 22 où le fou d’actes terroristes prévoyait de mener un véritable raid sanglant dans la capitale malienne. Cette arrestation, loin d’être le fait du hasard ou d’un simple coup de chance traduisait la vigilance et l’efficacité des hommes du Général Moussa Diawara, patron des services secrets maliens.

Bien qu’il ait séjourné plusieurs fois à Bamako sans se faire repérer, ce redoutable terroriste avait été pris en filature jusqu’au 16 avril, date à laquelle il était retourné dans la capitale pour perpétrer des attentats prévus pour le 22 avril 2017. Le timing entre son arrestation et la date de l’attaque prévue indiquent clairement que l’énergumène n’avait jamais pu échapper à la vigilance des limiers des services spéciaux. C’est-à-dire que ses faits et gestes étaient suivis depuis quelques temps sans qu’il puisse s’en apercevoir. Pour ce faire, il a fallu collecter puis confronter des milliers d’informations en vue de repérer, tracer puis arrêter Fawaz Ould Ahmeida. Car dans ce genre d’action, il fallait éviter d’éveiller le moindre soupçon, s’assurer de l’identité de l’individu, ne pas se fourvoyer quant à sa planque, cerner ses fréquentations et ses cibles à attaquer, entre autres. Et pour un terroriste de son niveau en tant que planificateur, il a fallu du temps et de l’adresse dans les enquêtes avant de procéder à son élimination physique ou morale. Ce qui a nécessité de remonter la filière depuis la base. Ainsi, les Maliens ont échappé à un raid sanglant.

Malgré les difficultés

Il faut rappeler que depuis qu’il avait commis la première attaque terroriste de Bamako au bar La Terrasse en mars 2015, Fawaz Ould Ahmeida avait disparu, laissant derrière lui, au milieu des victimes, des douilles de munition et des éclats de grenades pour seuls indices.

Tel aura été le cas pour les autres attaques dont Ould Ahmeida serait apparu en planificateur. En l’occurrence les attaques des hôtels Radisson Blu et Nord-Sud de Bamako et  Byblos de Sévaré. A chacune de ces monstruosités, les services secrets de notre agence de renseignements récoltent moins d’indices que leurs confrères des pays développés quand cela survient sur leur sol. Contrairement à ces derniers, les nôtres n’ont pourtant  pas l’avantage des images de vidéos-surveillance dans les rues ou dans les bâtiments. Ils n’ont pas non plus de banques de données d’empruntes et d’ADN aussi fiables que celles des grands pays car nos Etats en sont encore au balbutiement de fichiers individuels fiables. Ce qui participe à désabuser notre police scientifique naissante. A cela, il faut ajouter la collaboration approximative, voire insignifiante, de nombreux individus de notre pays. Car certains continuent de voir en ces gangsters des héros d’une cause qu’ils ne s’expliquent que de la pire des façons. Une conséquence directe de leurs mauvaises formations spirituelle et intellectuelle. Malgré cela, les agents  ont réussi à déjouer nombre d’attaques et à mettre aux arrêts cinq terroristes de haut vol en l’espace de quatre semaines seulement.

L’arrestation d’Ibrahim Ould Mohamed  (le boucher de Bassam) à Goundam dans la région de Tombouctou est une autre illustration de l’efficacité des hommes du Général Moussa Diawara.

En fait, dès qu’il a posé les pieds sur le territoire malien, après le forfait à Grand Bassam, le redoutable terroriste a été pris en filature par nos services secrets jusqu’à Goundam, grâce à la coopération ivoiro-malienne. Et ce malgré qu’il ait pris soin d’éviter de passer par Sikasso pour se rendre à Goundam afin de brouiller les pistes. C’est en voulant en sortir qu’il a été mis aux arrêts. Livrant des informations précieuses. Après quoi, survint celle du numéro 2 de l’attaque de la station balnéaire ivoirienne, Alou Doumbia. De là à celle de Kounta Dallah, l’instigateur principal de l’attaque, il n’est plus question que de temps. Quelques jours avant la mise hors d’état de nuire de Ould Mohamed, c’était celle de Souleymane Kéita, chef de Ançar Dine du Sud du Mali, prés de la frontière mauritanienne, alors qu’il revenait d’une cavale l’ayant mené hors du pays. C’est l’arrestation d’un de ses suppôts dans le centre du pays qui a permis de le repérer.

