Affaire des bérets rouges : Les non-dits et les dessous du conflit

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L’histoire n’est pas une course de vitesse. C’est une course de fond sans fin. Un pays sans histoire n’a point d’âme, dit-on. L’adage fait allusion aux opérations des bérets rouges et des bérets verts : sur leur descente d’une part à Kati et d’autre part à Djikoroni-Para. Cette affaire n’aura son épilogue que lorsque l’on sera à mesure de disséquer totalement le pour et le contre des faits réellement vécus par les antagonistes. Alors à vos marques !

Des représentants des bérets rouges, fidèles au président renversé ATT, s'apprêtent à rencontrer le Premier ministre malien à Bamako. AFP
Des représentants des bérets rouges, fidèles au président renversé ATT, s’apprêtent à rencontrer le Premier ministre malien à Bamako.
AFP

Ce qui a sonné le glas à la concorde
L’opinion nationale et internationale a bien été informée des doléances de Kati à travers le mouvement des femmes de ce camp, et suite à la mutinerie qui a renversé le pouvoir d’Att. Kati a toujours pris la parole pour défendre sa cause, Kati a pris les armes pour tout détruire sur son chemin (pouvoir politique en place et commandos parachutistes), au moment où les bérets s’engageaient plutôt à combattre les assaillants. Tout a été concocté comme s’il fallait une revanche sur ” vingt ans de démocratie ” et les bérets rouges. En tout cas ces derniers l’ont compris comme tel, à partir des faits suivants qu’ils reprochent aux bérets verts :
Leurs refus obstinés, à travers des rassemblements militaires, au camp Soundiata lorsque le pouvoir de l’époque aurait recommandé aux Chefs du Département Ministériel et de la Défense et de la Sécurité de s’impliquer davantage en vue d’accélérer le renvoi de renforts auprès de nos combattants en position de faiblesse. Kati a refusé d’envoyer des renforts au Nord, lors de l’attaque d’Aguelhok, et au moment où le chef de guerre El hadj Gamou avait besoin de secours.
Les bérets rouges n’ont pas compris ce ” Non CATEGORIE ” et l’attaque personnelle du sommet de la Hiérarchie militaire : tirs de mitraillettes et d’obus sur le Présidence en provoquant un incendie.
Les points ci-dessus énumérés ont fait que la goutte d’eau a fait déborder le vase.
Dès cet instant notre Armée Nationale aurait laissé une séquelle sans précédent en foulant aux pieds les principes de l’ordre et de la discipline. Une plaie n’est jamais guérie sur du pus, dit-on.
A.COUP D’ETAT DU 22 MARS 2012
Toute convention s’appuie sur des clauses. La moindre dérogation ou faille dans l’application des principes directeurs ou des clauses, ne pourrait que faire des mécontents. Ils se rebifferaient en se croyant lésés.
Au regard du coup d’état faisant dégager Amadou Toumani Touré en douce, il semblerait que c’était plutôt un arrangement en faveur de sa Garde présidentielle. Un coup d’état se prépare et chacun doit être au même niveau d’information avant l’heure H.
Un coup d’Etat, qu’il soit fait ailleurs ou au Mali, le Chef de l’Etat est soit éliminé, soit détenu, soit exilé. Mais le cas ATT a fait exception à la règle en le laissant s’échapper pour se cacher quelque part dans Bamako, pendant certains temps, puis négocier son départ dans un pays voisin.
Tout cela, peut être, pour trouver un terrain d’entente ou une porte de sortie de ladite convention.
Ce signe de mécontentement était visible le lendemain de l’arrestation à la devanture du SNJ (Service National des Jeunes) à travers son envahissement par les officiers et leur véhicule de bout en bout. Cet attroupement des hommes de rang a vraiment traîné en longueur pour finalement faire des insatisfaits parmi eux. Cela se sentait ! C’est la première hypothèse de la discorde entre les militaires.
Que s’est-il réellement passé?
L’outrecuidance des éléments de Kati de marcher sans autorisation préalable, et faire sortir des hommes et femmes, jeunes, vieux et des scolaires pour se diriger vers Koulouba. Les femmes étaient au devant de la scène pour revendiquer. Cette action était une première dans l’histoire du pays.
