Arrestation du Général Sanogo : Le supposé « bourreau » devient la victime

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SanogoMercredi dernier aux environs de dix heures précises, une colonne de véhicules militaires « TOYOTA » équipés de mitrailleuses, boucle la « Base B » où résidait le Général Amadou Aya Sanogo, ex chef du CNRDRE. Cette irruption des « Damiers » qui sont venus appuyer les forces spéciales de la Sécurité d’Etat (SE), composée comme d’habitude selon nos informations, à majorité d’éléments des bérets rouges et de la Gendarmerie nationale, avait un seul but : arrêter le Général quatre étoiles, Sanogo pour dit-on « son refus » de répondre à une convocation de la justice malienne afin qu’il s’explique sur les disparitions de bérets rouges lors du contre coup du 30 septembre 2012 et la mutinerie du 30 septembre dernier. Et ce matin du mercredi, le Général Sanogo, a été arrêté puis conduit au camp 1 de la Gendarmerie pour être entendu par les limiers qui l’attendaient pour ce faire. Récit d’une arrestation qui rend le supposé « bourreau, une victime » et qui provoque des grincements de dents au sein de la grande muette qui ne comprend pas l’humiliation qui vient d’être infligée à des leurs et qui est considérée comme un affront.

 

 

Depuis quelques jours, le Front du refus (FDR) et ses alliés n’arrêtent pas de mettre la pression sur le jeune régime d’Ibrahim Boubacar Kéïta afin qu’il arrête le Général Amadou Aya Sanogo qui est accusé de « séquestration, d’enlèvements, d’assassinats, disparitions… ». En réalité, ils n’avaient jamais baissé la garde. Et pour cause !

 

 

Chasse aux sorcières

Enfin, cette pression qui ressemble tout de même à « une véritable chasse aux sorcières, remarque un observateur avisé et l’entourage du Général Sanogo, a permis de mettre aux arrêts, celui-ci, devenu l’ennemi public numéro UN à abattre du FDR et leurs semblables. Son seul crime, explique un proche, est d’avoir balayé le régime du Général ATT « pendant qu’au même moment, un proche collaborateur de celui-ci est libéré, en l’occurrence le Colonel Abidine Guindo au nom d’une pseudo réconciliation de l’Armée, l’argumentaire trouvé par les détracteurs du régime d’IBK », matèle-t-on ça et là. Pour les supporteurs du Général Sanogo, la présence de bérets rouges et la manière dont le département de la Défense et des Anciens Combattants mène cette affaire, n’est autre qu’un règlement de comptes du RCP appuyé par leurs alliés politiques du FDR. « Si cela se confirmait, les choses risquent de prendre une autre tournure » a averti un haut gradé. Pour notre interlocuteur : « C’est la première fois dans l’armée qu’un Officier supérieur soit humilié de la sorte. Ce n’est pas normal que le Général Sanogo soit traité de la sorte. Ceci est un affront pour notre armée », a laissé entendre l’Officier.

 

 

En guise de rappel, c’est la première fois qu’un béret rouge soit nommé Chef d’Etat Major des Armées du Mali. Comme d’habitude précisent nos sources, c’est toujours un béret vert ou bleu. « Allez savoir pourquoi ?, s’interroge un soldat furieux.

 

 

Présence du Colonel Abidine Guindo

Lors de l’arrestation du Général Sanogo, la surprise est la présence parmi les forces spéciales de la SE, de bérets rouges et de leur chef, Colonel Abidine Guindo. « Une façon de se moquer de moi » a laissé entendre le Général Sanogo sur les antennes de la radio « Niètaa », dans la soirée de samedi dernier. « J’ai été invité à prendre place dans le coffre de la V8 et non dans mon véhicule», a expliqué l’ex homme fort de Kati.

 

 

Des questions sans réponse

De nombreuses questions demeurent sans réponse. Et pour cause, à qui profite l’arrestation du Général Sanogo qui ressemble fort bien à une tentative de déstabilisation du régime d’IBK?

 

 

Pour quoi le Colonel Abidine Guindo n’est pas aussi arrêté puisqu’il a aussi tenté un contre coup le 30 avril 2012, une action qui est condamnée par notre Constitution?

 

 

Quand est-il des morts civiles et militaires occasionnés par les bérets rouges lors de leur opération du 30 avril 2012 au sein des bérets verts à Kati, bérets bleus à Sénou, au GMS, à l’ORTM et à l’aéroport de Bamako-Sénou ?

