C’est le 22 Mars 2012 que le pouvoir, démocratiquement, élu, a été renversé, au Mali, par une junte militaire. Elle prendra l’appellation CNRDRE (Comité National pour le Redressement de la Démocratie et la Restauration de l’Etat). Un an après, quelle appréciation peut-on faire de ce changement intervenu à la tête de l’Etat malien ? Quels en sont les enseignements et les répercussions sur la vie de la nation dans tous les domaines : politique, économique, social, sécuritaire, institutionnel et religieux ? Nous tenterons, à travers analyses et réflexions, de parcourir, brièvement, cette période en vue de mieux édifier sur les tenants et aboutissants de cet évènement survenu au Mali et, diversement, apprécié par différentes sensibilités de la classe politique et de la société civile.
D’emblée, certains pourraient dire qu’ils ont été surpris par le moment choisi pour la réalisation de ce coup de force. Cependant, peu de gens avertis, ne comprennent pas pourquoi il est intervenu. Il s’agit bien, d’hier à aujourd’hui, de l’Etat malien, de sa démocratie, de sa sécurité globale et de celle des personnes et des biens. Le coup d’Etat perpétré le 22 mars dernier, interpelle toutes les grandes sensibilités de la société malienne, même si, par ailleurs, les politiques sont considérés comme les chefs de file et donc les premiers responsables de la situation qui a prévalu au Mali de l’ouverture démocratique à ce jour. Que d’eau a coulé sous le pont des martyrs ! Le constat est amer : à côté d’importantes réalisations socio économiques, la mauvaise gestion des fonds publics, de l’administration de la situation sécuritaire qui allait de mal en pire. Il fallait s’arrêter un moment et passer en revue le parcours de la démocratie malienne et, comme l’histoire l’a démontré, de procéder à des correctifs sans complaisance afin de redonner confiance et espoir aux Maliens. Tous les espoirs sont-ils déjà comblés ? Loin s’en faut.
Aux plans politique et institutionnel, il y a des changements qui s’opèrent. Certes, institutionnellement, les difficultés de parcours ont été nombreuses. Un moment, on a frôlé le chaos avec l’agression du président de la République par intérim. Nombreux sont ceux qui avaient estimé qu’on ne pouvait faire du neuf avec de l’ancien. Cependant, force est de constater qu’envers et contre tout, le président de la République par intérim, le Pr. Dioncounda Traoré, s’est révélé l’homme de la situation, notamment, après le départ du premier Ministre alors nanti de pleins pouvoirs, Dr Cheick Modibo Diarra. Le Mali a commencé à bénéficier de l’appui multiforme de la communauté internationale. Ce qui a, particulièrement, attiré l’attention du plus grand nombre de Maliens, c’est la promptitude dans la réaction de la France par rapport à la gestion de l’insécurité dans les régions nord du pays. Par la suite, il y a eu un effet d’entraînement extraordinaire du soutien de la France au Mali pour l’aider à se débarrasser des terroristes et djihadistes.
La bataille est, pourtant, loin d’être terminée. Mais, l’espoir renaît dans les cœurs et les esprits, puisque les habitants des régions de Gao, Tombouctou et Kidal, ont été libérés de la dictature des terroristes et islamistes. Le chemin vers la libération totale et la sécurisation de toutes les régions nord du pays, est long et parsemé d’embûches notamment avec l’étape de Kidal dans l’Adrar des Ifoghas où sont terrés des terroristes qui ont commencé, à cette étape, à exécuter des attentats suicides. La saisie et la découverte d’importantes quantités d’armes sophistiquées et de munitions, démontre que l’armée malienne seule ne pouvait faire face à ces terroristes venus de divers horizons pour s’établir dans les régions nord du Mali et en imposer aux habitants avec leur soi disant charia. Que de cas de viols et d’amputations de mains ont été perpétrés là ! Aujourd’hui, cela n’est plus qu’un triste souvenir.
Avec le début de l’embargo et même après, le pays a vécu au ralenti dans plusieurs domaines. Des projets ont été arrêtés, les hôtels ne fonctionnaient plus pendant des mois, les touristes, pendant toute cette période, ont évité la destination Mali réputée, alors, dangereuse, notamment avec la multiplication des prises d’otages et des attentats suicides.
