Amélioration des Conditions de vie et de travail des forces armées : Le capitaine Sanogo s’engage

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Le chef de l’ex-junte malienne, le capitaine Amadou Haya Sanogo

La population de la localité de Kati est sortie massivement pour être témoin oculaire d’un acte patriotique. Il vient de marquer un point indélébile dans le cœur et l’esprit des maliens singulièrement les forces armées et de sécurité pour l’amélioration de leur cadre de vie et de travail. Le désormais président du Comité de Suivi des Réformes des Forces Armées et de Sécurité « CSRFAS », le capitaine Amadou Haya Sanogo a procédé à l’inauguration des infrastructures socio-éducatives dont la valeur est estimée à plusieurs millions de nos francs.
Après une consultation récente sur le moral des troupes dans les garnisons de Bamako, le Capitaine Sanogo a en présence des autorités politiques administratives et religieuses de la localité de Kati, procéder à la mise à la disposition des militaires et leurs proches des infrastructures flambant neuves ou réaménagées. Ayant affiché sa détermination quant à la défense contre vents et marées de la cause des forces armées et de sécurité, ces actions ne surprennent guère les observateurs. Occupant de nos jours une place incontournable dans le haut commandement militaire du pays, le capitaine Sanogo ne ménagera aucun effort en faveur de l’armée malienne. Ses infrastructures dont il est question, selon les dirigeants du « CSRFAS » vont de la réalisation d’un mûr de clôture long de 380m contre une hauteur de 2,5m, 5 dortoirs pour célibataire et trois autres bâtiments du même type transformés en centre d’instruction avec deux salles de classe et des bureaux pour un coût financier de 12.670.380 FCFA. C’est ainsi que le CRIP, unique infrastructure sportive de la place d’Armes de Kati, datant de l’époque coloniale était quasiment impossible à entretenir car abandonnée au bon soin des enfants, est aujourd’hui entièrement clôturée d’un mûr long de 700m pour une hauteur de 2,5m avec un système d’éclairage de 30 lampes projecteurs pour un coût financier de 60.000.000 de nos francs.
Par ailleurs, cet évènement a servi pour le Capitaine Sanogo et ses compagnons d’armes de rendre un vibrant hommage aux illustres soldats tout en les immortalisant, il s’agit du colonel Kélétigui Drabo, du Caporal Ambiance Dembélé, et surtout Fabou Lamine Doumbia qui a fait le sacrifice ultime pour sauver la vie de ses compagnons d’armes.  Le groupe scolaire du camp Soundiata Keita porte désormais le nom du Capitaine Amadou Haya Sanogo promu au grade de commandant par les autorités de la transition le 22 septembre dernier.

Mah Traoré

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6 COMMENTAIRES

  1. La moitié du pays aux mains de l’ennemi, et l’autre méga-connard qui construit une clôture!!! 😀 😀 😀 😀

    Ca s’est un meneur d’hommes, un baroudeur, un homme d’action!!! Et comme on peut voir, avec en plus un VRAI sens des priorités

    Vous verrez que quand que les djihadistes débouleront dans Bamako, ce macaque s’occupera plutôt de faire construire une pissotière publique ou un hangar à vélo pour la commune de kati! 😀 😀 😀 😀 pendant que les populations lutteront à sa place contre les barbus!

    Chaque armée a ses Grands Hommes, la notre a surtout ses Grands Cons!

  2. Ca alors! J’ai l’impression qu’on ne reflechit pas dans ce trou. Mais ca ne m’etonne pas de la part de fyards qui ont commi l’infami, fait un putsh pendant une crise et une guerre et favorise la partition du pays.
    Ne vois-t-on pas au Mali qu’on a pas besoin de Camps militaires dans les villes? Au lieu de construire ou de renforcer Kati, Banmako et koulikoro, tous les camps militaires doivent etre transferwe dans le Nord. A commencer par la Compagnie Para, (nos forces d’elites que chaque pays du monde possede et dont chaque armee du monde) qui serait plus efficace si leur camp se trouvait a Tessalit et dont le formation incluait la technique de survie dans le desert pendant une semaine.
    Les blindes et artillerie de Kati, Koulikoro de Kati et autres regions ou elles se trouvent, doivent etre transfere a Gao. Un Bataillon de ce meme corps doit etre dans les allentours (10 kilometre) de chaque ville du Nord. L’armee de l’Air (dont il faudrait desormais inclure une escdrille d’Helico) doit avoir une base a Tessalit, Kidal et Taoudenit dans les meme parages qu’une compagnie de parachutistes.
    Le Genie militaire doit etre mis a contribution pour developper les infrastructures routieres de Gao a Kidal Tessalit Tombouctou ect…
    ATT a transforme les “bougoussoni” des differents camps, amene l’indice salariale du militiare au meme niveau que les civil, mais cela n’a pas suffit. C’est pas en construisant des clotures que tu va aider les militaires. Et les vrais militaires ne seront jamais forme dans les rues de Kari ou Bamako.
    QUE CEUX QUI ONT DES OREILLES ECOUTENT ET QUE CEUX QUI ONT DE YEUX REGARDENT

  3. cette grande gueule refuse de monter au front et se livre à la politique spectacle pendant que votre pays est occupé…..un soldat indigne!

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