Le juge d’instruction Yaya Karembé, qui devrait en principe entendre, dès aujourd’hui assure t-on, le Général Amadou Haya Sanogo dans l’affaire des bérets rouges, serait-il menacé ? On peut le croire. Car le domicile de ce magistrat, sis derrière le tribunal de Hamdallaye, en commune IV du district de Bamako, est hautement sécurisé depuis la semaine dernière par un impressionnant dispositif de policiers en armes.
Selon certaines sources, M. Karembé lui-même ne passerait plus la nuit dans cette maison. Mais comme sa famille s’y trouve, elle a besoin d’être sécurisée. Mais contre quel genre de menace ?
Facile à imaginer, le dossier qu’il détient entre les mains étant très sensible.
Kassoum THERA, B SEGBEDJI
Une justice a deux vitesses. C’est ridicule.
On libere des individus qui ont egorge plus d’une centaine de militaires a Aguelhoc et on s’acharne (comme cela se doit) sur un autre qui a fait autant mais a Bamako.
Franchement dans quel pays on est…? IBK il faut nous aider a relever la tete… on est trop humilie… ca suffit
Si IBK doit être entendu pour l’éclatement de la vérité, toutes les dispositions doivent êttre prises pour ce faire. On ne peut pas s’associer avec des voyous et vouloir les couvrir en se couvrant. Il faut protéger Haya contre les complices des jours : Copam, IBK 2012, Sabati 2012, MP22(ou M23 du Mali). Ces tous ces complices qui doivent donner des explications au peuple malien pour qu’il comprenne
Vu les pratiques et agissements des Haya boys, il est facile d’imaginer que ces voyous ne connaissent qu’une seule façon de régler leurs comptes: buter tout obstacle se trouvant sur leur chemin. Donc il faut que Karembé reste tjrs sur ses gardes
Pourquoi vous aimez le sensationnel, pardon le mensonge? Quel domicile de Karembé hautement sécurisé et pourquoi? Auditionner quelqu’un n’est pas l’inculper. Et même si le Général devait être arrêté pourquoi le juge serait menacé… par ce qu’il fait son travail? nous ne voulons plus d’embrouille dans notre pays car on en a déjà pour notre dose. De grâce arrêtez vos intox et informez plutôt. Que Dieu nous préserves des journalistes pyromanes.
Une justice a deux vitesses. C’est ridicule.
On libere des individus qui ont egorge plus d’une centaine de militaires a Aguelhoc et on s’acharne (comme cela se doit) sur un autre qui a fait autant mais a Bamako.
Franchement dans quel pays on est…? IBK il faut nous aider a relever la tete… on est trop humilie… ca suffit
Tout ça c’est du folklore. Le seul motif sur quoi on peut juger le Général Amadou Sanogo c’est par rapport au Coup d’état du 22 mars 2012. Mais avec l’ouverture de ce dossier même le président Ibrahim B. Keïta doit répondre sur ne serait que qui à fait quoi pour en empêché.
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