En plus des ces gros calibres du terrorisme international, la DGSE a enregistré ces dernières années les arrestations de plus d’une centaine de « nuisibles ».

Ces succès valent aujourd’hui au Général Moussa Diawara les éloges des experts réputés au plan international dans le domaine du renseignement.

En dehors de la lutte contre le terrorisme, il faut noter que le Mali a échappé à plusieurs complots à l’interne grâce à la vigilance de celui qui est connu pour avoir « démocratisé » la police  politique. Tenant au respect des droits de l’homme, Moussa Diawara a renoncé aux vieilles méthodes (les arrestations arbitraires, la torture, les éliminations physiques, les filatures sauvages et les harcèlements moraux et psychologiques). Ce n’est pas pour rien que le Mali caracole au sommet du hitparade de la liberté d’expression.

« IBK doit sa sérénité à la très grande efficacité de ses services de renseignement » avait laissé entendre un diplomate américain en poste dans un pays de la sous région. Il n’a pas tort. La DGSE a réussi à anéantir des tentatives de renversement du régime.

On comprend aisément donc pourquoi, les ennemis du Mali continuent de s’en prendre aux derniers remparts du régime : Le Général Moussa Diawara. Ses performances dérangent et font babiller ses détracteurs.

Abdoulaye Niangaly

Commentaires via Facebook :

14 COMMENTAIRES

  1. Idiot, pour parler de quelqu’un de la façon dont vous faites, il faut le connaître. Ce n’est pas Moussa sur la photo. Je n’ai rien contre le Général DIAWARA car il travaille avec les moyens en sa possession. Pour savoir si son équipe est performante dans son devoir, il faut connaître les moyens technologiques dont elle dispose. Le Mali en ma connaissance est bien loin dans ce domaine également.

  2. NIANGALY, LA SE a même pu déjouer les massacres contre les villages de tes frères dogons!
    IL FAUT LA REMECIER POUR CES EXPLOITS!

  3. generali Diawara ou generali Diallo ce sont blanc bonnet et bonnet blanc, gnuman te wulu denw na!

  4. Mr Abdoulaye Niangaly,
    Wallaye tu es trop fort.
    Tu as juste oublié de Souhaiter Bon Anniversaire à ton Général.
    Change la Photo et dis “Bon anniversaire mon Général.
    Il aime beaucoup les Anniversaires.
    C’est vrai que ” Le monde entier est impressionné par les performances de notre service de renseignement” Surtout par les fêtes d’anniversaire du patron des renseignement.
    Il est aussi vrai que ” Ce n’est pas pour rien que le Mali caracole au sommet du hitparade de la liberté d’expression ”
    Moi je crois que le Général doit aussi organiser une fête pour célébrer cette première place.
    Par contre, c’est pas normal que nos services soient mal équipés ” Ils n’ont pas non plus de banques de données d’empruntes et d’ADN ”
    Moi je crois qu’ils devrait faire des emprunts auprès des banques pour relever ” les empreintes ” des terroristes et surtout pour faire le séquençage de leur ADN.

    C’est toi même qu’on devrait nommer Grand-Général imbécile des Mauvais Griots. Le GGIM des Griots. On aime bien les sigles au Mali.
    Abdoulaye Niangaly est désormais un honorable GGIM.
    C’est pas grave de faire le Griot. Mais il faut bien le faire quand même.
    Pour te punir de ce mauvais travail, tu ne seras pas invité à la fête du prochain Anniversaire.
    FA KAYA

  5. La SE c est le maillon faible de la chaîne de sécurité au mali .Raison pour laquelle rien ne va au mali depuis.Quels exploits? je suis désolé.