Le Président de la République à l’écoute des femmes de Kati, il s’en est sortie des propos de part et d’autre et le pire a été évité ce jour là.
En dépit des apaisements : qui ne veut rien entendre ni écouter a-t-il besoin de se ressaisir ?
L’idéal était de s’attaquer à l’édifice du Palais de la République. Qui a autorisé la distribution des Armes et Munitions en ouvrant les dépôts d’Armes !
L’inévitable fut donc fait, les tirs d’obus, les bruits de mitraillettes, d’autres coups ont eu raison de l’Edifice qui a brûlé par mille feux.
La mutinerie, c’est de cela qu’il s’agit, fut transformée en coup d’Etat et otage s’en est suivi. Les troupes se sont trahies dès cet instant. Le chef de l’Etat fut négocié et sa sortie accordée même si certains en étaient réticents, il est sorti quand même, avec quel moyen de bord ? C’est la deuxième hypothèse de la discorde entre les militaires.
B. Contre coup d’Etat des bérets rouges
Avant la disparition du Colonel du Camp des Parachutistes ; des échanges de propos se sont passés entre deux officiers au téléphone, l’un reprochant à l’autre de ne pas abdiquer en faveur de Kati en argumentant que tous les officiers généraux et militaires ont félicité le coup d’Etat à l’exception des commandos parachutistes. Il lui demande le pourquoi ? Le second rétorque qu’il oublie déjà que c’est son chef qui a été détrôné et pourquoi vouloir chercher à se voir ou soutenir qui ?
Il appuie sa version que la mutinerie s’est soldée par un coup d’Etat qui n’était pas à l’ordre du jour et que la confiance n’existe pas.
L’échange de point de vue s’est terminé par un ordre : ” Si d’ici 14 heures vous ne venez pas, nos Matériels et Equipements se trouvant dans votre camp seront récupérés avant 18 heures ”
La réponse ne s’est pas fait attendre : ” Ils sont pour vous. Venez donc les enlever quand vous le voulez. Mais quant à m’obliger de venir ! Avant un terme échu, vous n’avez pas d’ordre à me donner. Vous êtes Capitaine, je suis Colonel “.
Ainsi dit, les commanditaires se sont présentés à Djikoroni- Para, à l’heure convenue, pour se mettre à la recherche du chef de la compagnie, devenu introuvable. Les visiteurs ayant excéder dans leur recherche. Les bérets rouges ont, eux aussi, mûri leurs idées sordides qui a soldé par un échec cuisant. Le renfort demandé a mis à nu les opérations menées par les assaillants.
C. DESCENTE DE KATI SUR DJIKORONI PARA
Pour rendre la monnaie, les insurgés sont venus de Kati en nombre suffisant avec les arsenaux militaires. Qui l’aurait cru, après la défaite d’Aguelhok, qu’on aurait encore d’armes restantes à l’ombre.
C’était à la fois incroyable et inimaginable d’utiliser en tel arsenal contre des frères d’armes.
A l’entrée de Djikoroni, juste au niveau de la Station SHELL (ex- Motel) les curieux qui jalonnaient le long des voies, entendaient de vive voix par les soldats, des slogans comme ” Abas les bérets rouges “, ” Nous allons les anéantir “, ” Nous allons les exterminer “, “Plus questions de bérets rouges au Mali “, ” Ils ont été corrompus par les politiciens “, ” Ils ont reçu chacun 200 millions pour leur sale besogne ”
En qualité de témoin oculaire, médusé par la colonne d’armements et par les comportements des pro-bérets verts, je voyais les curieux de la rue galvaniser les soldats avec des applaudissements nourris à leur endroit. Comment peut-on encourager une telle scène pendant qu’au même moment les ennemis communs sont au Nord du pays après avoir annexé trois (3) de nos régions ?
Eh, oui ! Le ridicule ne tue pas ! Plus loin, à l’approche du Camp Para, des tonnassions d’obus, de coups de mitraillettes, des coups de mortiers se faisaient entendre. Scène démontrant une haine, une jalousie exécrable et la fougue certainement de montrer sa suprématie.
