Le débat sur l’intégration des Anciens combattants a fait l’objet d’échanges pour dégager des critères élaborés par des acteurs spécialisés.
La Commission d’intégration, avec, à sa tête, le Général de Division, Gabriel Poudiougou, est à pied d’œuvre pour une inclusion possible de toutes les couches sociales concernées par le processus de paix et de réconciliation nationale afin de faire asseoir définitivement un climat stabilité intégrale au Mali. Cela, en mobilisant tous les acteurs.
A la faveur d’un atelier de renforcement des capacités des acteurs de la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale issu du processus d’Alger, le Président de la Commission d’intégration, le Général de Division Gabriel Poudiougou, a rappelé les principes d’intégration des Anciens combattants qui souhaitent se mettre à nouveau au service de l’armée ou dans d’autres domaines.
Il soutient que cette intégration ne sera une réalité que par une implication effective de tous les acteurs dans le processus. Un sentiment d’ouverture que le Chef de l’Etat Ibrahim Boubacar Kéïta a toujours instruit au Gouvernement et à tous les partenaires impliqués de part et d’autre aux pourparlers.
Le Général Poudiougou disait en parlant d’intégration : «Ils doivent être obligatoirement cantonnés, désarmés et démobilisés pour que nous puissions prendre en compte leur situation. Tout ce qui souhaite faire carrière dans la fonction publique doivent être détenteurs d’un Diplôme qui leur permettra d’exercer un métier ou une fonction».
La Rédaction
Le problème de la réconciliation le cas n’est pas au Mali le Mali est attaquée sur son propre sol par des groupes armées de sttoute sorte de genre le gouvernement doit réagir de force pour libérer notre territoire
Pour la fonction publique ,nous les sudistes on est là. Ça passe ou ça casse.Les Tamacheks nous emmerdent.Qu’on leur donne leur indépendance
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