Ayant séduit les français : Les bérets rouges préparent l’assaut sur Kidal

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Après que le premier ministre Diango Sissoko a trouvé un terrain d’entente entre bérets rouges et bérets verts, des dispositions ont été prises afin que les commandos parachutistes (les bérets rouges) rejoignent le front de guerre au nord. Pour cela, il a fallu une intervention très discrète de la France qui avait besoin de davantage de troupes maliennes aguerries au nord.

berets rougesLes premiers bérets rouges ont quitté le camp de Djikoroni le dimanche 31 mars 2013, pour se rendre à Soufroulaye, à quelques kilomètres de  Sévaré. En principe, ils devaient recevoir à Sévaré une formation technique de remise à niveau avant d’être déployés à Gao. Or à Soufroulaye, les bérets rouges ont vu leur aptitude au combat testée par des officiers français. Ces derniers ont été si impressionnés des résultats du test qu’ils ont applaudi les bérets rouges et ont décrété qu’ils n’avaient plus besoin de la formation prévue à Sévaré.  Du coup, les Français ont remis aux bérets rouges un équipement impressionnant. “Nous avons reçu un armement qu’aucun autre corps de l’armée ne possède”, nous déclare un adjudant qui se félicite de la clairvoyance des officiers français.“En recevant ces armes, nous étions très satisfaits: l’armement est de qualité et c’est  vraiment ce dont nous avions besoin pour mater l’ennemi!”, jubile un sergent-chef des bérets rouges joint par votre journal.“Chaque béret rouge a en tête la carte du nord; nous n’avons pas besoin de guide pour nous indiquer le chemin”, explique un autre béret rouge.

Après avoir été bien armés par l’armée française, les commandos poursuivent leur route sur Gao. Il semble qu’ils n’attendent que les ordres de la hiérarchie militaire foncer sur Kidal afin d’en déloger les rebelles du MNLA. La libération de Kidal sera en effet, selon les plans, faite par les bérets rouges, spécialisés en combats rapprochés. Selon nos sources, dans 10 jours, les bérets rouges seront à Kidal, la France ayant déjà officiellement fini le nettoyage des collines des Ifoghas et ayant eu la preuve que les otages français ne s’y trouvent plus. De plus, Laurent Fabius a déclaré qu’il va falloir, à bref délai, “désarmer le MNLA”.Sur le terrain, les bérets rouges sont commandés par un de leur officiers, le capitaine Youssouf Traoré.

Les bérets rouges rappellent cependant qu’ils accusent 7 à 8 mois d’arriérés de salaires et de primes. “Nous ferons d’abord la preuve de notre efficacité avant de récvlamer ces droits”, promet un sous-officier commando. Les bérets rouges ne comprennent pas non plus que le camp de Djikoroni, après leur départ, soit placé sous la garde  de bérets verts et de gardes dirigés par le colonel Oumar Diawara. Un sous-officier béret rouge nous confie que même le dojo (salle d’entraînement) et le foyer  du camp de Djikoroni sont interdits d’accès par le colonel Diawara et ses hommes.

 

Abdoulaye Koné

Commentaires via Facebook :

33 COMMENTAIRES

  1. Dibi! que fais tu en france,&tant donné que tu les haïs tant.Ou prends tu les maliens pour des târés.En parlant ainsi tu insultes ton peuple si tu es vraiment malien.

  2. Que Dieu aide la vérité et elle finit toujours par triompher.De braves berets rouges pour l’amour de la patrie prennent la route du nord avec des arrierés de salaires de 7 à 8 mois, d’autres militaires sont dans les bureaux climatisés prennent des sommes colossales par mois à ne rien faire, n’ayant pour mission que la reforme d’une armée qui n’existe que dans leur imagination.

    • “FATALISTES!”
      Vous ignorez la véritable signification de ce mot,croyez-moi!
      Un conseil!Arrêtez de vous en prendre bêtement aux gens!

  3. Bravo, restez vous memes dans l’unicite et le patriotisme mais surtout pour une armee forte unie et indivisible. Le Mali compte sur vous tous qui sont devoues corps et ame a la patrie. Le reste des cancres doivent etre radies. Merci pour votre bravoure.