Depuis, ces frères d’armes se regardent en chien de faïence. L’amnistie accordée par l’Assemblée nationale a permis aux auteurs du coup d’état du 22 mars 2012 de nourrir leur idée et non seulement de ne pas aller au Nord, mais aussi d’accélérer le processus de fermer totalement la 33ème compagnie des parachutistes (se référer au rassemblement militaire tenu, à l’occasion, dans le Camp Soundiata).
Les putschistes ont su profiter de la situation pour placer tous les éléments ou protégés comme hauts fonctionnaires militaires dans les départements ministériels.
Par ce que tout simplement, de source sûre et militaire, les bérets verts sont jaloux des privilèges accordés aux bérets rouges d’avoir la garde Présidentielle et qu’en contrepartie les autres porteurs d’uniforme ne profitent guère de cette allégeance.
Historique du camp des commandos
De l’indépendance jusqu’à deux mandats de Amadou Toumani Touré la compagnie des parachutistes, Unité Spéciale, a su faire valoir sa compétence dans la formation de parachutage, dans sa stratégie de guerre en tout lieu, faire preuve d’honorer sa présence lors des festivités des Malades Lépreux, des fêtes de l’indépendance, des cérémonies du Cinquantenaire.
Des chefs militaires comme Sounkalo Samaké de Dioila ; Amadou Toumani Touré, Mamadi Sylla, Tiécoro Bagayoko, j’en passe… ont su mettre en valeur ce corps d’élites singulièrement spécialisé en parachutage.
Combien de femme et d’hommes ont su braver cette discipline à l’époque avec l’appui des Assistants Techniques et formateurs émérites (RUSSES, CHINOIS, FRANÇAIS, AMERICAINS). Ce qui a rendu ce corps bien aguerri dans l’Art des armes, de Munitions, de Sauts à vol d’oiseau, de styles acrobatiques souvent indescriptibles (se référer aux années 70 et 80 sur la colline de Nianancoulou (Koulikoro) notamment avec des Partenaires Chinois, s’en référer aussi à la Mission commandée dans le Nord durant la rébellion de l’époque du Régime UDPM, après la formation en Union Soviétique (Russie) des contingents d’Abdoulaye Sacko, de Bafing, de Sidiki Sissoko et Autres Classes. Que n’a-t-on pas démontré dans les montagnes de Kidal ?
L’actuelle 33ème compagnie des Commandos Parachutistes et le 333ème régiment de Koulouba à l’époque dénommés ” CAMP PARA ” font la fierté de Djikoroni dans la Commune IV. Les jeunes de cette époque là qui sont aujourd’hui les aînés et qui sont au pouvoir, la plupart d’entre eux devenus des responsables politiques et de Services publics et Parapublics, en sont témoins à travers les sports & toutes disciplines confondues. Que dire donc de l’INSTITUT MARCHOUX, organisateur des journées mondiales des lépreux avec l’appui logistique des Militaires du camp para ? Tout Bamako était drainé à l’époque vers Djikoroni para pour voir la manifestation des lépreux.
Un autre aspect non moins important à savoir la paix, la sécurité, la stabilité dans ce quartier en sont éloquentes car le brigandage, le vol, les malfrats étaient rares dans cette localité du District de Bamako.
L’ERE DU TEMPS
La venue de la démocratie a réchauffé l’Afrique. Partout où elle s’est installée nous avons observé des guerres. Les élections on attisé des foyers de tension et des discordes entre les fils du pays. Notre pays, le Mali qui était cité en exemple dans la sous région et un peu partout dans le monde vient du coup de recevoir à son tour son foyer de tension par les rebelles, les Islamistes, les Djihadistes, les narcotrafiquants (AQMI – MNLA – MIA – MUJAO – ANÇARDINE).
Le constat amer que nous regrettons, c’est le coup d’Etat qui a accéléré l’avancée des soi-disant rebelles. Ils ont su profiter de la situation déjà précaire.
Le bon sens devrait nous guider à mettre fin à notre dissension pour juguler la reconquête du Nord. Malheureusement, les considérations partisanes entre militaires et politiciens ont eu raison sur notre ambition. Les antagonistes s’en sont donnés au pire des bêtises. Le pouvoir des armes a prévalu sur l’esprit de patriotisme.
