Avec à leur tête le chef de corps Jean-René Couanau, du personnel du 48e RT a été projeté depuis une semaine sur le terrain des opérations au Mali.
Depuis une petite semaine, 130 personnes liées au 48e régiment de transmissions basé à Agen ont débarqué au Mali. Et à leur tête, leur chef de corps le colonel Jean-René Couanau. Au contraire de leur intervention en Afghanistan, le départ vers le Mali n’a pas fait l’objet d’annonce et ce pour des raisons évidentes de sécurité.
La France est engagée en guerre au Mali depuis le 11 janvier, au cœur de l’opération Serval, en référence à un félin africain. Elle a compté jusqu’à 4 500 soldats engagés sur place. Depuis plusieurs jours, composée de 6 300 hommes la Misma (Mission internationale de soutien au Mali) prend petit à petit le relais des forces françaises, lesquelles ont commencé leur retrait. La France a annoncé qu’un millier de ses soldats restera au Mali au-delà de 2013 dans le cadre d’un soutien des forces de l’ONU appelées à remplacer, à terme, la Misma.
Le 48e RT participera ce matin à plusieurs cérémonies du 8 Mai 1945 : à 10 heures, à Saint-Pierre-de-Gaubert ; à 10 h 15, à Agen, avec remise de médailles et défilé des troupes à pied ; à 10 h 30, à Boé ; à 10 h 40, à Foulayronnes ; à 11 heures, à Layrac ; à 11 h 15, à Castelcullier, où six réservistes de la 10e compagnie recevront la médaille de la Défense Nationale échelon bronze ; à 11 h 45 à Colayrac, en présence de la section reconstitution historique du club sportif et artistique du 48e RT avec tenues et véhicules ; à 12 heures à Moirax.
Mais pourquoi envoyer des soldats alors qu’un retrait est amorcé ? Tout simplement pour renouveler les troupes et faire reposer les femmes et hommes qui sont sur le terrain depuis plusieurs semaines, voire le début de cette lourde opération extérieure. Celle-ci a coûté la vie à six militaires français, dont un Marmandais, Cédric Charenton rattaché au régiment de parachutiste de Pamiers.
La mission principale des 130 militaires du 48e RT d’Agen est l’appui au commandement et ce, au profit du commandement interarmées. Ce qui explique, pour grande partie, la présence du colonel Couanau au milieu de ses hommes. Les interventions terrestres et aériennes se poursuivent. L’importance des transmissions n’est pas à vanter, d’où le rôle primordial des militaires agenais. Pas le temps, pour l’heure, de penser à la sortie du récent Livre Blanc qui promet quelques coupes dans plusieurs corps d’armée, restriction budgétaire oblige.
sudouest.fr/2013/05/08/
130 militaires du 48e RT envoyés en opération au Mali.
Le 48 régiment de transmission est chargé de transmettre à Paris les conneries que vous racontez sur le forum de Maliweb.
A Paris on a pas fini de rigoler.
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QUAND NOTRE ARMEE DE BILAKRO NE SAIT MEME PAS TENIR SES POSITIONS VOILA LE RESULTAT IL RESTE PLUS A ENVOYER DES POLICIERS MUNICIPAUX FRANCAIS POUR REGLER LA CIRCULATION A BAMAKO
un chasseur en arc ne peut rien contre un éléphant. 😆 😆
un raisonnement tactique est toujours le prélude d’un plan d’operation. La France a raison de tester l’operationnalité de tous ces régiments. Après la danse de l’aviation et des légionnaires, normal que le reseau nodal soit à l’épreuve des réalités africaines. C’est ca une vraie armée, peu importe le coût. Vive Hollande.
On fait rentrer en France les paras qui se sont battus au Nord pour les remplacer par des soldats qui vont s’occuper du maintien de l’ordre ! et ils sont heureux , chaque mois passé au Mali leur paie est multipliée par 2
Donc le Mali fait des heureux en ses temps difficiles pour joindre le 2 bouts du mois 😀 😀 😀 😀 Voilà une des raisons de ta présence sur MW ❗ ❗ ❗ Ns africains avons tjrs été la vache laitière pour les autres 😀 😀 😀 Tu me diras k son salaire est fait par la France ❗ ❗ ❗ mais tte cette depense sera remboursé d’une manière ou d’une autre et les ivoiriens en savent qlq chose 😀
C’est déja bien d’être capable de payer ces dettes. Reconnaissance éternelle à la France. Imaginez un peu Bamako sous le joug des djihadistes et tous les pillages que la ville allait subir avant l’attaque du fait des hommes en arme et tous les autres qui y verraient leur chance unique de s’enrichir.
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