Lettre ouverte en ligne adressée au Président du Mali, au Premier Ministre, au Président de l’assemblée nationale du Mali, au Haut Représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, au CSA au Ministre de la défense, au Ministre des droits de l’Homme et de la réforme de l’état, au Ministre de la décentralisation, au Ministre de l’administration territoriale, au Ministre de la réconciliation nationale, au Ministre de la défense, au Ministre de la sécurité et de la protection civile, au CNCA, aux partis politiques, aux groupes armés et d’autodéfense, aux régions incluant le district de Bamako et aux communes du Mali, à tous les Maliens, à tous les Partenaires (ONU/MINUSMA, BARKHANE, …), au G5 Sahel et aux médias.
La révision de la constitution Malienne du 25 février 1992 est rendue obligatoire compte-tenu des points suivants :
(1) Prendre en compte certaines dispositions de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali (qui bloquent la poursuite de la mise en œuvre de l’accord de paix) issu d’un compromis entre les parties prenantes Maliennes (le Gouvernement Malien, la CMA composée de groupes armés Maliens et la Plateforme composée de groupes armés d’autodéfense Maliens) sous la supervision de la médiation internationale,
(2) Renforcer la démocratie et l’inclusivité en tenant compte de la régionalisation et des Maliens établis à l’extérieur,
(3) Corriger les lacunes de la constitution du 25 février 1992,
(4) Adapter la constitution de 1992 à l’évolution de la société et
(5) Adapter la constitution aux directives de l’UEMOA (Union Economique Monétaire Ouest Africaine) dont le Mali est membre.
On parle de la violation de la souveraineté du Mali et de son intégrité territoriale en oubliant les rôles que devront jouer, en particulier à travers leurs souverainetés et le référendum, le peuple Malien, les communautés et les citoyens Maliens, sur l’ensemble du territoire, dans les régions et dans les communes du Mali mais aussi à l’international avec les Maliens établis à l’extérieur.
A travers ces rôles déterminants, voir au point 5 de cette lettre ouverte, nous devons, sans crainte, aller au référendum, la vérité triomphera.
Le peuple Malien, les communautés et les citoyens Maliens, de l’intérieur et de l’extérieur, et les collectivités territoriales, voteront au référendum pour le OUI ou bien pour le NON à cette constitution révisée.
L’insécurité, quoique grandissante, ne doit pas nous empêcher d’organiser le référendum car la sécurité sera renforcée partout au Mali avec une collaboration étroite avec les citoyens et entre les forces de défense et sécurité du Mali, Barkhane, la Minusma, et plus tard, la force conjointe du G5 Sahel.
Pour minimiser, voire éradiquer, cette insécurité, nous devons nous appuyer sur le renseignement et la coopération étroite entre toutes ces forces, voir, au point 2, l’interview, qu’a faite, MaliActu, de Dr Anasser Ag Rhissa.
Si on reporte les élections à cause de cette insécurité, cela veut dire qu’on fuit nos responsabilités et qu’on appelle, implicitement, les terroristes à venir nous tuer tous et/ou à nous prendre en otage et/ou à occuper notre pays en étant passifs en face d’eux.
La seule réplique valable et durable, c’est d’organiser notre référendum en l’entourant d’une sécurité optimale, le plus tôt possible, en impliquant toutes les forces vives Maliennes, indépendamment des bords politiques, pour permettre la poursuite de la mise en œuvre, stricte et sans complaisance, de notre accord de paix afin de garantir la paix, la sécurité et le développement durable résilient pour tous.
Nous verrons dans cette lettre ouverte, les points suivants :
– Consensus de fait sur la Révision de la constitution : événement démocratique et historique
– Interview de Dr Anasser Ag Rhissa par MaliActu sur la recrudescence des attaques terroristes, l’insécurité grandissante au Mali et les rôles des FAMAs, Barkhane et Minusma,
– Adapter la constitution aux dispositions de l’accord de paix,
– La régionalisation et la sauvegarde de la souveraineté nationale,
– Y-aura-t-il perte de souveraineté et de l’intégrité territoriale avec l’application de l’accord de paix et l’exigence des souverainetés des acteurs ?
– Nécessité du référendum, le plus tôt possible, sur la constitution révisée
– Conclusion
Consensus de fait sur la Révision de la constitution : événement démocratique et historique
Un projet de révision de la constitution de 1992 a été soumis par le Gouvernement Malien à l’assemblée nationale du Mali.
La commission LOIS constitutionnelles a été saisie par le Président de l’Assemblée de nationale pour cette révision de la constitution.