Aujourd’hui, concernant la sécurité au nord, l’espoir renaît. Mais, force est de constater que, malgré l’Etat d’urgence à Bamako et périphéries, l’insécurité demeure, en dépit de l’organisation de patrouilles mixtes. Les affrontements entre les policiers syndicalistes ont frôlé le pire. Le maintien de la quiétude n’a pas été facile malgré les efforts déployés par le Général de Gendarmerie Tiéfing Konaté, ministre de la Sécurité Intérieure… En ce qui concerne l’administration, celle-ci reprend du chemin dans la capitale et les autres régions du sud, voire dans des localités sous occupations. Si l’on n’a pas la preuve que des garde-fous sérieux sont en vigueur, il ne demeure pas moins que les administrateurs véreux font désormais attention depuis le coup d’Etat quant à certaines pratiques peu orthodoxes.
Par ailleurs, il faudra encore du temps pour stabiliser les espaces scolaires et universitaires dont les se suivent et ne se ressemblent pas. Il y a eu beaucoup d’engouement dans les recrutements dans l’armée et à la fonction publique après le coup d’Etat du 22 mars 2012. A ces niveaux également, les uns et les autres, à tort ou à raison, nourrissent l’espoir qu’il y aura des améliorations significatives avec l’arrivée de plusieurs centaines de formateurs militaires européens.
Pendant cette période de transition politique, les journalistes ont été soumis à de rudes épreuves (Birama Fall direpub de Le Prétoire). Certains ont été enlevés, puis, tabassés (Abdramane Kéita redchef du journal Aurore, Saouti Labass Haïdara direpub du journal l’Indépendant). Boucary Daou direpub du journal Le Républicain a été déféré à la grande prison de Bamako à la grande surprise de ses confrères. On ne peut également pas parler de cette période sans faire allusion aux bavures policières (décès au mois d’août 2012 dans les locaux du commissariat du 3ème du jeune Fousseyni Ouattara de Missira, dont le corps est toujours gardé à la morgue. De même, on ne peut passer sous silence, les efforts des religieux dans la recherche de solutions aux multiples problèmes qui assaillent le Mali.
La période située entre le 22 mars 2012 et le 22 mars 2013, a été celle des grandes épreuves pour le Mali et les Maliens et surtout celle au cours de laquelle, les Maliens ont manifesté une solidarité agissante envers les victimes et déplacés de guerre. A l’appel du président de la République par intérim, le Pr Dioncounda Traoré, la contribution à l’effort de guerre et le soutien à l’armée, ont été impressionnant. Prions pour la restauration totale de l’intégrité du territoire et l’organisation d’élections crédibles, transparentes et apaisées
Tiémoko Traoré
tant que sanogo et so club son las le mali est foutu il faut que la france et l onu nous aident a nous debarasser de sanogo
Sonogo ou la face ridicule du Mali.
Heureux ou dramatiques, les grands évènements naissent souvent de faits qui, pris individuellement, sont aussi futiles qu’insignifiants;
Qu’un Bouazizi inconnu, chômeur désespéré, décide un jour de s’immoler en Tunisie, et ses malheureux 2 litres d’essence embrasent coup sur coup Tunisie, Egypte, Lybie, et Syrie…
Que les insignifiantes sondes Pitot d’un Airbus déraillent juste au moment où l’Airbus rencontre une zone de turbulences, et ça donne le fameux Rio/Paris d’Air France : 228 morts!
En médecine, idem ! Combien de « petits bobos » insignifiants nous entraînent irrémédiablement dans la tombe, à l’instar de la petite verrue qu’on néglige et qui au fil du temps devient cancer de la peau, puis cancer généralisé…
Au Mali, un certain 22 mars 2012, l’histoire nous en donné un triste exemple :
Eclate une simple g.ueulante de bidasses (les insignifiantes sondes Pitot de l’Airbus !…) pile au moment où l’Etat d’att est en pleine déliquescence et le gros des troupes sont à 800 kilomètres de Bamako (la zone de turbulences de l’Airbus) et cette simple g.ueulante dégénère en coup d’état improvisé !… Et ce coup d’état aussi imprévu qu’imprévisible nous propulse à sa « tête » un obscur bidasse râté, grande g.ueule alcoolique de niveau def (la petite verrue qu’on néglige…). Or, d’interviews en déclarations à l’ortm, l’abruti se met à se prendre pour QUELQU’UN (le cancer de la peau !…). Puis, à force d’acclamations nourries de nos foules analphabètes, finit carrément par se prendre pour Charles De Gaulle et … prétend diriger le Mali (et voila le cancer généralisé !…).
