Annoncé par la médiation la semaine dernière, le paraphe de l’accord d’Alger par les récalcitrants du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et de leurs acolytes aura lieu aujourd’hui en principe dans la capitale algérienne. Pour empêcher cette signature, le MNLA a organisé hier des manifestations dans plusieurs localités sous son contrôle, dont Ménaka.
Mardi quelques individus se réclamant du MNLA sont descendus dans les rues, pour rejeter l’accord qui sera paraphé par les parties à Alger ce matin. L’organisation de cette marche est un message clair pour but de dire aux représentants du MNLA de ne pas parapher l’accord.
Les populations se posent la question de l’importance de cette marche, car d’après un habitant de Ménaka joint au téléphone “ceux qui marchent ne représentent personne. Ce sont des groupuscules qui disent qu’ils parlent au nom de toute une population. Nous ne nous retrouvons pas dans leur lutte. Ici, tout le monde aspire à la paix et souhaite la fin de cette situation, qui n’a que trop duré”.
Au cours de la marche, les manifestants hostiles au Mali ont investi l’Ecole fondamentale de Ménaka second cycle pendant un bon moment de la journée et porté atteinte à l’intégrité physique d’enseignants et d’élèves.
Selon un autre habitant, c’est la loi du Talion qui prévaut présentement dans cette zone, mais que Ménaka est et restera partie intégrante du Mali.
Y. M. B.
Stagiaire
Ce peuple qui ne peut pas se prendre en charge et sont surtout préparés au brigandage, au braquage, aux vols et aux mensonges avec ces maux au sein d’un peuple, il ne saurait avoir d’indépendance et d’autonomie. Même, si le Mali accepte de donner l’autonomie et l’indépendance à cette partie du peuple touareg qui réclame mordicus cette liberté totale, cette partie du pays serait le lieu de la vente de drogue et des échanges nébuleux. Ces bandits n’aiment pas la gouvernance organisée, mais ils préfèrent une liberté sans fin et aucun état organisé n’accepterait cette liberté sans limite. Même si ces touareg sont transférés dans des états à très haute gouvernance, ils se rebelleront contre leurs gouvernants parce qu’ils ne veulent pas travailler mais de mener des actions ignobles et éhontées à leur seul profit. Je reste certain que la communauté internationale se rendrait compte de cette attente malsaine de ces bandits très prochainement.
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