Pour une inclusivité maximale, elle a procédé à des écoutes et des consultations des forces vives (société civile, partis politiques, religieux, syndicats, collectivités territoriales, gouvernorats, …) de la nation et des institutions (ministères, institutions, administrations étatiques et privées, …) à Bamako et dans les régions du Mali. Des centaines d’écoutes et consultations ont été réalisées à partir d’un canevas type pour exprimer leurs préoccupations et leurs amendements.
Le Ministre des droits de l’Homme et de la réforme de l’Etat a procédé aussi à de telles écoutes et consultations.
La nuit du 02 au 03 juin 2017, cette dernière a adopté la nouvelle constitution après deux jours et deux nuits de débat auquel ont participé les députés de la majorité et ceux de l’opposition.
J’ai eu la chance de suivre les débats sur cette nouvelle constitution à l’assemblée nationale Malienne de bout-en-bout, c’était un réel événement démocratique et historique où les différentes tendances, opposition et majorité, se sont exprimées et ont engagé un débat démocratique à travers les amendements du texte de la constitution proposé par le gouvernement.
La majorité a présenté soixante quinze (75) amendements dont soixante six (66) ont été validés.
L’opposition a présenté quarante trois (43) amendements dont trente sept (37) ont été validés.
En définitif, Cent onze (111) députés ont voté POUR cette nouvelle constitution révisée, trente cinq (35) CONTRE et zéro (0) abstention.
Il est important de noter que l’assemblée nationale Malienne compte trente cinq (35) députés de l’opposition.
Lors de ce débat démocratique, la majorité et l’opposition se sont exprimées, à un ou deux cas près, avec respect mutuel et courtoisie.
Au vu du pourcentage d’amendements validés (88 pourcent pour la majorité contre 86 pourcent pour l’opposition), on peut dire qu’elles étaient pratiquement à « armes » égales.
Elles ont présenté pratiquement le même nombre d’amendements d’autant plus que comme le disait le Ministre des droits de l’Homme, Tapo Kassim, il y avait, à peu près, le même nombre d’amendements de part et d’autre car près de la moitié des soixante quinze amendements de la majorité était des amendements de forme (correction de fautes ou omission d’un mot ou des mots, …).
En définitif, on peut dire que la majorité et l’opposition ont pratiquement contribué à égalité à la révision de cette constitution de 1992.
SEULE CET ASPECT (POURCENTAGE AMENDEMENTS VALIDÉS) DEVRAIT AMENER A UN CONSENSUS, ENTRE L’OPPOSITION ET LA MAJORITÉ, POUR ALLER DÉMOCRATIQUEMENT, EN TOUTE COHÉSION, AU RÉFÉRENDUM.
Après que la constitution révisée ait été soumise par le gouvernement à la cour constitutionnelle pour étude de sa constitutionnalité, par la suite, elle fut promulguée par le Président de la République.
La constitution révisée était, donc, prête à être soumise au référendum du 09 juillet 2017.
Le référendum a été reporté à la demande de la cour constitutionnelle suite à la saisine, le 16 juin 2017, de cette dernière par l’opposition pour étudier, à nouveau, la constitutionnalité de la constitution révisée.
La cour constitutionnelle doit se prononcer sur cette constitutionnalité, au plus, le 16 juillet 2017.
Ce qui a motivé le report du référendum à une date ultérieure.
- Interview de Dr Anasser Ag Rhissa par MaliActu sur la recrudescence des attaques terroristes, l’insécurité grandissante au Mali et les rôles des FAMAs, Barkhane et Minusma
Le journal MaliActu a interviewé Dr Anasser Ag Rhissa sur les causes de la vulnérabilité de l’armée Malienne, la recrudescence des attaques terroristes contre l’armée Malienne et sur l’insécurité grandissante au Mali.
Vous trouverez ci-dessous cette interview, publiée le 19 mai 2017, réalisée par Aliou Hasseye de Maliactu.net.
Mali : INTERVIEW. Insécurité: « l’occupation du terrain » par l’armée, Barkhane et la Minusma « n’est pas suffisante même en période d’état d’urgence » (Dr Anasser Ag Rhissa, Expert en Sécurité)
Le Mali fait face depuis quelques mois à une recrudescence des attaques terroristes contre l’armée Malienne. En moins de trois mois, près d’une cinquantaine de militaires maliens ont été tués. Malgré les mesures annoncées par les autorités, les soldats Maliens continuent d’être exposés aux assauts meurtriers terroristes. Dr Anasser Ag Rhissa est Expert TIC, Gouvernance et Sécurité, dans cette interview, analyse les causes de la vulnérabilité de l’armée Malienne.
Mali Actu : Selon vous, quelles sont les principales difficultés de l’armée malienne dans cette guerre contre le terrorisme ?