Nous avons bien de craintes pour cette nouvelle génération de militaires qui n’a rien vécu en bien ni en mal, sans histoire ni expérience. Elle s’en prend directement à toute une structure spécialisée dans la seule ambition de la fermer parce que leurs frères d’armes ont fauté.
Il était plus correct et sage de les juger et les punir. Mais ne jamais sacrifier l’entité qui a existé depuis 50 ans alors que dans les pays voisins, comme partout dans les continents africain, européen, américain et asiatique, ce corps d’élites en parachutage et des missions commandées demeure toujours et restera longtemps à couse de leurs missions délicates sur le terrain.
Si le tribunal (instance juridictionnelle) a jugé bon de la relaxe pure et simple de certains des bérets rouges, l’autre groupe devrait s’abstenir de se manifester quoi qu’il advienne pour laisser passer ce moment d’Etat d’Urgence. Car force doit rester à la loi. Elle doit être respectée par les porteurs d’uniforme d’abord.
Si un camp fut amnistié par l’Assemblée Nationale pour ce qu’il a commis, l’autre camp devrait l’être également par souci de réconciliation.
D’autres alternatives seraient plutôt meilleures pour revendiquer et avoir gain de cause.
Pour les raisons qui sont à la base de leur soulèvement, en toute sincérité, le camp des parachutistes ne doit pas être sacrifié pour la seule intention de plaire le vice président chargé de la reconstruction de l’armée malienne ou des éléments réfractaires aux bérets rouges.
Si les bérets ont commis un acte d’indiscipline en ne respectant pas la loi ni son autorité, que signifie donc l’autre acte qui consiste donc de refuser de répondre à l’appel de la Nation lancé par la hiérarchie militaire d’aller au front en renfort de El Hadj GAMOU qui a été contraint à l’exile forcé au Niger et pendant combien de temps n’eut été l’intervention des forces Françaises ?
Que signifie donc l’agression d’un Président de la République dans son Palais ?
Vous avez été tolérés et amnistiés, soyez tolérants. Oubliez votre expression ” tolérance zéro “. Amnistiez vos frères d’armes en échange.
Ou bien, le fauteur d’eau trouble doit être puni (bérets rouges). Punissez-les!
Mais abandonnez l’idée mûrie dans le salon ” Abas les bérets rouges “, ” Nous allons les anéantir “, ” Nous allons les exterminer “, ” Plus question de bérets rouges au Mali “, ” Ils ont été corrompus par les politiciens “, ” Ils ont reçu chacun 200 millions pour leur sale besogne “. Troisième hypothèse de la discorde entre les militaires.
N’est-ce pas là une rancœur et une haine vis-à-vis des frères d’armes ? Ne voyez-vous pas là un esprit de vengeance ou de suprématie d’un seul homme qui soutient mordicus la liquidation totale d’un corps d’élite rien que pour assouvir son ambition ?
Chers compatriotes, référez-vous à l’imposant déménagement du chef des Armées à la 33ème Compagnie des Parachutistes. Ils ont chassé non seulement les anciens occupants, mais en plus du mardi au dimanche 17 février 2013 aucun usager de l’ouest de la commune IV sur l’avenue Raoul Follereau ne pouvait passer sur l’axe passant devant le Camp Para et tout le long de la Clôture. C’était une démonstration de force.
Seul le pays compte à nos yeux. Le Mali a encore besoin des parachutistes. Vouloir les disperser ou les insérer dans les différentes unités de corps signifie quoi ? Nous affaiblir davantage au profit de l’ennemi. Les quelques éléments versés dans les autres unités ne seront-ils pas à la retraite tôt ou tard ? Le futur nous donnera quoi ?
Sachons raisons garder. La mesure est très mal tranchée. Le Gouvernement doit revenir sur sa décision. C’est la seule façon qui pourrait réconcilier les protagonistes. Une décision contraire à ce billet ne fera que couver d’autres intentions. Loin de moi de souhaiter cela mais l’avenir nous édifiera !
Etre responsable c’est aussi de reconnaître son erreur et de savoir prendre des décisions fortes sans vouloir faire plaire. Quoi qu’il advienne !