  4. Je vous dis que ce pays est foutu. Pire qu’une calebasse brisée. Et voilà que la presse aux ordres et la félonie de l’occupant français nous rejouent la mise en scelle calculée de la garde prétorienne du satrape d’ATT présentée comme force républicaine opposée aux bérets verts perçus en vulgaires putschistes. La preuve, ce ressenti s’exprime sur nombre de forums. Et à ce petit jeu d’opposition de casquettes militaires dans l’armée nationale (si elle existe encore), ce pays ne s’en sortira jamais, vu qu’on s’apprête à reprendre les mêmes pour recommencer et continuer le saccage du pays. Les bérets rouges sont mis en exergue contre les verts, la police nationale aux arrêts, sans oublier le retour sans gêne sur la scène politique des partisans-soutiens de l’affairiste ATT et de ses héritiers; tous positionnés en ordre de bataille pour reprendre du service dans le cadre de la mascarade électorale que financent les Occidentaux au Mali devenu un nouveau département français . Quelle honte!

    • “…tous positionnés en ordre de bataille pour reprendre du service dans le cadre de la mascarade électorale que financent les occidentaux au Mali devenu un nouveau département français.”

      dibi!
      “Aussi longtemps que les lions n’auront pas leur historien,les récits de chasse tourneront toujours à la gloire du chasseur.”
      ALORS ???

    • @ Dibi: Et voilà que la presse aux ordres et la félonie de l’occupant français nous rejouent la mise en [selle] calculée de la garde prétorienne du satrape d’ATT présentée comme force républicaine opposée aux bérets verts perçus en vulgaires putschistes.

      Si vous en êtes réduit à vous accrocher désespérément au mythe de vos bérets verts-héros-de-la-grande-révolution, pauvre de vous! “perçus comme de vulgaires putschistes” avez-vous le culot de dire…. Mais depuis le temps que vous déversez vos pamphlets de restau-U sur Maiweb, vous ne nous avez pas encore expliqué COMMENT voir vos bandits armés autrement que comme de vulgaires putschistes… Et pire…..Qu’avez-vous contre ces soldats qui ACCEPTENT d’aller défendre leur patrie, au lieu de se terrer derrière un bureau à ne rien faire et à percevoir des rémunérations indécentes en dépit d’un niveau intellectuel qui fait des nommés une risée planétaire?

      Ah, je vois: vous auriez préféré que Bamako soit pris par les obscurantistes, et que vos analphabètes soient à l’heure actuelle aux commandes du pays… Quelle honte!

      NON À LA RÉINTÉGRATION DES ASSASSINS DE L’EMIA

      « Le Sphinx » avait décidé, pour la cohésion sociale et l’entente entre tous les militaires, de geler les révélations et témoignages accablants qu’il a pu recueillir auprès des principaux témoins qui ont assisté à l’exécution sommaire de cinq de leurs camarades par leurs ainés de la 3ème année de l’EMIA. Exécution qu’ils ont voulu cacher sous fonds de bizutage ou de « bahutage » comme le disent nos militaires. Mais seulement, depuis quelques moments, une certaine presse a été commanditée, pour lancer des ballons d’essai afin de préparer l’opinion nationale et internationale à la réintégration de ces assassins au sein de notre armée. L’argument fallacieux est tout trouvé : nos spin doctors largement rétribués par certains membres du CNRDRE – devenus multimillionnaires depuis le coup d’Etat du 22 mars, à force de rapine, pillage et chantage- ont pour mission de faire croire à l’opinion que les élèves-officiers d’Active étrangers inculpés dans le meurtre de cinq de leurs cadets ont été réintégrés au sein de leur armée respective et que certains font même partie des contingents de leurs pays, envoyés au Mali, dans le cadre de la MISMA pour aider notre pays à reconquérir son septentrion.

      Pourquoi ces officiers s’agitent-ils aujourd’hui ? Tout simplement, ils veulent être exonérés de toute poursuite parce qu’ils ont « pris » le pouvoir depuis un certain 22 mars 2012.

      Oui parmi les putschistes, il y a quatre lieutenants qui avaient été mis sous mandat de dépôt par le juge d’instruction chargé de l’affaire pour le délit de non assistance à personnes en danger. Ce sont eux avec justement leurs élèves – qu’on avait arrêtés à et inculpés pour coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort, sans intention de la donner, coups et blessures volontaires avec préméditation, tortures, complicité, à la suite d’une enquête préliminaire minutieusement menée par le Groupement de la Gendarmerie de Koulikoro,- qui sont les auteurs du putsch du 22 mars 2012.