Dr Anasser Ag Rhissa : Les principales difficultés de l’armée Malienne dans cette guerre contre le terrorisme sont liées (1) à l’aspect asymétrique de cette guerre, (2) le manque de moyens idoines (moyens aériens et renseignements insuffisants), (3) le manque de coopération de la population, (4) le manque d’un front uni bien organisé contre le terrorisme au Mali et dans la zone sahel et (5) à la synchronisation et à la collaboration qui ne sont pas parfaites entre les forces de défense et sécurité du Mali, incluant les FAMAs (Forces Armées MAliennes), et les forces Barkhane et Minusma.
Il est important de noter que les forces Maliennes contre le terrorisme existent dans l’armée mais aussi dans les forces de sécurité du Mali.
MaliActu : Comment analysez-vous la recrudescence des attaques meurtrières contre l’armée malgré la présence de Barkhane et la Minusma à ses côtés ?
Dr Anasser Ag Rhissa : L’insuffisance de la synchronisation et la collaboration non étroite entre les forces de défense et sécurité Maliennes, dont l’armée, et les forces Barkhane et Minusma ont favorisé la recrudescence des attaques meurtrières contre elles, dont l’armée, mais aussi contre la Minusma et Barkhane.
J’avais déjà écrit des lettres ouvertes pour solliciter qu’il y ait une étroite collaboration entre les forces de défense et sécurité Maliennes, Barkhane et la Minusma pour l’efficacité de leurs actions sur le terrain.
Le camp terroriste est organisé et pratique la guerre asymétrique avec des attaques à des endroits différents et à des heures différentes.
Voyant que les défenseurs de la paix, à travers la mise en œuvre de l’accord de paix, tardent à généraliser le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) et à démarrer le DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion), ils en profitent pour tenter de généraliser la terreur et la phobie à travers ces attaques meurtrières.
De même, l’annonce de la force G5 Sahel contre le terrorisme les pousse à faire croire à un embrasement généralisé pour faire peur et pour montrer qu’ils occupent le terrain.
MaliActu : Ces attaques en période d’état d’urgence mettent-elles en cause l’efficacité de cette mesure ?
Dr Anasser Ag Rhissa : Ces attaques montrent seulement que l’occupation du terrain par les forces de défense et sécurité du Mali, appuyées par Barkhane et Minusma, n’est pas suffisante même en période d’état d’urgence.
Elles appellent à la nécessité d’accélérer le MOC, le DDR et la formation des forces de défense et sécurité reconstituées du Mali et leur opérationnalisation partout au Mali.
MaliActu : Existe-t-il un parallèle entre la lente mise en œuvre de l’accord de paix et le climat d’insécurité grandissante ?
Dr Anasser Ag Rhissa : Effectivement, la nature a horreur du vide, d’où l’insécurité grandissante.
MaliActu : Quel impact pourrait avoir les 5000 nouvelles recrues annoncées au sein des forces de défense et de sécurité ?
Dr Anasser Ag Rhissa : A court terme, amélioration du moral et de la confiance des troupes qui se rendent compte que la haute autorité pense à elles. A moyen et long termes, ces recrues pourront avoir un effet positif. Elles seront adéquatement formées, ce qui contribuera à la professionnalisation de nos forces de défense et sécurité. La nouvelle loi d’orientation de la sécurité et celle, un peu plus ancienne, de la défense aidera à cela.
- Adapter la constitution aux dispositions de l’accord de paix
Concernant la mise en œuvre de l’accord de paix, compte-tenu du fait que le transfert de pouvoir et de compétences aux régions se feront à travers la loi, seuls quelques articles seront ajoutés dans la constitution.
La constitution, une fois modifiée, en y ajoutant tous les articles nécessaires pour la mise en œuvre de l’accord, cas, par exemple, de la création du sénat, fera l’objet d’un référendum pour son adoption. Ce qui se fera bientôt.
La mise en œuvre de l’accord se fera graduellement : on travaillera, dans un premier temps, avec la constitution actuelle et des lois pour le transfert de compétences aux régions et, dans un deuxième temps, on fera adopter la constitution modifiée à travers le référendum.
Je rappelle que l’article 3 de l’accord protège l’accord contre toute violation de la constitution. La mise en œuvre graduelle de l’accord tiendra compte de cela.
Donc, les articles, qui seront rajoutés ou modifiés dans la constitution, une fois la constitution modifiée adoptée, pourront être mis en œuvre : c’est ainsi qu’on évitera la violation de la constitution à travers l’article 3 de l’accord de Bamako.
Vous voyez que l’incidence sur la constitution de l’accord de paix ne sera pas une révolution, comme semble l’insinuer certains, à plus forte raison plus qu’une révolution, comme le disait Me Mamadou Ismaïla Konaté (actuel Ministre de la justice), mais juste un changement qui se fera graduellement.
