L’armée malienne progresse en direction d’Aguelhok, onze ans après en avoir été chassés par des séparatistes épaulés par des islamistes qui ont massacré 153 héros.
« Le principe d’attendre une manifestation de la volonté chez l’ennemi avant de se décider est le propre de la défensive. Il est incompatible avec la seule sûreté possible dans l’offensive qui repose sur la paralysie de l’ennemi par l’attaque. On doit se contenter de rechercher où est l’ennemi pour l’attaquer ; ce qu’il veut faire importe peu puisque nous avons la prétention de lui imposer notre volonté… » a indiqué un stratège. L’armée malienne fait route à destination d’Aguelhok et la situation semble désespérée pour les terroristes, mal équipés et mal commandés, qui essuie partout des revers. Dans un ultime sursaut, ils voulaient stopper la précédente progression vers Kidal et renverser le cours de la guerre lors de cette bataille. L’armée a vraiment réalisé un sans-faute dans l’exécution de stratégie de prise de contrôle de la ville.
Un vent de panique souffle dans le camp ennemi. A en juger par la sortie malencontreuse d’Iyad Ag Ghaly, chef du JNIM qui s’en est vivement pris aux présidents de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux.
L’armée a à cœur de laver proprement l’affront du 18 janvier 2012. Ce jour-là, la petite ville d’Aguelhok est attaquée par les rebelles. L’assaut débute à 3 heures 30 du matin, les assaillants commencent par couper le réseau téléphonique, tandis qu’un groupe, dissimulé par les habitations de la ville progresse vers le camp militaire sans être vu. Ils trouvent une position favorable sur les toits d’où ils peuvent mitrailler le camp militaire. De plus, en périphérie de la ville, les enseignants et étudiants de l’Institut de formation des maîtres sont faits prisonniers, ceux-ci sont utilisés comme boucliers humains afin de se protéger d’éventuels raids aériens.
Cependant le premier jour, l’armée malienne repousse les forces indépendantistes et islamistes, elle effectue même quelques sorties avec des BRDM-2. Selon le ministère malien de la Défense, ce premier combat a fait 35 morts chez les assaillants. Les pertes de l’armée malienne sont d’un mort et 7 blessés.
Les forces d’Ansar Dine d’Iyad Ag Ghali sont amenées par le colonel déserteur Ibah ou M’Bam Ag Moussa, dit “Bamoussa” Le vendredi 20 janvier, un convoi de l’armée malienne venu prêter main forte à la garnison d’Aguel’hoc est repoussé lors de la bataille d’In Emsal. Après quelques légères escarmouches, le 24 janvier, à cinq heures du matin, les rebelles lancent un deuxième assaut. À court de munitions, les militaires maliens se rendent. Mais ils sont massacrés le même jour, certains sont tués d’une balle à la tête, d’autres sont égorgés.
La bataille d’Aguelhok a commencé le 17 janvier 2012 et pris fin le 24 janvier 2012.
Le Mali a perdu 153 héros dont le chef de la garnison, le capitaine Sékou Traoré (alias Bad).
Fanfan
sangare tu es un écervelé, tres aigri et tres inintelligent, arrêtes de régurgiter ta haine et comprends simplement que le Mali a perdu Aguelhoc, et le reste des villes au Nord sous les regimes de AOK, ATT, Dioncounda et IBK, tous n’ont rien fait pour prévenir ou lutter pour éviter cette défaite devant les terroristes en collaboration directe avec les apatrides separtistes. Heureusement que notre Nation a Assimi, Choguel, Sadio, Kone, Diaw, Wague, Diop, Maiga et le reste du gouvernement actuel des patriotes qui viennent de liberer le Mali.
Laver l’afront, c’est empêcher la réalisation des raisons pour lesquelles les SEPARA-JIHADISTES se battent.
LES COLONELS*****LA MÉMOIRE DU CAPITAINE BAD ET SES CAMARADES EN ACCEPTANT CES CRIMINELS DANS LE GOUVERNEMENT.
Celui qui était dynamique dans la presse occidentale au moment des faits est toujours dans le gouvernement.
Sa place est dans le tribunal penal international, si on veut laver l’affront.
La prise D’AGUEL’HOC ne signifie rien d’autan qu’ATT n’a jamais perdu cette ville, malgré les massacres.
CE SONT SES TOMBEURS ASSASSINS DES BERETS ROUGES QUI L’ONT PERDU.
ATT avait engagé des poursuites contre ces assassins enterrées après l’intervention française, que les ****n’ont pas trouvé nécessaire de déterrer.