      Ce jour-là, ils ont libéré les élèves-officiers d’active qui étaient incarcérés -disons plutôt en résidence surveillée – à l’école d’application des officiers de Kati, leur ont remis armes et minutions pour descendre sur le Palais présidentiel sis à Koulouba. . Ce sont ses officiers encadreurs à l’EMIA et leurs élèves-officiers d’Active qui devraient être radiés des effectifs de l’armée qui ont perpétré le putsch qui a fait une quinzaine de morts. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles, les putschistes n’ont jamais voulu donné la liste des membres du tristement célèbre Comité national de redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE ), au risque d’être dès les premiers jours désavoués par les Maliens.

      ATT avait, malheureusement refusé de signer leur décret de radiation sous le prétexte qu’il ne voulait pas affaiblir davantage l’Armée malienne qui était déjà en guerre au Nord . Et il avait même, entre temps rappelé et nommé le colonel-major, Soungalo Coulibaly, directeur de l’EMIA au moment des faits au poste de chef d’Etat major adjoint de l’Armée. Il faut noter cependant que le capitaine Amadou Aya Sanogo, bien qu’étant encadreur à l’Emia au moment des faits n’est, contrairement à certaines allégations, pas du tout concerné par ce dossier pour la simple raison qu’il était, ce jour-là absent de Tientienbougou, où ont eu lieu les assassinats. A son retour le soir à Koulikoro, c’est lui qui est allé demander aux encadreurs et aux élèves de retourner à l’Ecole.

      Flash-back sur des assassinats prémédités

      Cinq jeunes élèves-officiers d’Active sont morts ce triste jour du lundi 3 octobre 2011. Ils ont pour noms : Fatou Seck Gningue venue du Sénégal, Sékou Aw, Cheick Oumar Bouaré, Sidiki Tangara, Thierno S Kéïta, tous jeunes maliens. Une chose est pour le moins sure : il ne s’agit pas d’accident, encore moins d’incident. Un des bourreaux, en l’occurrence Amadou Kaba Diakité, n’avait-il pas promis pendant le week-end mort d’homme aux victimes lors de ladite séance de « bahutage » ? Une tradition très contestée, au cours de laquelle, les aînés ou « affreux » dans le jargon militaire, à savoir ceux de la classe supérieure, manœuvrent quelque peu leurs cadets. Qu’on se le dise tout de suite : la pratique n’est pas réglementaire. Il s’agit à l’origine juste de donner un aperçu des difficultés du parcours au nouvel arrivant dans le compartiment supérieur. Il a pour objectif de developper chez le futur officier le respect de la hiérarchie, le caractère et la personnalité , la résistance et l’endurance aux épreuves physiques et morales et de renforcer la solidarité et la cohésion du grope. Au cours du bizutage, les insultes, les atteintes à l’intégrité physique et autres formes de tortures sont strictement interdit. Aucun contact physique n’est autorisé. Et le phénomène n’est pas propre à l’armée malienne ou à l’Ecole militaire interarmes (EMIA). Il existe au niveau de tous les autres corps( Police, Gendarmerie , Garde nationale, Douanes et mêmes certains établissements scolaires supérieurs). Mais hélas, il a tendance à se transformer en règlement de compte. L’EMIA, pour sa part reste une école de formation plutôt intellectuelle que physique. Créée en 1963, elle était d’abord installée à Kati avant d’être transférée en octobre 1980 à Koulikoro sur le site que l’on baptisera plus tard, Centre d’instruction Boubacar Sada Sy, (paix à son âme) du nom de l’ex-ministre de la Défense des années 94. Ses missions sont connues. Il s’agit de la formation initiale des officiers d’Active, de réserve et surtout, la promotion de la recherche scientifique et technologique. De manière formelle, la formation physique ne constitue pas à l’EMIA une priorité. En tout cas pas pour l’élève de 2ème année, lesquels ont déjà dépassé ce cap lors de la formation de base appelée CI (Centre d’instruction).