Il est à noter que toutes les dispositions (art 4) s’appliquent en général à toutes les régions du Mali sauf celles dédiées exclusivement pour les régions du nord du Mali (afin de rattraper les retard et que leur indice de développement humain soit égal à la moyenne de ceux des autres régions du Mali).
Il est à noter que l’accord de paix apporte un équilibre sur plusieurs points :
– dans son article 17, un des points retenus concerne l’inclusivité et la représentation significative de toutes les populations du Mali dans les forces de défense et sécurité du Mali.
– L’intégration/réintégration/réinsertion dans les forces de défense et sécurité du Mali se feront en utilisant des critères, qui seront les mêmes pour tous.
– dans ses articles 1 et 5, respectivement, l’accord met en avant pour toutes les régions, la promotion du développement équilibré et la régionalisation, avec au centre de leurs gouvernances et gestions, des ressortissants de ces régions.
– dans l’article 32, au moins deux régions quelconques parmi les régions du Mali pourront promouvoir leur développement si elles le souhaitent.
Cet accord n’est pas idéal mais il est acceptable car il est issu d’un compromis multi-parties prenantes Maliennes, sous la supervision de la médiation internationale, à travers des pourparlers inclusifs inter-Maliens.
Il représente un grand espoir pour les Maliens.
Il faut l’union de TOUS les Maliens, indépendamment des bords politiques, pour mettre en œuvre cet accord. Donc, l’implication et la participation de TOUS est indispensable.
La prise en compte de la constitution modifiée fera partie des éléments de mise en œuvre de l’accord de paix.
- La régionalisation et la sauvegarde de la souveraineté nationale
La décentralisation et son opérationnalisation, la régionalisation, prévoient un Etat décentralisé avec partage de pouvoir (art 6 de l’accord de paix), des missions, des responsabilités, des compétences et des attributions avec les collectivités territoriales.
Ce partage ne doit pas être vu comme un effondrement ou un démantèlement de l’Etat central ou une perte de souveraineté.
Malheureusement, c’est ainsi que certains l’interprètent à travers l’élection des présidents de régions au suffrage universel direct.
Les régions seront autonomes dans le cadre de cette régionalisation à travers leur libre administration avec les populations et les ressortissants de ces régions qui seront au centre de leurs gestions et gouvernances.
Le peuple sera au centre de la gouvernance et de la gestion des régions et des collectivités territoriales.
Le contrôle de la légalité des opérations des collectivités territoriales sera assuré par le représentant de l’Etat central.
La coopération entre l’Etat central et les régions existeront.
Ce n’est pas grave qu’il y ait des régions qui créent des services et établissent des relations, avec des partenaires et/ou d’autres régions, leur permettant de se développer rapidement.
On aboutira à des régions puissantes mais ce n’est pas ce qui les rendra indépendantes ou les rattachera à d’autres pays ou fera perdre au Mali sa souveraineté.
Il y aura toujours des enjeux et des intérêts géostratégiques et géopolitiques et l’effet de la glocalisation (impact aux niveaux local et régional de la mondialisation) dont nos communes et nos régions pourront être victimes, mais, à travers leur responsabilisation et leur renforcement de capacités, elles sauront gérer adéquatement les situations qui se présenteront en préservant leurs souverainetés et en contribuant à préserver celle du Mali.
- Y-aura-t-il perte de souveraineté et de l’intégrité territoriale avec l’application de l’accord de paix et l’exigence des souverainetés des acteurs ?
5.1. Garantir tous la souveraineté du Mali, de ses régions et de ses communes
D’après le constitutionaliste Allemand, Georg Jellinek, la souveraineté est la compétence des compétences.
Le souverain peut être l’Etat ou un citoyen ou une région ou une commune ou un peuple ou une nation, …. Le souverain est celui qui décide, qui a le pouvoir de commander et comment il lui a été conféré.
Le souverain peut déléguer ou transférer des compétences sans porter atteinte à sa souveraineté (ses fonctions régaliennes) tant qu’il possède la possibilité de reprendre ces compétences.
On peut, donc, faire du partage ou de transfert de souveraineté, exemples, transferts de la souveraineté de l’Etat aux citoyens, aux régions, aux communes, au peuple et à la nation.
D’où plusieurs formes de souveraineté :
– la souveraineté de l’Etat : administration organisée à l’intérieur de l’Etat, exercée à travers l’autorité (gouvernement légitime) et le contrôle (police et loi).