Les boîtes noires du Rio/Paris ont montré qu’entre le moment où l’appareil entre dans la zone de turbulences et sa chute en piqué dans l’océan, les choses se sont enchaînées très vite ! Bien qu’un peu plus long, le crash du Mali a lui aussi été assez fulgurant :
Quelques jours à peine après son avènement, notre Che Guevara de comptoir troupes ordonne à nos armées de fuir l’ennemi, et lui offre d’un coup sur un plateau d’argent les deux tiers du pays ! En même temps, le même c.onnard prive du jour au lendemain le pays de TOUTES ses aides internationales !… Dans la foulée, avec la complicité de son Astro-Larbin d’alors, il téléguide des voyous de rues pour tenter de faire assassiner le Président… Ensuite, tout ira très vite : Sanogo a lui seul DEFIGURERA A JAMAIS (malheureusement, A JAMAIS) l’image de notre Maliba aux yeux du monde !!!
Ainsi, avec l’arrivée de cette épave fanfaronnante, le monde entier, médusé, verra tour à tour :
Une armée Nationale capable d’abandonner (sur ordre DU CHEF !!!) armes et uniformes et détaler comme des gerboises face à l’ennemi !!!… Le monde entier verra des foules de débiles copam/sadi ( pardon pour le pleonasme !) empêcher fièrement la délégation CEDEAO d’atterrir à Bamako !… Le monde entier verra ensuite un grand Maliba capable de se laisser « DIRIGER » par un héros-baiseur-de-serveuses-de-maquis, brillamment secondé par un Lieutenant encore en train d’apprendre à lire!… Le monde entier verra cet « homme fort » se planquer prudemment à Kati pendant que ses populations du nord se font lapider, amputer, ses mausolées sacrés se font détruire à coups de pioche, ect… Le monde entier verra ce même « homme fort » hurler d’abord farouche et menaçant « JAMAIS un soldat étranger ne foulera le sol Malien » puis faire caca dans son treillis dès l’arrivée des commandos Français !… Etc, etc, etc…
En conclusion, 1 an après le coup d’état le plus débile de l’histoire, grace à ce macaque plastronneur, le MONDE ENTIER gardera désormais du Mali l’image indélébile d’un pays sans courage, sans honneur et sans dignité !… Merci Sanogo !
Je le redit depuis le debut j’ai apprecie ce coup d’etat et il fallait un changement mais les comportements de la junte m’ont trop decus raison pour laquelle je ne les supporte plus depuis qu’ils ont commence leur manigance et leurcindifference et insoucience face a la population. L’exemple parfait est les raquettes et abus d’autorites envers la population.
Aussi vous n’etes que des cancres et menteurs comme tous les autres dirigeants et preneurs de pouvoir de force. Vous jetez des mots aux oreilles de la population comme si vous etiez tous des sauveurs alors vous etes pire l’uns que les autres. Je suis mecontent du fait que vous arriviez pas a faire une armee unique et indivisible. La compagnie para doit etre restauree et requiree.
Enfin concernant ton salaire rantamplan de sanogo tu ne le merites pas, en tout cas pas 4millions si tu etait un digne fils de segou tu allais demande une reduction ou donner la moitie pour fins nobles. Je suis de Segou. Tu ne faits plus une fierte.
Hier matin, dans la presse burkinabè (Le Pays) :
“Le peuple malien ne peut penser son présent, préparer son avenir sans se souvenir de ce coup d’État. A l’heure actuelle. Sanogo a procédé à un noyautage de l’État avec son petit club. Homme irrémédiablement abruti, Sanogo a instauré à Bamako, ce que nous nommerons ici une méthode sadique d’humiliation du Malien. C’est au nom de cette méthode qu’il s’attaque à la presse libre et indépendante qui l’empêche justement de continuer à persévérer dans son entreprise de dévastation ruineuse du Malien. Oui, il faut débarrasser le Mali de ce traitre à la nation.”