      Ce qui s’est réellement passé ce 3 octobre 2011

      Quelques jours avant, les victimes ont reçu des appels téléphoniques de la part de la part de leurs futurs bourreaux les mettant en garde contre ce qui les attendait ce fameux lundi 3 octobre. Les menaces et harcèlements se faisaient tellement insistants au point que certaines prirent peur et sollicitèrent même la protection de certains officiers. Une alerte qui ne servit malheureusement à rien. Ils arrivèrent donc le samedi à l’école la peur au ventre.
      Le lundi 3 octobre donc, ils seront conduits à 4 heures du matin à Tientienbougou , un village à quelques kilomètres de Koulikoro où se trouve le site dévolu aux exercices de l’Ecole. Sans la présence d’instructeurs auxquels les bourreaux avaient acheté plusieurs bouteilles de vin, de gin, de bière, bref des hectolitres d’alcool qu’ils vont siroter loin, à l’ombre des manguiers. Ce fut la fin atroce de cinq d’entre eux et de sévices corporels pour d’autres. Ils étaient au nombre de 57.

      Noyé dans un tonneau, la tête fracassée

      Arrivés sur les lieux, les tortionnaires prirent soin de leur retirer leurs téléphones portables avant de les soumettre à d’intenses manœuvres physiques. Si intenses que les élèves de la 2ème année se rendirent finalement compte que l’exercice dépassait le cadre du bizutage. Elles demandèrent clémence à leurs bourreaux. Sans succès. Pas de pitié. Certains commencèrent à évacuer du sang par les narines. Une situation qui aurait dû affecter n’importe quel humain en état normal. Mais les maîtres du jour n’en ont cure. L’agonie des malheureux les amusait plutôt. Ce qui fera dire à raison qu’ils étaient sous l’effet de l’alcool et/ou des stupéfiants. A notre passage à Tientienbougou, on a ramassé plusieurs mégots de marijuana et de sachets de gin.

      Déjà affaiblis et agonisant, les malheureux ne purent opposer une quelconque résistance à leurs ennemis. Ils se rendirent compte qu’ils étaient tombés dans un guet-apens, dans un véritable traquenard. Des traces de coups étaient visibles sur leurs corps. Leurs visages étaient tuméfiés et boursouflés. Les tortionnaires ne sont tout simplement pas allés avec le dos de la cuillère. Parmi eux figure en bonne place, le nommé Amadou Kaba Diakité, fils d’une grande dame. Il a dit avait dit à ses victimes une semaine à l’avance qu’il était formé pour tuer. Il avait promis de vive voix à Thiermo Seydou Kéïta une des victimes, et ce devant témoin qu’il y aura mort d’homme au cours de cette épreuve de bizutage.

      Selon nos investigations, c’est l’élève –officier d’Active, Cheick Oumar Bouaré qui constituera leur première victime. Il était considéré, à tort, par les bourreaux du jour, comme le petit ami de la Sénégalaise, Fatou Seck Gningue, de la même classe. Elle sera exécutée dans des conditions effroyables que nous évoquerons plus tard. Cheick Oumar Bouaré fut roué de coups de bottes, ceinturons et de bâtons. Quand il tomba, inerte, son camarade Sékou Aw implora l’indulgence des bourreaux. Ce qu’il ne fallait pas, il fut pris à son tour. Ils le rouèrent de coups jusqu’au dernier souffle. Leur ami, Thierno Seydou Kéïta se mit à pleurer. On venait d’exécuter ses deux camarades devant lui. Il subit le même sort. Non sans s’être défendu allayment. Complètement épuisé, il eu le courage d’arracher des mains d’un de ses tortionnaires sa gourde pour boire. Mal lui en prit. Ils tabassèrent copieusement. Il courra vert un baril rempli d’eau de pluie pour boire, ils lui prirent les deux pieds et l’immergèrent dedans jusqu’au dernier soubresaut de corps.

      Comme le radeau de la Méduse

      Mais qui sont les présumés auteurs de ses actes d’un autre siècle ? Toujours selon nos investigations ce sont, outre Ahmadou Kaba Diakité, qui semble être le cerveau, les élèves-officiers Daouda Soukouna, le chef Tonjon, Mahamadou Macalou, Moussa Balla Kanté, Kalifa Camara, Bakary Dramé (hélas) Modibo Diarra, Mohamed Coulibaly, Sekou Fané, Hawa Traoré, Halima Camara, Adiaratou Béré , Fatou Kéïta -oui, il y avait des filles- tous Maliens, Ousseini Karambiri (Burkinabé, Mouzon Banadjuba (Togolais), Mohamedoul M ; N’Diaw (Sénégalais ) , Elvis Diaman Kouakou et Paul Brou (Ivoiriens) et j’en oublie.