– celle qui est conférée à un citoyen, souveraineté appartenant à un citoyen, exercée à travers le suffrage universel direct,
– celle qui est conférée au peuple : souveraineté populaire (souveraineté appartenant au peuple), exercée à travers des mandataires du peuple agissant pour les intérêts de leurs électeurs,
– celle conférée à la nation : souveraineté nationale (souveraineté appartenant à la nation), exercée à travers des représentants de la nation (régime représentatif), agissant pour l’intérêt général, et à travers le référendum.
Ce n’est pas ce partage ou transfert de souveraineté qui fera perdre au Mali sa souveraineté.
Théoriquement, en droit international, tous les états sont égaux et indépendants (souverains).
Mais est-ce toujours possible ?
En pratique, des Etats peuvent être influencés et même contrôlés par d’autres états ou des organisations internationales.
Il peut y avoir des impacts sur leurs souverainetés à travers, par exemples :
– la coopération et les relations internationales,
– la glocalisation ou la mondialisation ou les liens géostratégiques et géopolitiques,
L’accord de paix, à travers la régionalisation, le transfert des compétences et du pouvoir vers les citoyens, les communes, les régions, le peuple et la nation tout en garantissant les fonctions régaliennes de l’Etat, permettra au Mali de garder sa souveraineté à travers les différentes formes de souverainetés, qui, avec une utilisation et une coopération intelligentes, un renforcement de capacités, une veille et une implication de tous pour la mise en œuvre de cet accord et pour son suivi, éviteront que le Mali soit influencé voire contrôlé par des organisations ou des puissances extérieures.
Chacun (e) doit être gardien de la souveraineté du Mali, à travers la sienne, celle de sa commune, de sa région, de la nation et l’impact de la glocalisation, de la mondialisation, des coopérations, des relations internationales et des intérêts géostratégiques et géopolitiques sur cette dernière.
Pour la sauvegarder, l’implication et la participation de tous/toutes est indispensable.
5.2. Agir tous pour l’intégrité territoriale du Mali en appliquant intégralement et strictement l’accord de paix
On a vu précédemment, qu’à travers l’application, stricte et sans complaisance, de l’accord de paix, que tous les Maliens sont garants de la souveraineté du Mali, de ses régions et de ses communes.
C’est aussi le cas de l’intégrité territoriale.
Sachant que la constitution actuelle (de 1992) que nous utilisons, stipule dans son article 118 le respect de l’intégrité territoriale du Mali au risque de l’impossibilité de la révision de la constitution, nous sommes obligés d’aller vite dans l’application de l’accord de paix à Kidal afin de libérer Kidal et respecter cette intégrité territoriale même s’il ne s’agit pas d’une occupation par une puissance étrangère.
Kidal est occupée par la CMA, une des parties prenantes à l’accord de paix. La CMA a signé l’accord de paix, donc, s’engage à respecter l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale, qui sont des principes sur lesquels se repose l’accord de paix.
Sachant que le référendum, pour la validation par le peuple de la constitution modifiée, a été repoussé, au moins une semaine avant la prochaine date du référendum, Kidal devrait être libérée en y restaurant les services de base de l’administration, le MOC (Mécanisme Opérationnel de coordination), en y permettant le retour des réfugiés et la possibilité de tout Malien de s’y rendre.
Il y a de quoi être optimiste, au sortir de la réunion, des différentes parties prenantes à l’accord de paix, organisée, à Bamako, par le Premier Ministre, Abdoulaye Idrissa MAIGA, le 20 juin 2017, il ressort qu’avant le 31 juillet 2017, l’administration Malienne sera implantée à Kidal, le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) et les autorités intérimaires assureront leurs fonctions dans toutes les régions du nord du Mali.
Seule une mise en œuvre, stricte et sans complaisance, de l’accord de paix, à travers l’organisation, le plus tôt possible, du référendum en l’entourant d’une sécurité optimale, nous permettra de garantir l’intégrité territoriale, la souveraineté nationale, développement durable résilient, la paix et la sécurité pour TOUS/TOUTES.
- Nécessité du référendum, le plus tôt possible, sur la constitution révisée ?
Il serait judicieux, pour permettre (1) de sensibiliser sur la constitution et le référendum et (2) aux différents acteurs d’avoir assez de temps pour se comprendre, de placer le référendum en fin août ou fin septembre 2017.
Il est nécessaire que le Premier Ministre, le Haut Représentant du Président de la République et le Ministre des droits de l’Homme appellent à une concertation de tous les acteurs, opposition et majorité et société civile, pour aplanir les divergences et converger vers la nécessité d’un référendum, comme seule possibilité viable et durable, pour départager les partisans du OUI et ceux du NON.
Contrairement à ce que disent ceux qui supportent le NON au référendum, l’organisation, le plus tôt possible, du référendum est urgente afin de permettre la mise en œuvre intégrale de l’accord de paix, de faire face à l’insécurité grandissante et aux terrorismes au Mali et AFIN d’aboutir à une paix, une sécurité et un développement durable résilient du Mali.