 

 

Pour quoi ne parle-t-on par de cela lors que l’on sait que ce sont eux qui ont attaqué les positions des forces armées et de défense du Mali dans la capitale avec son corolaire de victimes et de dégâts?

 

 

Cette unité créée par le Général Moussa Traoré, vaut-elle mieux que les autres corps de l’armée ? Que vaut-elle réellement dans les missions de la grande muette ?

 

 

Quand est-il des bourreaux de nos militaires à Aguel’Hoc, Abeïbara, Ménaka ou Kidal ?

Enfin, pour quoi arrêter le Général Sanogo maintenant, pour quoi pas attendre après le second tour des législatives ? Le Président IBK était-il bien informé sur ce dossier sulfureux ? Wait and see !

 

 

Une trahison d’IBK ?

De l’avis général, cette arrestation qui est de nos jours interprétée par les citoyens, comme une « trahison » du locataire de Koulouba vis-à-vis de celui qui, avec son équipe, l’a aidé lors de la présidentielle dernière, à devenir Président de la République. En tout cas, l’indignation a pris la place à la retenue.

« Si le régime ne prend pas garde, l’arrestation du Général Sanogo risque de bien jouer sur le parti RPM qui est en ballotage lors du second tour des législatives et même sur sa crédibilité», remarque-t-on ça et là.

 

 

Aya, une victime…

L’arrestation du Général Sanogo, a été comme une onde de choc puisqu’elle a surpris le citoyen lambda qui crie au complot et martèle à la victimisation de celui qui est considéré comme un sauveur au même titre qu’IBK l’a été sous les règnes d’AOK et d’ATT.

 

 

En tout cas, l’arrestation de Sanogo, a crée une vague de soutien que le pouvoir tente d’étouffer, comme le dimanche dernier à Bamako, Kati et lundi dernier. « Il faut craindre que les autres corps de l’armée ne se joigne au mouvement du fait de la façon jugée incorrecte de l’arrestation du jeune Général Sanogo, qui ne devait pas accepter ce grade, cet autre cadeau empoisonné de Dioncounda Traoré », a lancé un ancien combattant.

 

 

Le Général et la troupe

L’arrestation du Général Sanogo mercredi dernier, n’a pas suscité jusqu’au moment où nous bouclons cette édition, au sein de la grande muette, un élan de solidarité réelle du fait des erreurs et fautes qu’il a commises. Quand même, ça chuchote. La dernière faute grave qu’il a commise qui est interprétée par les observateurs avisés et ses adversaires, comme la goutte d‘eau qui a débordé le vase, est la gestion de la mutinerie du 30 septembre dernier qui a vu des militaires exécutés, d’autres disparus. Mieux, beaucoup d’éléments ont pris leur distance avec le Général Sanogo et son équipe le fait qu’ils n’ont pas voulu respecter les engagements tenus au matin du 22 mars 2012 et pire, l’homme et ses camarades ont dévié ; ce qui a plongé le Mali dans la situation actuelle. Aussi, les rapports avec le régime de transition, avec le Premier Ministre Dr Cheick Modibo Diarra, tout comme Diango Cissoko, n’étaient pas des plus normaux.

 

 

Sanogo ne pouvait pas voir ce coup venir…

« Ce qui vient d’arriver au Général Sanogo, était prévisible car, l’homme ne pouvait pas voir le coup venir puisque très mal entouré et avait pris goût à l’argent, au matériel et au pouvoir. Sinon, la nomination de Soumeylou Boubèye Maïga à la Défense et aux Anciens Combattants, devait sonner l’alerte. Sachez qu’un Chef est prévisible. Il ne se laisse pas surprendre de la sorte. Mieux, sachant que son pouvoir était agonisant, pourquoi n’a-t-il pas écouté ses frères d’armes que d’agir comme il lui est reproché des disparitions, des exécutions sommaires à partir du 30 septembre 2013 ? En réalité, Sanogo a saboté notre révolution et se prenait pour un intouchable oubliant du coup comment il a été fait chef du CNRDRE ? Que d’espoirs et attentes ont été brisés en un temps record», remarque un Sous Officier qui a requit l’anonymat.