  6. Nous pouvons donc dormir sur nos deux oreilles et tant pis pour tous les fils du pays qui sont morts à Menaka à Gao à Ansongo à Youni à Tassiga à Lellehoye à Léré à Nampala à Gossi et partout dans le Nord et le Centre du Mali. Aucun des biens et du bétail enlevé à des pauvres populations n’ont jamais été retrouvé et restitué à leur propriétaire. Où se trouvent nos frères enlevés à Gao à Tombouctou à Youni à Léré? La missionnaire à Gao et celle plus proche de nous ne méritent-elles pas les savantes compétences de notre Général? Et qu’est devenu Birama TOURE? Votre Excellentissime Général peut-il au moins aider la famille à faire son deuil ou à continuer à espérer? Toutes les attaques dirigées sur le Niger et Burkina dont on dit provenir du Mali, c’est donc faux? Pourquoi ne les porte-t-il pas la contradiction? La Mauritanie accuse à longueur d’antenne le Mali d’être incapable d’assurer sa sécurité contre 3000 hommes. Le Généralissime peut-il nous dire si le nombre est exact? Où sont-ils terrés? Et il attend l’ordre de qui pour les mettre hors d’état de nuire?
    Bon assez!!!
    Transmettez mon salut cordial à Son Généralissime Dia…

  7. Avec la petite formation que j’ai reçue en la matière, je puis confirmer que le DG de notre SE serait le plus incompétent du Service. Combien de victimes ces dernières années à cause de sa faillite. Le pays est en retard concernant le collecte et l’exploitation d’informations.
    Dans un pays sérieux où la vie humaine compte, le visage du chef du Service est méconnu ou se fait rare.
    Chez nous, il ose même fêter son anniversaire publiquement au moment où les massacres continuent.
    Le Mali est sur la liste rouge des pays à visiter ! Cela veut tout dire.
    Abdoulaye, un journaliste ne fait jamais éloge d’un responsable SE. C’est le travail d’une compétente commission.
    Je vous suggère quelques sujets importants à élaborer ; Santé au Mali, assainissement et hygiène, chômage des jeunes, mendicité, drogues, la carte NINA et la carte d’identité biométrique…
    Bon courage

  8. DE GRACE ENLEVER CETTE PHOTO QUI N’EST PAS CELLE DU GENERAL MOUSSA DIAWARA MAIS PLUTOT CELLE DU GENERAL BOUBAKAR DIALLO DIRECTEUR DU GENIE MILITAIRE.

  9. J’espère M. Abdoulaye Niangaly que vous avez reçu un montant conséquent pour écrire ces Inepties !
    Toujours le seul argument par les gens qui veulent cacher le soleil avec les doigts : COMPLOT ! C’est fatigant.

  10. Dans un moment critique de notre pays,tellement critique que les enfants du pays sont tombés régulièrement comme des bêtes à cause principalement du manque de moyens et de l’inefficacité des services de renseignement chargés de sonner l’alerte, s’enrichir indûment fait placer dans le camp des ennemis de ce pays.
    MOUSSA DIAWARA PEUT-IL AFFIRMER QUE LES DÉPENSES EXTRAVAGANTES QU’IL EFFECTUE SONT RÉELLEMENT TIRÉES DE SES REVENUS PROPRES?
    Les ENNEMIS DU MALI sont ses propres chefs militaires.
    MOUSSA DIAWARA et les chefs militaires qu’il a placés au sommet de l’armée malienne car il a la confiance du président sont limogés et mis à la disposition de la justice, si le Mali respectait les règles de la bonne gouvernance tant leurs gestions ont enfoncé encore plus le Mali causant une tuerie très affreuse au sein des éléments de l’armée malienne.
    Ils sont entrain d’indexer des patriotes comme les ennemis du Mali alors que c’est eux les vrais ennemis du pays.
    IBK a regroupé autour de lui des éléments particulierement cupides qui ne sont intéressés que par leurs intérêts PERSONNELS.
    Le Mali est le cadet de leurs soucis.
    MOUSSA DIAWARA est à la seule disposition du clan présidentiel.
    Il ne travaille pas pour le Mali.
    Pour un président qui travaille pour les intérêts supérieurs du Mali, il serait limogé depuis longtemps.
    IBK etant incapable de le faire, le peuple s’en chargera.
    OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
    La lutte contre.

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