“Il y a des hommes avec qui on peut dialoguer, et il y en a avec qui on ne peut pas dialoguer. Sanogo est un de ces hommes avec qui on ne peut pas dialoguer. Il doit être mis hors d’état de nuire. Mais les Maliens réussiront-ils à accomplir ce qui, à l’heure actuelle, semble relever du miracle ?”
Sanogo a embourbé le Mali.
Le prétexte pour usurper le pouvoir a été habilement présenté que nous avons applaudi des deux mains, condamnant à la pelle toutes les oppositions à ce coup. Quelques jours deux mois après, la vérité faisait surface : un groupuscule d’inconscients se jouant de la souveraineté de leur pays mais avides de richesses est sur le point de compromettre l’avenir du Mali et celui de la sous-région. Mais depuis lors, qu’a-t-on fait pour le mettre hors de toute capacité de nuisance ? Rien. Tous ceux qui se pouvaient se sont mis de leur côté, cautionnant cet odieux crime :Dioncounda les adoube, un clan de gens en mal de reconnaissance politique et sans aura leur chante louange et leur déroule le tapis d’honneur, des religieux et des opérateurs économiques leur font allégeance…et le CNRDREse voit en terrain conquis et tire les ficelles et pilote le pays dans l’ombre, avec plus de terreur que de jugeotte.
Mais demain ? Demain, le chaos sera total : celui qui sera élu sera sous la férule de ce Sanogo et le pilotage à vue sera institué, avec pour règle d’or la tyrannie de la soldatesque.
❗ ❗ LE DOCTEUR CHEICK MODIBO DIARRA EST LA SOLUTION POUR LE DEVENIR DU MALI ❗ ❗
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/04/19/un-cerveau-de-la-nasa-a-la-tete-du-gouvernement-malien_1687514_3212.html
❗ ❗ MALIENNES ET MALIENS DEMANDEZ VIVEMENT LE RETOUR DE CE FILS DIGNE DU MALI ❗ ❗
Le coût financier pour la République du Mali du coup d’état du 22 mars 2012
Il y a un an, le 22 mars 2012 un coup d’une farce géante a fait perdre au Mali les 3 régions du nord et permettre au Mnla de faire une déclaration d’indépendance et à l’Ansardine d’appliquer sa Charia raciste et esclavagiste, avec son lot de saccages, de vols, de pillages, de viols, d’enlèvements, d’exécutions sommaires et d’exactions multiformes sur des populations maliennes du nord du pays, abandonnées par les pouvoirs publics et livrées à eux-mêmes.
Au delà de cet aspect indiscutable et visible du coup de la farce géante, nous en serions un dindon si on n’évalue pas clairement pour le Mali le coût financier de cette stupide et inutile opération d’attaque contre la république et d’en exiger réparation au moment venu.
1. La prise éclaire de nos trois régions du nord et les saccages et pillages qui ont suivi ont réduit à néant les investissements publics et privés déjà réalisés dans ces zones.
Pour l’investissement public (banques, hôpitaux, services publics, administrations, écoles, infrastructures militaires, aéroportuaires, logements, etc) il faut compter minimum 700 milliards de francs FCA nets.
Ce montant représente la valeur nette des biens publics perdus c’est à dire compte tenu de l’amortissement des investissements, en d’autres termes la dépréciation physique ou le dépassement technologique dans le temps des biens dont les réalisations ont été financées par les 700 milliards.
2. La même analyse vaut pour les investissements des privés (maliens ou étrangers) en cheptel, en biens divers, en commerce de tout genre, en logements, en structures associatives, etc.
Il faut compter minimum 300 milliards de francs FCA.
3. La banque mondiale estime, pour l’année 2010, le Produit Intérieur Brut du Mali, PIB (c’est à dire l’ensemble des richesses se trouvant au Mali) à 9 milliards 251 millions de dollar américain courant, soit au taux de change de 500 francs CFA le dollar, de 4 626 milliards de francs FCFA.
La banque mondiale ne tient compte que des activités formelles des agents économiques, il faut donc intégrer dans ce chiffre toutes les richesses créées par le secteur informel, c’est à dire toutes les activités économique non enregistrées par les statistiques officielles.
Le PIB malien corrigé peut donc être minimum de 5 600 milliards de francs CFA, en tenant compte du secteur informel (16%) et du taux de croissance de l’économie de l’année 2011 (4%).