 

 

Cette autre haut gradé n’arrive pas à digérer selon elle : « la déviation faite du putsch mais n’apprécie pas du tout, la manière dont leur chef a été interpelé».

 

 

Arrestation de Sanogo, un pied de nez au peuple…

Qu’à cela ne tienne, pour nombre de citoyens, son arrestation est un pied de nez au peuple qui a vu en son coup d’état, un soulagement qui a évité au Mali, la guerre civile. Donc le héros du 22 mars 2012, devient l’homme à abattre du FDR et autres nostalgiques des régimes AOK et ATT. Mais le moment choisi, fait de lui une victime que les citoyens tentent de défendre par des marches, des points de presse malgré les menaces et arrestations.

 

 

Une façon de nous divertir

« Il reste à savoir si la solidarité réclamée par Sanogo à travers son appel sur la radio « Niètaa » samedi dernier et qui est relayé en boucle par les réseaux sociaux, sera entendu, car il s‘agit de sauver le Mali qui est en passe de devenir une énième province française », indique un fin connaisseur du dossier Mali. « Et c’est là où le cas Sanogo, est une goutte d‘eau dans l’océan », nous confie un leader de la société civile. « Cette affaire est une façon de divertir le peuple malien au moment où le MNLA déclare la guerre à notre armée au nord au nez et à la barbe de SERVAL et de la MINUSMA», explique un ressortissant du septentrion.

 

 

Chasse aux sorcières

« C’est une chasse aux sorcières qui vient d’être engagée », martèle un proche du Général Sanogo. « Ceci ne nous ébranlera pas », a-t-il poursuivi. « Le vrai combat, c’est sauver le Mali, le débarrasser des prédateurs et de leurs mentors », a conclu notre interlocuteur. « La grosse bourde du département de la Défense, demeure la présence des bérets rouges sur les lieux de l’arrestation du Général Sanogo. Ceux-ci ne sont qu’une unité dans l’armée mais que nos politiques veulent faire planer au-dessus des autres corps. En guise de rappel, ces bérets rouges viennent des bérets verts et ne sauraient être incontournable», explique un spécialiste. En tout cas, la réconciliation prônée par les nouvelles autorités, risque de prendre du plomb dans l’aile, si les bérets rouges (une unité) sont choyés au détriment des autres corps de l’armée. « C’est une faute à ne pas commettre », poursuit notre spécialiste de l’armée.

 

 

Elan de solidarité !!!

Comme on le voit, à l’allure où évolue l’affaire Sanogo, il devient de plus en plus, une victime aux yeux des maliens. Un fait que les maliens condamnent et sont solidaires comme ce fut le cas d’IBK. Il faut craindre dans les jours à venir que l’élan de solidarité en faveur du Général Sanogo, ne prenne de l’ampleur comme Paul Kagamé (Rwanda) ou Jerry John Rawlings du Ghana où le peuple a manifesté sa colère.

 

 

Pour le moment, les pouvoirs tentent de contenir les marches et autres protestations. Pour combien de temps cela va durer car, les rancœurs se ravivent de jour en jour déjà depuis la prise de fonction d’IBK où les citoyens attendent des décisions concrètes qui tardent.

Wait and see !

Bokari Dicko

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35 COMMENTAIRES

  1. HARI SINI LA JUSTICE FERA SON BOULOT EN ARRETANT DES SALES PUSCHISTES.IL FAUT UNE APPLICATION STRICTE DE LA LOI,SINON,NOUS RESSEMBLERONS AUX OCCUPANTS DE LA PLAINE DU SERENGETI.

  2. qui a commandité le contre coup d’Etat? il ne faut pas seulement voir du côté des bérêts verts, il faut répondre à cette question, en espérant que les vieux loups qui ont été détrônnés après 20 ans de mauvaise gestion et nostalgiques ne veuillent régler leur cpte au jeune capitaine. que Dieu sauve le Mali

  3. un véritable chiffon, que ce ramassis de conneries. c’est tout à l’image de son auteur, sans doute !

  4. Je voudrais présenter mes condoléances attristées aux familles des disparus et souhaite meilleure santé aux blessés de ces événements dramatiques.

    C’est triste ce qui arrive au Mali.

    Seule la vraie justice, la justice indépendante et impartiale, peut sauver réellement le Mali. Nous ne voulons pas d’une justice des plus forts.