DUGUFANA

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18 COMMENTAIRES

  1. Ce DUGUFANA doit tout simplement arrêter d’écrire. c’est une honte de publier de pareils torchons. Si vous êtes nuls en Français, veuillez trouver et recruter des rédacteurs qualifiés pour, au moins corriger les âneries que vous débitez aux pauvres lecteurs Maliens. POUAH !

  2. Peut-être que je ne comprends pas bien français mais je n’arrive pas à faire le liens entre certaines phrases de ce journaliste.

  3. Beaucoup de corrompus au mali.
    Beaucoup de gens malhonnêtes au mali.
    Vive Sanogo et merci pour avoir cassé la fourmilière malienne.
    Vive l’armée malienne.

  4. Ils faut oublier ces berets rouges. Ce sont des corrompus, et narcosoldats , fidèles a compagnie para de att berets rouges sang. Ce ne sont pas de militaires ces berets r o u g e s. Il faut radier les irrespectueux parmi eux.
    Vive nos soldats maliens, gendarmes, gardes, polices, armée de terre et air, forces speciales berrets verts et gardes républicaine.

  5. Merci pour cette analyse….qui résume bien une “spécialité bamakoise” :On n’aime pas les élites qui montrent nos carences et on préfère le nivellement par le bas : c’est plus simple que de se mettre aux normes des meilleurs standards. Tant que ce trait de caractère sera prédominant, notre pays aura beaucoup de mal à s’élever…Pensez vous vraiment qu’un petit capitaine raté peut mener une réforme de l’armée qui part en vrille? Les stratèges qui sont des “vrais soldats”, formés et conscients de leur rôle ont tous été enfermés, anesthésiés ou même tués…pour que les nuls prennent le pouvoir et s’en mettent plein les poches. Qui parmis les membres de la junte est allé au front? Mais ils veulent tous des postes juteux dans nos administrations. UNE HONTE

    • Ils le payeront tous très cher un jour. Le temps n’appartient à personne mais à Dieu. Amadou A SANOGO doit seulement savoir, les Kissimas, les Tiékoro, les Moussa Traoré, les ATT sont des hommes de valeur dans l’armée, mais aujourd’hui où sont-ils?. Il n’ya aucun doute son tour viendra et peut être même pas très loin. Sachons raison gardée car le temps est Dieu seul le créateur.

  6. Merci Mr le journaliste votre analyse est sans complaisance. Chaque corps à sa valeur,les berets rouge sont la vierté de notre pays en matière de guerre.

  7. Merci Mr le journaliste pour votre analyse sans complaisance, sauf qu’il n’y a pas plus aveugle que celui qui veut pas voir or 7 portion est aujourd’hui majoritaire dans ce pays. C’est ingrat et indigne de la part de certain compatriote de vouloir si vite oublier le bravoure et le patriotisme des bérets rouges. voila quelques exemples digne de nom, quel contingent de l’armée malienne était au Libéria en centre Afrique… j’en passe. Si le monde entier ne comprend pas aujourd’hui la défaite cuisante de notre armée parceque tous simplement cette unité a fait ses preuves partout sur le continent. Pourquoi ne pas de dire aux maliens qu’a part Didier, Sogoba que les operations sur le terrain snt menée par les beret rouges car apres 9 mois d’occupation les officiers vert ont montre leur limite. exple Col Keba Sangare a Tombouctou, Capitaine Ibrahim samassa A djabali, col Baby pour la coordination des operations avec nos amis, col cheik a Gao, commandant Ibrahim Angoiba au CO de Bko!!