      Mais pourquoi s’en prendre à une femme aussi ? Il nous revient queue l’un des bourreaux Ahmadou Kaba Diakité était tombé fou amoureux de la Fatou Seck Gningue qui, comme toute bonne Sénégalaise avait une forme de bouteille Coca-Cola. Elle n’a jamais cédé aux mille et une avances de son soupirant. Voilà le principal mobile de ces crimes perpétrés par les grands-frères qui ne pouvaient pas accepter que leurs cadets sortent avec des filles qu’ ils aiment.

      Après Thierno Kéïta, ce fut donc le tour de leur ami Sidiki Tangara. Il subira le même sort que ces quatre autres camarades de « grin »

      C’est en ce moment que Fatou Seck Gningue comprit que la fin était proche pour elle aussi. Elle courût de toutes ces forces, poursuivie par la meute d’assassins. Elle rencontra un jeune berger de 15 ans autour de la ceinture duquel elle s’accrocha comme le radeau de la Méduse. On l’arracha vivement et la rouèrent de coups. Elle reçut en plein front un coup de ceinture qui lui fut fatal. Le jeune berger que « Le Sphinx » a rencontré à Tientienbougou en tremble encore. Lui et son grand-frère étaient dans les parages, ils en ont vu des choses.

      Fatou est morte pour avoir rejeté l’idylle dont elle ne voulait pas. C’est son seul crime. Thierno Seydou Keîta , Cheick Oumar Bouaré, Sidiki Tangara et Sekou Aw ont été exécutés ; ils sont morts eux-aussi, à la fleur de l’âge. Leur seul crime a été d’être des camarades de classe et amis à la charmante Fatou Seck Gningue. Il faut rappeler qu’ils ne sont pas les seules victimes de la horde sauvage. Il y 9 blessés graves parmi leurs camarades de classe. Ceux qui ont compris tôt qu’il s’agissait d’un traquenard ont vite pris leurs jambes au cou.

      « Le Sphinx » en a rencontré plusieurs élèves de la 2ème année, sous le sceau de l’anonymat. Leurs témoignages donnent froid au dos. Nous y reviendrons.

      Mais où étaient les instructeurs pendant toute cette boucherie ? Eh bien ! A l’ombre des mangueraies en train de prendre du bon temps. Parmi eux, un Capitaine, 5 Lieutenants et 6 Sous- Lieutenants. Ils sont presque tous membres du CNRDRE, la junte militaire qui perpétra le coup d’Etat du 22 Mars 2012.

      Ce qui est gravissime, c’est qu’une certaine presse largement bien payée est en campagne pour que des individus pareils, tous à l’époque sous le coup de mesures disciplinaire et judicaires réintègrent notre armée.
      Décidément, il faut du tout pour faire un monde immonde.

    • A DIBI ET CAPRICORNE

      NE SOYEZ PAS AFROPESSIMISTE SOYEZ COMME LES OCCIDENTAUX

      A SAVOIR COURAGEUX ET DETERMINES!!!!!!!!!!

      • FRANCEMAN!Vous me prêtez des propos qui sont à l’opposé des miens.Relisez-moi s’il vous plait et cogitez!
        Je vous informe que la dernière phrase de “dibi”m’a plutôt
        agacée.(d’où l’emploi d’alors ci -dessus.)
        NE SOYEZ PAS AFROPESSIMISTE SOYEZ COMME LES OCCIDENTAUX <br<
        A SAVOIR COURAGEUX ET DETERMINES
        Si vous saviez….

  5. Que le bon Dieu veille sur tous les braves soldats maliens qui risquent leur vie au front pour la nation….

    ET DIRE QUE LE MAUDIT LACHE ET SA BANDE … QUI VOULAIT DISSOUDRE LES BERETS ROUGES…N’ONT JUSQUE LA FAIT LA MOINDRE CONTRIBUTION POSITIVE A L’EFFORT DE GUERRE….BANDE DE CHIENS ERRANTS BRIGANDS … QUI N’ONT D’AUTRES MERITES QUE DE MORDRE L’ETAT ET LE PEUPLE… ET CAMBRIOLER AUX YEUX ET AUX SUS DE TOUS…AVEC LA COMPLICITE…IL SEMBLE… DU PRESIDENT PAR INTERIM….

    Payez a ces berets rouges leur arrieres de salaires….si vous pouvez donner des millions a un lache et sa racaille de soldats rates….

    BANDE D’IRRESPONSABLES… SANS INTEGRITE….