    La justice doit aller jusqu’au bout et faire toute la lumière sur ces événements tristes et malheureux.
    Il se dit que certaines personnalités maliennes ont poussé les bérets rouges à entreprendre un contre coup d’état.
    Les Maliens ont besoin de savoir ce qui s’est passé.

    La justice doit être au service du droit et du Mali. Elle doit aller au bout de la logique et éclairer définitivement les Maliens sur ces événements douloureux.

    Agir autrement reviendra simplement à semer les graines des troubles à venir. Les Mliens ne veulent pas d’une justice des revanchards.

    • Bérets verts a tué bérets rouges
      Bérets rouges a tué bérets verts
      MNLA a tué Aguelhok

      Bérets rouges et MNLA sont libérés
      Bérets verts détenus et séquestres
      Des rebelles élus députés RPM

      Cela n’est pas étonnant pour qui connait bien la justice malienne, le seul ennemi du Mali. Faites votre temps à caresser vos orgeuils, la vérité vous rattrapera inch allah très bientôt! A bon entendeur salut!

  5. Bjr!! Moi franchement je comprend plus rien sur ce site car ca fait tro longtps ke jy vais sr ce site pr prendre les nouvelles du mali mais malheureusement ca va de pire en pire avec des soit disant journalistes qui mettent en ligne des articles sans queue ni tete.WALLAY CA FAIT HONTE A TOUTE UNE NATION DES ARTICLE COMME CA ET PUIS LE MONSIEUR IL VA DE QOC A L ANE.DSL HEIN MAIS TU MERITE PA DE POSTER SR LE SITE DU MALI.MERCI ET RETOURNER A L ECOLE ET VERIFIE BIEN LES INFOS. AVANT DE RACONTER DU M IMPORTE KOI SR LE WEB SR LE MALI.MERCI

  6. bokary dicko, un grand journaliste comme n a pas compris à qui profite l’arrestation de ce clown ? alors ouvre bien les zoreilles filakè: au Maliiiii et peeeeeeupleeeee Malien.
    je n aime pas le terme berets rouges ou bleus car il y a une seule armée malienne donc je vais pas l’utiliser alors parlerai de militaires maliens
    les militaires maliens qui ont attaqués le clown de Kati et ont perdu la vie ou ceux qui ont été assassinés froidement après d’atroces tortures sont morts pour le Mali, pour la Démocratie au Mali et la constitution Malienne.ils seront honorés et celebrés pour l’honneur du Mali et aussi pour que les larmes de leurs enfants et leurs femmes s’assèchent enfin.

  7. Comme l’AMA ( Armée Malienne ) qui a disparu et a été remplacée les FAMA (Forces Armées du Mali ), si les bérets verts-rouges-noires-bleues pouvaient disparaitre à leur tour et etre remplacés par des bérets JAUNES ; ce sera une bonne chose. Il faut refonder l’armée et la reconstruire, tout pardonner et se réconccilier,sinon il y aura toujours des frutrés et des vengeances. IL EST TEMPS CAR LE MALI EST ENTRAIN DE PASSER SOUS TUTELLE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE AVEC UNE INEXISTANTE SUR LE TERRAIN. DITES MOI , à quand la fin de la MINUSMA et de SERVAL ?

  8. Qui à dis que jakuman n’est pas warra abe kininke wa abe wasilike. Les foux de pouvoir,feront tout possible de garanti leurs sécurité FDR quand ils finirons avec ceux qu’ils ont peurs IBK fera plus de l’arme que celle devant dépouille de Ghislain et verlon.FDR est composé des profs et DR.face à celui de diplôme douté,Allah kan anta ke ala hère yé.je craint et au même moment j’ai l’espoir,

  9. “Pour quoi le Colonel Abidine Guindo n’est pas aussi arrêté puisqu’il a aussi tenté un contre coup le 30 avril 2012, une action qui est condamnée par notre Constitution?” : J’ai arrêté de lire cet article après cette phrase. Car ce journaleux dans sa débilité ne se rend même pas compte de la sotise qu’il a écrit. A moins qu’il n’ait une constitution bien particulière qui a prévu de punir un contre coup d’état.

  10. Que la justice fasse son travail, qu’on examine les charges contre le pseudo-général, qu’on le mette à le retraite anticipée et qu’il aille cultiver son champ et nous fiche la paix. Cet individu est une honte pour le pays !

