Affaire bérets rouges : Me Tapo dément avoir été entendu

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Me  Kassoum Tapo
Me Kassoum Tapo

«Je n’ai rien à voir dans cette affaire de bérets rouges ou de bérets verts. Je ne suis l’avocat d’aucun béret rouge rouge. Je viens de rentrer de Mopti où j’ai passé un bon temps… J’étais à Mopti lors des derniers évènements concernant cette affaire au camp de Djicoroni para. Ce sont les manipulateurs qui affirment qu’ils m’ont vu dans la zone. dans ce pays le ridicule, ne tue pas. Je n’ai pas encore le don d’ubiquité pour être à Mopti et au camp de Djicoroni au même moment.

Ce sont des adversaires politiques tapis dans l’ombre qui essaient de faire croire que j’ai été entendu par la Sécurité d’Etat ou par je ne sais quelle personne». C’est en ces termes que le 4ème vice-président de l’Assemblée nationale, l’honorable Me Kassoum Tapo, député élu à Mopti, nous a répondu au téléophone à la question de savoir s’il a été auditionné lundi par la Sécurité d’Etat à propos de cette affaire des bérets rouges.

Il faut rappeler que Me Kassoum Tapo est un cadre influent de l’Adéma-PASJ et du Front uni pour la sauvegarde de la démocratie et de la République (FDR), le front de refus du coup d’Etat du 22 mars 2012.

Bruno  S SEGBEDJI

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9 COMMENTAIRES

  1. Plusieurs leaders politiques maliens ont été interpellés à nouveau ce mercredi matin par la sécurité d’Etat (SE), suite à l’affrontement entre militaires maliens, a-t-on appris ce jour de sources proches de la SE.
    Me Kassoum Tapo, vice-président de l’Assemblée nationale et leader du Front uni pour la sauvegarde de la démocratie et la république (FDR) et son camarade Ibrahima N’Diaye, président par intérim du parti ADEMA et premier responsable du FDR, ont été interpellés à nouveau ce mercredi.
    Le secrétaire général du parti SADI et leader du Mouvement populaire du 22 mars (MP22), Dr Oumar Mariko, libéré dans la nuit de mardi à mercredi à minuit, a été interpellé également ce mercredi matin.
    Toutes ces interpellations sont en lien avec l’affaire des bérets rouges et d’autre part avec la question sécuritaire dans le nord du pays, selon des sources sécuritaires maliennes.
    French.news.cn 2013-02-13 21:51:49

  2. CESSONS DE POLIMIQUER,ON SAIT QUI EST QUI AU MALI.DE LOIN OU DE PRES,ON PEUT ETRE NUISIBLE.QUE DIEU BENISSE LE MALI 🙄 🙄 🙄

  3. SE, n’oubliez pas d’auditionner tous les membres de FDR.
    Radiez tout simplement ces B rouges indisciplinés.

    Qu’Allah sauve le Mali!

  4. Tapo, n’a pas à mentir sur le fait qu’il n’ait pas été entendu par la SE.
    Si il y’a des politiciens à qui il faut faire confiance, suis sûr à 100% que le nom de TAPO appatra des millions de fois (il fait parti de ceux qui ont défendu une seule position dès les premières heures du coup d’état).C’est un homme intègre.
    Dites ce que vous voulez, Tapo n’en à rien à cirer.
    Personnelement, je ne le connait, mais mars dernier jusqu’à ce jour, je le porte dans mon coeur.
    Que Dieu bénisse le Mali

  5. Mr Madigui maitre tapo na pas besoin de mentir pour ca on na vu le cas de Oumar mariko devant les œil de tout monde , stp on est ds un meme pays je ne dis pas que maitre tapo est bon mais cet fois si vous avais tort Mr le vrais complice de ct affaire c,st Dr mariko qui es tjr ds la main de SE , ne nous rencontre pas les boba , dejeuner avec le president , dejeuner annule c,est faux , tapo etai a mopti j,ai ce preuve ok tu ,n,est pas le protocole du président svp ok mrci

  6. Le ridicule ne tue pas. Un responsable comme toi qui n’a pas honte de mentir. Tu devait déjeuner Kassim Tapo avec Dioncounda. A la dernière minute, Dioncounda a annulé le déjeuner au motif qu’il devait recevoir une délégation. Entre temps, Kassim a été interpélé à la SE où, il est resté jusqu’à 21heures. Donc, dire que tu n’as pas été interpélé, c’est faux et harchie faux.

    Menteur!

  7. Il faut comprendre que le reste des berets rouge sont instrumentalisés par les politiciens. Sinon l’heure est à la guerre au nord et ils ont été affecté à cette . Aulieu d’aller faire leurs preuves au nord certains beret refusent les ordres et jouent au syndicalisme. Il est clair que le regiment comado ne sera jamis dissous (d’ailleur il faut une loi votée par l’assemblée pour ça) alors qu’ils aillent combattre d’abord au nord au lieu de jouer les perturbateur devant leurs femmes à Bamako.

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