En l’absence de répartition officielle de cette richesse par région, il faut le diviser par 8 (nombre de régions du Mali) et appliquer une décote de 50% au montant trouvé (pour tenir compte du fait que le nord produit moins de richesses que le sud et que toutes les richesses du nord ne sont pas perdues).
– Donc on aura pour les 3 régions une perte réelle en richesse de:
5600*(1-0,5)*3/8=
1050 milliards
Les composantes principales du PIB étant l’investissement et la consommation (publique et privée) les mille milliards des points 1 et 2:
(700 d’investissements publics et 300 d’investissements privés), sont inclus dans les 1050.
Le reste étant considéré comme de la consommation perdue ou de l’épargne non investie et perdue.
– Pour bamako, avec les casses, les vols, les saccages et les pillages de toutes sortes des commerces, des biens divers et des administrations et la fermeture des frontières, il faut évaluer la perte de richesse due au coup d’état à 5% de la richesse nationale.
Comme Bamako est plus riche que les autres régions du Mali il faut une surcote de 60% dans la répartition des richesses nationales pour Bamako.
Soit une perte de richesses pour Bamako de:
5600*(1,6)*(0,05)/8=
56 milliards de francs CFA.
4. Le PIB malien devrait croitre de 5% par an, avec la casse du tissu économique un peu partout au Mali, et la détérioration de l’image du pays pour les touristes et les investisseurs étrangers, cette croissance ne s’est pas réalisée en 2012.
Dans le meilleur des cas on aura une croissance économique de 0% en 2012 et 2% en 2013, car l’économie est comme une vielle machine Diesel qui est lent au démarrage si jamais on lui donne un coup d’arrêt.
La perte de richesses en 2012 pour absence de croissance de l’ensemble de l’économie malienne est de:
5600*0,05=
280 milliards
Elle se caractérisera par une réduction des recettes fiscales et douanières de l’état puis que les revenus des contribuables vont diminuer.
Cette diminution pour 2013 est de:
5600*(0,05-0,02)=
168 milliards.
Récapitulons les pertes et les manques à gagner pour le Mali:
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I. Pertes de richesses au nord:
1050 milliards
II. Pertes de richesses à Bamako: 56 milliards
III. Perte de croissance économique en 2012:
280 milliards.
IV. Perte de croissance économique en 2013:
168 milliards.
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TOTAL DES PERTES:
1554 milliards de francs CFA.
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Ces pertes ne prennent pas en compte les éventuelles pertes d’aides extérieures et les éventuels coûts d’intervention des forces militaires étrangères pour récupérer le nord.
Heureusement que la coopération financière internationale reprend doucement et que l’aide publique au développement commence à réactiver les projets de développement.
Mais la confiance des investisseurs étrangers, des ONG internationales et des touristes aura du mal à se refaire à court terme au Mali.
Les emplois perdus et les projets abandonnés resteront comme une tâche noire d’huile de vidange qui durera des années avant de partir.
Il faudrait un jour que quelqu’un paie la facture.
tu nous parle de quelle pouvoir public dit plutot du pouvoir privee que la classe politique corrompu ont installer en place depuis belle lurette donne moi la reponse a cette question
pourquoi depuis l independance a chaque fois qu on change de regime celui qui le remplace devient pur?
Au Niger voisin les coups d’états successifs ont permis de “recadrer” la démocratie, le Mali n’échapperait pas à la règle!Au moins avec le putch militaire du 22 mars, nous savons désormais tous que nous n’avions pas d’armée et que le mode de recrutement des militaires est déterminant pour le fonctionnement même de la chaine de commandement!Le coup d’état du 22 mars nous a permis d’amorcer un nouveau départ après 20 ans de “démocratie de façades” où les politiciens qui ont remplacé le régime UDPM de GMT ont pillé notre pays, tué notre école (il faut être riche pour voir son fils instruit),encouragé la hausse de prix du terrain à usage d’habitation avec des trafics du domaine public;herigé en sport national, la corruption, le népotisme, le laxisme….Le CHANGEMENT tant attendu par le peuple devrait trouver son origine dans le coup d’état du 22 mars: le dernier concours d’entrée à la fonction publique qui se serait déroulé en toute transparence en est la preuve d’un début de changement. 😉
Thanks!
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