  11. Mon cher ‘a fô jègè bèè ji la’ rien que des histoires, le poste de chef d’EM n’a jamais été occupé par un béret rouge, un officier dit que si ces rumeurs se confirmaient, toi et ton supposé officier allez voir les djihadistes, pour nous, le Mali avant tout, sauf preuve de contraire, les maliens se valent. Pitié pour le journalisme au Mali 👿

    • Ta cause ne sera jamais entendue car tu contribue à faire l’écho de l’appel au soulèvement. Cet appel à la solidarité n’est autre que l’appel à créer les conditions d’une déstabilisation. Cela ne passera pas car les Maliens en ont assez des traitres comme toi. La justice doit s’auto saisir face à des individus comme toi. SANOGO ou pas, le Mali vivra.

  12. un petit journaliste qui ne voit pas plus que le bout de son nez si l’attaque des berets rouges contre sanogo est contre la constitution est ce que le coup d’état que sanogo a fait n’est pas contre la constitution?
    va apprendre encore à analyser petit journaliste qui ne grandi pas

  13. Mr. Bokari Dicko, tu es entrain de delirer; va prendre quelques comprimes d’aspirine, ou boit un peu de “N’golobe dji”. Le ” contre coup” n’etait pas un coup d’Etat,mais une tentative de retablissement de la legalite.
    Sanogo n’etait pas le Chef de l’Etat, mais le chef d’un groupe au mieux, une bande de malfrats malfammes au pire.

    • Ceux qui avaient été “démocratiquement élus” ont dirigé le pays comme des malfras, des bandits, préoccupés par leur bien-être personnel. Pourquoi le Mali est à la traine derrière tous pays en matière de l’enseignement supérieur, de la préparation militaire. Vous prenez n’importe quel domaine, vous trouverez le Mali derrière. Le problème n’est pas Sanogo mais notre facon de gouverner. Et ceux qui plongé le Mali dans cette situation sont ceux la qui en veulent à Sanogo. Un coup d’état n’est jamais souhaitable mais notre gouvernance est si mauvaise qu’il n’existe aucune différence entre un régime de coup d’état et ces régimes soi-disant democratiquement élus.

      • elle était si mauvaise qu’on ne pouvait pas attendre 4 semaines ?
        l’une des principales sinon la plus grande est l’alternance c a d que vous soyez le plus bon et le plus compétent, a terme échu vous partez. que vous soyez le plus mauvais à terme échu vous partez.
        les Sénégalais n avait d’électricité, ni d’eau et le président sortant tripatouillait la constitution pour mettre son fils, ils n’ont pas fait de coup d’état ?
        Maliens, particulièrement les Militaires maliens respectez surtout protégez toujours les institutions de la République et la plus importantes est le président de la République.
        le temps des coups d’états est révolus. on y gagne rien. les plus grands perdants ce sont le Mali et les Maliens.
        les bavards,les apprentis sorciers soyez exigeants, critiques mais n’appelez jamais à la violence encore moins au pustch

  14. Dicko, tu es une HONTE pour le Mali tout entier. Tu es vraiment indigne, et je ne crois pas que tu sois vraiment le fils de ton père!
    On prie tous les jours que DIEU (loué soit-IL) anéantisse tous les ennemis du Mali sans exception. Toute personne qui s’évertue à semer le trouble, puisse ALLAH la réduire à néant.

  15. On voie qu’il y a encore du chemin pour la presse au mali. Même si on est pas digne on doit reconnaître que sanogo n’a aucun soutient sérieux dans ce monde. Honte à toi monsieur le journaleux , tu ne pourra jamais déstabiliser le régime d’IBK n’en parlons le mali.Continue tes anneries ton tour viendra pour rejoindre sanogo et a
    tres dans l’obscurité

    • quand un article va dans votre sens, cava, mais si c’est le contraire on crit sur les toits!!!!
      les questions posées par ce journaliste ont le mérite d’être poser.

      • je t’en pris dit moi laquelle des questions merite d’être posée je vais te repondre tout de suite.
        tout ce qui est contre la constitution sanogo a fait tout ça

        • Quand est-il des morts civiles et militaires occasionnés par les bérets rouges lors de leur opération du 30 avril 2012 au sein des bérets verts à Kati, bérets bleus à Sénou, au GMS, à l’ORTM et à l’aéroport de Bamako-Sénou ?

