Il ne s’agit pas ici de défendre le général Sanogo ou de lui trouver des excuses pour les crimes qu’il aurait commis, car il mérite bien d’être poursuivi, jugé et puni éventuellement.
Mais quel Sanogo fallait-il arrêter ? le puissant de Kati protégé par des blindés, par l’artillerie et par de très nombreux fantassins, ou le général affaibli, par les évènements du 30 septembre 2013, obligé de déménager dans une villa de la base aérienne de Bamako, sans aucun engin militaire et sans troupe.
Car depuis, il vivait comme un reclus protégé seulement par une dizaine d’hommes officiellement affectés à sa sécurité et dotés uniquement d’armes individuelles.
Sanogo, qui «implorait» la protection d’IBK se sentait-il capable de livrer une bataille quelconque ? Bien sûr que non.
Dans ces conditions, pourquoi fallait-il déployer pour son arrestation tant de véhicules, d’hommes puissamment armés, les forces spéciales et ensuite, comme pour ameuter toute la ville, boucler les accès de l’hôtel Salam, du Centre international de conférence de Bamako (CICB), etc.
La démesure et la publicité ont, de façon évidente, caractérisé l’arrestation du général Sanogo.
Le mobile ne peut-être qu’inavoué, car tout ce bruit n’était ni professionnel, ni obligatoire. Au demeurant, il faut savoir que le ministère de la Défense et des Anciens combattants n’a pas vocation à exécuter des mandats de justice. Cette mission revient à la police judiciaire, en l’occurrence la gendarmerie nationale. Cette force armée, auxiliaire de justice relevant de la sécurité intérieure pour emploi, aurait avec professionnalisme et discrétion procédé à l’arrestation de Sanogo, comme le veut la procédure pénale.
Nous serions loin du scénario, qui nous a été offert et qui rappelle les «films western». Même après l’arrestation du général Sanogo, le spectacle n’a pas cessé pour autant, car l’on a vu, par la suite, le ministre de la Défense triomphé à la télévision nationale, avec des propos : «… Si c’était à refaire, nous recommencerons…».
N’abusons pas de l’Etat à des fins personnelles, car si seulement l’humanité pouvait s’inspirer des faits de tous les jours, les hommes se seraient passés des fanfaronnades.
Dans une brillante plaidoirie, Me Demba Diallo, répondant aux satyres du ministère public, rappelait à ce dernier, qu’il était trop facile d’accabler des hommes qui se trouvent déjà par terre ; avant d’ajouter que : «… Les vainqueurs d’aujourd’hui peuvent être les vaincus de demain et les vaincus d’aujourd’hui les vainqueurs de demain… ».
C’était en 1978, lors du procès des Kissina Doukara, Tiécoro Bagayoko et autres ; donc très loin de cet autre procès d’un jour de 1992 où Moussa Traoré, descendu de son piédestal, devait comparaître à son tour devant la justice malienne.
«Donc, sachons raison garder» comme le dit si bien le président IBK.
Brin COULIBALY
Rockstar Games released patch notes for GTA 5 patch 1. It’s a bit touchy with
the helicopter, but feels more intuitive in
the boats and on bikes. , players have discovered infinite money glitches and other exploits.
Beaucoup n’ont pas compris que c’est ibk qui a orchestré l’arrestation de sagono en le délogeant de kati pour faciliter tout cela. Boubeye que l’exécuteur du programme ibk.
Wahou!IBK n’est pas tout à fait naïf.
Il doit savoir autant que beaucoup d’autre maliens que Boubey Maïga est dangereux et traitre.
A cet effet,je pense que c’est pour mieux le surveiller. Sinon nous le ferons à sa place.
Personne n’a compris la nomination de cet individu à la défense.
Ibk et boubeye sont tous deux tratres
IBK, Boubeye a semé la fin de ton pouvoir.
Comment un homme qui réfléchit peut choisir un Boubeye comme Ministre Défense; vu qu’il a creusé la tombe de alpha, puis de ATT. Boubeye te fera un coup. Si tu es ingrat vis-àvis de ceux qui t’on mené au pouvoir, Dieu te rendra la monnaie.
tu parles de gendarmes? tous corrompus et implique’s ,Diamou keita,et autres
tu voulais que sanogo s’evade?
Brin…
Je m’excuse mais je te fais du copier-coller… puisque je viens juste de repondre a ton tres CON FRERE Yacou… voila…
Yacou…
Le Dr. Moussa Ag… te prescrit le meme medicament pour con… qu’il a prescrit a ses cons d’amis … CAPI de MW… Sampbu… Massare… et autre… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Ca semble etre efficace … et avec un risque tres minimes d’overdose… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Voila…
Chaque fois que tu es tente d’ecrire des conneries… dis toi a 3 reprises…
“CA VA ALLER … CA VA ALLER … CA VA ALLER…” 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Bien que tu peux le dire a voix basse… pour ne pas passer pour un plus gros con… il m’est revenu de certains patients … que c’est beaucoup plus efficace… si dit a tres haute voix….