    Moussa Ag,….

  6. Ce vat de soit. Dans toutes chaque armee a un corps d’elites. Ces hommes ont ete formes nul ne peut nier cela. D’ailleurs tel a ete le cas depuis apres l’independance. Les americains ont leurs Navy Neal et le systeme francais ses Berets Rouges. Pour moi cet enfantillage n’a que trop dure. Il est grand temps que Dioncounda prenne ses responsabilites et mettre chacun a sa place sinon il sera responsable des consequences qui en decouleront et il en aura sur sa conscience tout le rest e de sa vie. Le PM a fait ce qu’il devait faire; maintenant la balle est dans le camp du President. L’etat doit remettre ses braves soldats dans leurs droits sans reserve aucune. Il faut en finir avec les faux problemes au niveau de nos corps. Le manque de sanctions exemplaires de la part des autorites comprtantes ne font que empirer le ptobleme qui risque de s’etendre. Ce qui est inacceptable et coupable.

  7. c’est les beret rouge qui nous donne envie d’etre militaire mais les b eret vert mal ediqué ne respect personne des drogué des voyou

  8. Que Dieu veille sur nos braves bérets rouges, la crème de notre armée. Ils sont restés fidèles à notre constitution, à nos lois et à nos institutions. vive les bérets rouges

  9. tout ça c’est du pipo,ces armes ne sont rien face a ceux des barbu cette guerre est loin d’etre terminé,les negres ne savent pas se battre a part s’entre tué,mais les arabes sont de vaillants guerriers dans l’ame et ils ne laches rien,on n’a vu l’irak et l’afghanistan,ils n’ont pas besoin de faire du tapage comme les negres d’afrique eux c’est dans l’action,votre maliba sera coupé en 2,vive azawad

      • Les Afghans ne sont pas arabes.

        Oui, j’allais dire….

        Monsieur l’Ivoirienne au vrai nom Gnaly Charles: vos rêves de voir le Maliba coupé en 2 demeureront cela: des rêves

  10. N’importe quoi c’est une revendication ou une reconquête, on ne veut pas que ces armes se retournent contre leurs frères d’armes.

  11. JE PARIE QU IL VONT NETTOYER LA ZONE VITE FAIT BIEN FAIT AVEC LE MATOS QUE J AI VU JE ME FAIS PAS DE SOUCI !!!!!!!!!!

  12. MERCI FABIUS !!!!!!

    MAINTENANT A VOUS DE JOUER LES BERETS ROUGES

    NETTOYEZ MOI CA A FOND LA CAISSE ET FEU A VOLONTE CONTRE LES RECALCITRANTS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  13. grace a la volonte du tout puissant allah onpeut esperer sans risque de se tromper que cette victoire est deja entre nos mains et on peut maintenant leur accompagner avec la musique de djeneba seck dediee a larmee malienne en effet on saura maintenant que la place d un militaire ce nest pas dans les bureaux climatises mais d une part dans les camps ou au front et n importe qui ne peut pas etre militaire

  14. On ne peut que remercier le bon Dieu,qui a deja choisi son camp dans cette guerre imposee par quelques lobbies occidentaux et Qataris.Fier de tous nos soldats,qu’ils soient berets rouges ou berets verts,il faut mettre en avant l’esprit frere d’arme.Le Mali plus que jamais a besoin de la solidarite entre ces enfants,on doit oublier toutes nos querelles partisanes,en faisant un bloc solide derriere notre armee.

  15. on est vraiment content d’eux. Qu’ils aillent montrent leurs expériences et savoir faire. Le tout le Mali a besoin de leurs bravoures et leurs déterminations.Inchallah vous aurez vos arriérés de salaires.

  16. Je doute qu’ils ne reviennent pas avec ses armes pour semer le bordel ici, surtout que ce Diawara parle d’incompréhension encore pour un problème déjà regler

  17. Si c’est vraiment de la realite’,nous ne pouvons qu’a les applaudir avec nos deux mains et nos deux pieds.

    • Moi je ne crie pas victoire pour le moment tant que je ne vois pas un seul militaire Malien à Kidal … même avec les déclarations de Fabius, j’attends voir l’exploit des militaires Maliens à l’oeuvre sur le sol de Kidal qui reste jusqu’à preuve de contraire son contrôle du mnla.

      JE PARIE QUE CERTAINES ME TROUVERONT PESSIMISTE…

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