          Pour quoi ne parle-t-on par de cela lors que l’on sait que ce sont eux qui ont attaqué les positions des forces armées et de défense du Mali dans la capitale avec son corolaire de victimes et de dégâts?

          Quand est-il des bourreaux de nos militaires à Aguel’Hoc, Abeïbara, Ménaka ou Kidal ?
          Enfin, pour quoi arrêter le Général Sanogo maintenant, pour quoi pas attendre après le second tour des législatives ? Le Président IBK était-il bien informé sur ce dossier sulfureux ?

  16. ZOZANI MERCI POUR LUI METTRE A SA PLACE CET IDIOT ÉCRIVAIN PUBLIC SOIT DISANT JOURNALISTE
    VOILA UN ÉCRIVAIN PUBLIC QUI NE SAIT PAS FAIRE LA DISTINCTION ENTRE LA FOULE ET LE PEUPLE. TU FAIS UNE COMPARAISON ENTRE SANOGO ET PAUL KAGAME ET JERRY JOHN RAMLINGS QUI ETAIT DES REFERENCE POUR LES PAYS.ENSUITE
    ABDINE N’EST MÊME PAS AU MALI ENCOR MOINS A BKO IL EST AU MAROC
    .POURQUOI IL NE DIT PAS QUE C’EST LA PREMIÈRE FOIS AUSSI QU’UN TÉMÉRAIRE CAPITAN SOIT BOMBARDE GÉNÉRAL QUATRE ÉTOILE N’IMPORTE QUOI

  17. « C’est la première fois dans l’armée qu’un Officier supérieur soit humilié de la sorte.

    Ah bon ? Bande descrot et lorsque Sanogo humuliait des grades de l’armee ou etait enfoi votretete bande de macaque

  18. NFP, belle analyse!
    Ce pseudo journaliste pro-sanogo n’est pas partial.
    Mr Bokari Dicko où étiez-vous ces derniers mois?
    “Pour quoi le Colonel Abidine Guindo n’est pas aussi arrêté puisqu’il a aussi tenté un contre coup le 30 avril 2012, une action qui est condamnée par notre Constitution?”

    le Colonel Abidine Guindo a été arrêté puis libéré et comme l’a dit NFP : les coups d’états sont condamnés par notre Constitution.

    de plus, c’est le coup d’état le plus stupide de l’histoire des coups d’état!

  19. Quèl journaliste ! Nulle part la constitution malienne ne condamne le contre-coup d’etat c’est le coup d’etat meme qui est conçue comme un crime imprescriptible contre le peuple malien . Par contre le contre coup d’etat est legitime du fait qu’il suppose le retour à l’ordre constitutionnel bafoué par le coup d’etat !
    SANONOGO doit repondre c’est DIEU qui a decidé ainsi et nul ne peut contre ça !

  20. Ca faisait longtemps que ce cireur de rangers des putcshiste de Bokari Dicko n’avait pas montré le bout de sa plume (et ça ne manquait à personne!)

    “puisqu’il a aussi tenté un contre coup le 30 avril 2012, une action qui est condamnée par notre Constitution?”
    Crétin! C’est le COUP D’ETAT qui est un crime imprescriptible! Le contre-coup vise à rétablir un régime LEGITIME!

    “En guise de rappel, c’est la première fois qu’un béret rouge soit nommé Chef d’Etat Major des Armées du Mali”
    Et en guise de rappel également, c’est la TOUTE PREMIERE FOIS où que ce soit dans le monde qu’un petit capitaine de niveau def, drogué,alcoolique, assassin, tortionnaire, fuyard devant l’ennemi et pilleur de fonds publics, est bombardé GENERAL 4 ETOILES et chef suprême des armées! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    • Cet alimentaire de journaliste a pris de l’argent avec les intellectuels sans vergongne, partisans de Amadou Haya SANOGO pour se permettre de publier ce qu’ils ont écrit. Tu sais toi même que honnetement tu ne paus pas écrire, tu ne comprends même pas certains termes qui sont dits. Ne fais pas la honte des DICKO je t’en prie. Espèce de vaurien, tu peux écrire ce article? Tu penses qu’on ne connait pas ton niveau? C’est à cause de ce niveau que tu acceptes ce sale besogne pour 10 000 ou 20 000 FCFA. C’est vraiment malheureux.

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