  8. Merci Mr le journaliste pour votre analyse sans complaisance, sauf qu’il n’y a pas plus aveugle que celui qui veut pas voir or 7 portion est aujourd’hui majoritaire dans ce pays. C’est ingrat et indigne de la part de certain compatriote de vouloir si vite oublier le bravoure et le patriotisme des bérets rouges. voila quelques exemples digne de nom, quel cortègent de l’armée malienne était au Libéria en centre Afrique… j’en passe. Si le monde entier ne comprend pas aujourd’hui la défaite cuisante de notre armée parceque tous simplement cette unité a fait ses preuves partout sur le continent. Pourquoi ne pas de dire aux maliens qu’a part Didier, Sogoba que les operations sur le terrain snt menée par les beret rouges car apres 9 mois d’occupation les officiers vert ont montre leur limite. exple Col Keba Sangare a Tombouctou, Capitaine Ibrahim samassa A djabali, col Baby pour la coordination des operations avec nos amis, col cheik a Gao, commandant Ibrahim Angoiba au CO de Bko!!

  9. DE GRACE PETIT JOURNALISTE, NE NOUS MET PAS EN RETARD
    TU ES DEPASSE
    ON A AUTRE CHOSE A FAIRE
    SI TU FAIS PAS ATTENTION, TU MERITTE QU’ON TE CASSE LA GUEULE POUR INSITATION A LA VIOLENCE
    A BON ENTENDEUR……….

  10. j’ai bien lu avec satisfaction votre expose plein de sagesse, de conseil et de tolérance. Mais et encore mais est-ce que ce président a ce pouvoir: Non,il a beaucoup peur il a ses raisons ces gens n’ont d’autre ambitions que de semer le troubles afin de ne pas aller au front et d’avoir de l’argent.

  11. un peu de honte journaliste, quelle difference entre beret rouge et vert? quang les soldats ontété égorgés à Aguelhok ou était les berets rouges, ATT n’est il pas un beret rouge et en même temps le dernier des incapables de l’armée Malienne. donne nous les informations sur le nord que de raconter des idiocis.que les beret rouges ayent combatre d’abord ensuite revie,nnent faire des reclamations, ils auront le soutient du peuple en ce moment.refléchi un peu pétit journaliste/ le pays est vendu par le président géneral, un simple capitane le renverse pendent une période de geurre, vous éssayez un autre renversement, mais ci sa marchait s’était la fin du Mali car les verts étant plus nombreux que les rouges, c’était la fin de l’armée.

  12. si les berets rouges etaient aussi competent comme vous le dites, Ils eront pas là etrain de pleurer car ils ont raté leur propre coup d’etat. kati serait mieux qu’eux alors?

  13. Moi, ma solution est de vous remercier tous et battir une nouvelle armée avec les nouveaux recrus. Toutes les unités resteront, mais elles seront toutes constituées uniquement de nouveaux recrus. C’est la seule solution!

  14. Tout ça prendra fin quand les fils de Satan qui remuent à chaque fois le couteau dans la plaie vont cesser de se mêler de ce qui ne les regarde pas. Celui qui est entrain de mettre une différence entre les couleurs de coiffure (et non de peau)des militaires de la même nation sont pires que les racistes. Comment un homme mûr, pour manger, va écrire sans honte, sans vergogne, des choses sur sa propre famille?
    Au lieu de raconter des idées sataniques, informer les gens sur l’issue des combats de chaque jour au nord, car ce sont les enfants d’autrui qui sont entrain de mourir à votre place pour vous permettre d’écrire. Honte à vous!

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