- Conclusion
Seule une mise en œuvre, stricte et sans complaisance, de l’accord de paix, à travers l’organisation, le plus tôt possible, du référendum en l’entourant d’une sécurité optimale, nous permettra de garantir l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale.
Si on reporte les élections à cause de l’insécurité, cela veut dire qu’on fuit nos responsabilités et qu’on appelle, implicitement, les terroristes à venir nous tuer tous et/ou à nous prendre en otage et/ou à occuper notre pays en étant passifs en face d’eux.
La seule réplique valable et durable, c’est d’organiser notre référendum, le plus tôt possible, en impliquant toutes les forces vives Maliennes, indépendamment des bords politiques, pour permettre la poursuite de la mise en œuvre, stricte et sans complaisance, de notre accord de paix afin de garantir la paix, la sécurité et le développement durable résilient pour tous.
Pendant ces jours de fête de Ramadan et les jours suivants, que Dieu nous aide à prendre nos responsabilités dans ce sens et apporte la concorde entre tous les fils et toutes les filles du Mali.
Amine.
- Contact
Dr Anasser Ag Rhissa
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 00223 78 73 14 61 // 00223 95 58 48 97
Bonjour,
Merci des contributions et des réponses des uns et des autres sur la révision constitutionnelle et le référendum qui la validera.
Je rappelle qu’au vu du pourcentage d’amendements validés, 88 (quatre vingt huit) pourcent pour la majorité contre 86 (quatre vingt six) pourcent pour l’opposition, on peut dire qu’elles étaient pratiquement à « armes » égales.
Elles ont présenté pratiquement le même nombre d’amendements d’autant plus que comme le disait le Ministre des droits de l’Homme, Tapo Kassoum, il y avait, à peu près, le même nombre d’amendements de part et d’autre car près de la moitié des soixante quinze amendements de la majorité était des amendements de forme (correction de fautes ou omission d’un mot ou des mots, …).
En définitif, on peut dire que la majorité et l’opposition ont pratiquement contribué à égalité à la révision de cette constitution de 1992.
SEUL CET ASPECT (POURCENTAGE D’AMENDEMENTS VALIDÉS) DEVRAIT AMENER A UN CONSENSUS, ENTRE L’OPPOSITION ET LA MAJORITÉ, POUR ALLER DÉMOCRATIQUEMENT, EN TOUTE COHÉSION, AU RÉFÉRENDUM.
Ne nous trompons pas, la constitution révisée est claire.
Je rappelle que l’ancienne constitution de 1992, tout comme la constitution révisée, impose un mandat de cinq ans pour le Président de la République renouvelable une seule fois.
La durée du mandat du Président de la République ne peut être changée qu’à travers un référendum.
Ce qui évite, comme dans la constitution actuelle de 1992, que le Président s’éternise au pouvoir
Contrairement à ce que certains pensent, dans la nouvelle constitution révisée, il sera possible que le parlement, constitué par l’assemblée nationale et le sénat, puisse effectuer certaines modifications de la constitution si les quatre cinquième (4/5) des membres du parlement l’acceptent MAIS ces modifications ne pourront pas remettre en cause la durée du mandat du Président de la République ni le nombre de mandat possible (maximum 2) qui ne pourront se faire qu’à travers le référendum.
Donc, la constitution révisée apporte une certaine flexibilité contrôlée par rapport à celle de 1992.
Contrairement à ce que disent certains, ni IBK ni un autre Président ne pourra s’éterniser au pouvoir.
Au Mali le référendum servira à débloquer l’accord de paix du Mali, issu d’un consensus multi parties prenantes maliennes sous la supervision de la médiation internationale, dont certaines dispositions ne pourront être mises en œuvre que si elles sont intégrées dans la constitution.
La poursuite de l’accord de paix est, donc, conditionnée à la tenue du référendum.
Une fois la constitution révisée adoptée par le peuple, à travers un référendum, on mettra en œuvre intégralement l’accord de paix, ce permettra, entre autres, d’apporter les réponses idoines aux questions institutionnelles, sécuritaires/défense, économiques, de justice, d’inclusivité et de représentativité à travers le sénat.
Aidées par les lois d’orientation et programmation militaire et de sécurité, les réponses aux aspects sécuritaires/défense permettront d’avoir des forces de défense et sécurité Maliennes reconstituées, formées et professionnelles, à même de défendre le pays et les populations et de lutter, efficacement, contre le terrorisme, le trafic de toute sorte (trafic de drogue, trafic des humains, …), l’insécurité et la criminalité transfrontalière.