PAUVRE CON…!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
APRES TOUTES CES HISTOIRES… JE PENSAIS QUE TU ALLAIS FINIR EN NOUS PROUVANT… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 :l
Il n’y a pas de doute que le charnier est une réalité. Raison pour laquelle après avril 2012 les journalistes qui ont parlé de son existence avaient été arrêtés, torturés ou menacés de mort. Exemples Birama Fall, Chahana Takiou, Saouti Haïdara etc. Après le 30 avril Cheick Modibo Diarra à l’époque Premier Ministre avait dit sur l’ORTM ceci: “An sera djougoula” qui signifie (on a vaincu les ennemis).Lors de sa déclaration dans l’après – midi, il était dans un grand boubou comme ceux portés par son beau père et criminel,l’ex – président Moussa Traoré.Alors, dans l’affaire des disparus Cheick Modibo Diarra doit être interpellé par la justice malienne ou à défaut internationale, si on veut voir clair dans cette histoire.
Dans le sud de la France où je suis actuellement, les Français ont un proverbe qui dit « Quand on a commencé à étrangler le chat, IL FAUT LE FINIR! »
En « remerciant » ouvertement et copieusement les putschistes dès son accession au pouvoir (grades de généraux, postes de ministres, etc…) IBK à d’une part commis une énorme « faute de goût » politique, mais il a également démontré un manque total d’analyse et d’anticipation !
En persistant (malgré la grogne grandissante) en entourer ouvertement Sanogo de ses bons soins (lui laissant son grade débile de 4 étoiles et pire son statut de chef suprême des armées, mettant à sa disposition les bureaux ex-att, lui laissant une garde rapprochée prétorienne, ETC .), et en continuant à fermer les yeux sur ce que TOUT LE MONDE SAVAIT, sa « faute de goût » s’est carrément muée en jeu TRES DANGEUREUX tant pour sa crédibilité personnelle à l’international que pour la crédibilité du Mali TOUT COURT !
Heureusement, quand la CPI s’est rendue physiquement chez nous et a évoquée publiquement le cas de Kati, immédiatement relayée par HRW, il a (enfin !) compris qu’il était grand temps de « se faire honnête » avant de devenir lui-même DEFINITIVEMENT président-complice pour le reste du monde ! Ouf, il était moins une !…
Et contraint et forcé, il a bien été obligé de COMMENCER à étrangler publiquement le chat qu’il câlinait jusqu’ici ! Arrestation, interrogatoire, inculpation… Mise au jour du charnier (sur lequel il n’avait JAMAIS réclamé d’enquête), etc…
Jusqu’ici, « tout » semble continuer normalement puisque de Simeon à Dahirou, les têtes continuent de tomber (merci encore CPI/HRW/Amnesty !). Maintenant, reste juste à savoir si IBK continuera « à étrangler le chat » en faisant tomber les Yamoussa et autres, tous OBLIGATOIREMENT complices de ces horreurs, mais qu’il a lui-même décoré et nommés à de hautes fonctions.
Fort possible mais… attendons quand même de voir…
Mais monsieur le journaliste vous voulez que le gouvernement d’IBK laisse SANOGO et ses criminels au détriment de la justice, pour ne pas se voir Eux aussi devant la justice demain pour les mêmes faits reprochés à SANOGO aujourd’hui.C’est de l’injustice et plus grave ce sera de la complicité d’IBK de laisser passer ces crimes que la junte a commis.
Monsieur le journaliste Brin Coulibaly, vous n’avez pas compris une chose. Il ne s’agissait pas d’arrêter un petit voleur de Jakarta, auquel cas 3 policiers auraient suffi. Il s’agissait d’arrêter le chef d’une mutinerie militaire qui était allé ensuite renverser le chef de l’État. Il fallait donc montrer que la République Malienne avait retrouvé toutes ses forces de l’ordre derrière elle, afin de dissuader toute tentative de pro putschistes. Il s’agissait de montrer la force pour ne pas s’en servir.
L’arrestation de Sanogo puis de ses complices s’est passée sans morts ni blessés. La justice travaille. Bravo surtout au juge Karembé dont le nom mérite de rester dans l’histoire du Mali.
Ibk la bien fait pêne demort pour Mr sanogo assassin qui dépouille tous le cesse d e l’ETA malienn
Les maliens sont toujours dupes et se laissent toujours impresionnés par les fanforondes d’IBK et de Boubeye. Un jour ils tomberont aussi. Pourquoi tout ce cirque de sécurité déployé pour arrâter SANOGO et pleurer devant Hollande pour libérer Kidal. C’est lâche de la part d’un Président de poigne
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