Elles travailleront en étroite coopération avec les populations, les pays voisins, Barkhane, Minusma et les partenaires au niveau international pour une réponse efficace contre le terrorisme.
Les forces conjointes, telle que celle en préparation du G5 Sahel, travailleront en symbiose et en étroite synchronisation avec les forces nationales.
Ces dernières, cas des forces de défense et sécurité du Mali, s’occuperont de la défense et sécurité du pays, de ses collectivités territoriales, des personnes et des biens aux niveaux national, régional (sous-régional) et local.
Quant aux forces conjointes, elles doivent principalement gérer les frontières respectives. Des contrats, avec partage des responsabilités et synchronisations idoines, doivent être définis pour ce faire afin d’éviter d’éventuels problèmes (contradictions entre membres, trahison, travail partiel ou inachevé, …).
Le front uni formé par les défenseurs de la paix, les parties prenantes Maliennes, les partenaires de la médiation internationale et d’autres partenaires œuvrant pour la paix dont ceux participant aux forces conjointes, aidé par les populations luttera efficacement, entre autres, contre le terrorisme, le trafic de drogue et la criminalité transfrontalière, en s’aidant d’un système d’intelligence stratégique de renseignement national interconnecté avec les niveaux sous-régional, régional et international.
Malgré l’intérêt de la constitution des forces nationales et conjointes fortes et professionnelles, le sénat ne doit pas être négligé.
Ce dernier est nécessaire pour la représentativité et l’inclusivité des collectivités territoriales et de la diaspora au risque de générer une injustice qui pourrait être payée plus cher plus tard.
Ne négligeons pas les aspects inclusivité qui contribuent à la cohésion nationale.
Ouvrons-nous les uns aux autres et unissons-nous autour de notre référendum, indépendamment des bords politiques, pour garantir la cohésion nationale, l’unité nationale et l’intégrité territoriale.
Une fois de plus, ce qui est judicieux à faire maintenant, c’est que chaque camp mobilise ses partisans, la vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Président de l’ONG TILWAT International
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL (00223) 95 58 48 97
Il faut que vous le sachiez, pauvre lâche Anasser Ag Rhissa: les maliens dignes et sincères ne supportent plus vos acrobaties alimentaires.
On a l’impression que vous avez eu ton doctorat plutôt en courbettes et en opportunisme.
Jamais je ne sentirai de la fraternité pour un lâche et un opportuniste comme vous.
Contrairement à certains, j’ai de l’estime pour le bellah qui peut avoir de la dignité comme toutes les autres ethnies et qui a été seulement injustement défavorisé à un moment (dans l’histoire car l’esclavage est une barbarie, c’est souvent arrivé à d’autres ethnies).
Les bellah sont issus de toutes les ethnies: bambaras, dogons, peulhs, arabes, tamashèques soninkés, etc).
L’indignité n’est pas liée à l’ethnie ou la tribue mais à l’attitude comme la tienne.
Ce qui est détestable, ce sont vos réactions intéressées qui sont moins analytiques qu’elles ne visent à plaire le pouvoir pour obtenir un intérêt inavoué.
Pensez à l’image de lâche et de suppôt que vous allez laisser pour votre progéniture, espèce de molosse.
Par finir, les maliens vous feront la peau.
Malien
Bonjour,
Merci Malien de votre commentaire.
Vous usurpez un pseudo contenant mon nom et prénom.
Je vous interdit d’utiliser mon nom et prénom dans vos pseudos.
SOYEZ RESPONSABLE, UTILISEZ VOS PROPRES NOM ET PRÉNOM.
Quant à cette lettre ouverte, je cherche à unir mes frères et sœurs et à partager avec eux des solutions de sortie de crise.
Si c’est à cause de cela que vous et LES MALIENS, comme dit un internaute qui me qualifie de gros BELLAH, ME FERONT LA PEAU ou me LYNCHERONT, comme dit un autre internaute dont le nom commence par Le narcissiste, AGISSEZ SI VOUS PENSEZ QUE C’EST HONNÊTE, RÉFLÉCHI ET IDOINE POUR ÉRADIQUER DÉFINITIVEMENT NOTRE CRISE.
Je serai heureux d’un tel geste (les maliens me feront la peau, vous dites) s’il résoudra définitivement le problème du Mali.
Si c’est le cas, passez, donc, à l’action.
Le lâche, n’est-il pas celui qui menace d’agir, sans raison, à la manière d’un molosse sauvage ?
Arrêtons les amalgames malsains, les insultes et Établissons la concorde entre nous afin d’aller unis, indépendamment des bords politiques, au référendum pour le bonheur des Maliens.
La vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 95 58 48 97
ANASSER AG RHISSA, VOUS VOYEZ : CE N’ EST PLUS BANCONI FATO, NI NYAMANTO DE TOMINIAN, OU ENCORE MOINS MOI, DIEU, QUI VOUS DIT DE DÉGAGER, MAIS TOUT MONDE !
PLUS AUCUNE RÉACTION POSITIVE Á VOS ” LETTRE OUVERTE”, NULLE PART !
SEUL CONTRE TOUS … ! RIDICULE …!
LA DIGNITÉ EXIGE QUE VOUS VOUS METTIEZ LA CORDE AU COU… , MAIS LE FORMATAGE FRANCAFRICAIN Á LA LACHETÉ ET AU LARBINISME VOUS BLOQUENT QUAND IL FAUT PASSER Á L’ ACTE NOBLE DU SUICIDE NÉCESSAIRE, ICI ET DANS VOTRE CAS.
ENFIN SOYEZ BRAVE, SAUTEZ ! FAITES CADEAU Á LA NATION MALIENNE, AU MONDE ENTIER !
Bonjour,
Merci Banconi Fato, qui se dit Dieu, de vos amalgames répétitifs et malsains.
Qu’ai-je fais pour quitter le site ou pour me mettre la corde au cou ou pour me suicider ?
Juste faire des propositions, basées sur la vérité, à mes frères et sœurs sur la crise qui n’a que trop duré.
Bien sûr, ces propositions ne semblent pas vous intéresser, vous préférez vos amalgames, contre vérités, insultes et indexations sans preuve.
CE N’EST PAS AINSI QU’ON SORTIRA DE LA CRISE.
CELUI QUI, COMME VOUS, BRASSE LES CONTRE VÉRITÉS, LES INSULTES, LES AMALGAMES ET LES INDEXATIONS INJUSTIFIÉES A, EN PRINCIPE, DES RAISONS VALABLES DE SE SUICIDER, CE N’EST PAS MON CAS.
Référez-vous sur Maliweb et ailleurs au nombre de “J’aime” concernant cette lettre ouverte.
RESPECTEZ CES CENTAINES, VOIRE MILLIERS, DE LECTEURS, SUR INTERNET ET LES RÉSEAUX SOCIAUX (FACEBOOK, …), QUI AIMENT CETTE LETTRE OUVERTE.
L’honnêteté exige de vous que vous vous taisiez et que vous ayez honte devant l’évidence (la vérité) qui est contraire de ce que vous dites.
Sans compter le nombre très élevé des personnes qui me téléphonent ou m’envoient des messages de félicitation.
Tout cela montre le haut crédit accordé à mes contributions, lettres ouvertes et à ma parole basées sur la vérité.
Vous savez, on ne peut pas travestir la vérité.
Encore une fois, arrêtons les amalgames malsains basés sur des contre vérités, les indexations injustifiées, les insultes et Établissons la concorde entre nous afin d’aller unis, indépendamment des bords politiques, au référendum pour le bonheur des Maliens.
La vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 95 58 48 97
De Amassar je suis titulaire d’un doctorat en relations internationales je vous pose une question très bête
– dans quel pays et dans quelle histoire vous avez vu un référendum ramener la fin du terrorisme ?
La fin du terrorisme dépendra de la fin du traffic de drogue
– le référendum n’aura pas lieu pour la simple raison que IBK veut un 2eme mandat
Bonjour,
Merci Gamou de votre message.
Vous êtes titulaire d’un doctorat mais vous oubliez le contexte Malien, la glocalisation de l’insécurité (impact aux niveaux local/régional/national de la mondialisation de l’insécurité) et les enjeux géostratégiques.
Vous oubliez que chaque pays dispose de ses artifices pour lutter contre le terrorisme.
Dans le cas du Mali, le référendum au Mali servira à débloquer l’accord de paix du Mali, issu d’un consensus multi parties prenantes maliennes sous la supervision de la médiation internationale, dont certaines dispositions ne pourront être mises en œuvre que si elles sont intégrées dans la constitution.
La poursuite de l’accord de paix est, donc, conditionnée à la tenue du référendum.
Une fois la constitution révisée adoptée par le peuple, à travers un référendum, on mettra en œuvre intégralement l’accord de paix, ce permettra, entre autres, d’apporter les réponses idoines aux questions institutionnelles, sécuritaires/défense, économiques, de justice, d’inclusivité et de représentativité à travers le sénat.
Aidées par les lois d’orientation et programmation militaire et de sécurité, les réponses aux aspects sécuritaires/défense permettront d’avoir des forces de défense et sécurité Maliennes reconstituées, formées et professionnelles, à même de défendre le pays et les populations et de lutter, efficacement, contre le terrorisme, le trafic de toute sorte (trafic de drogue, trafic des humains, …), l’insécurité et la criminalité transfrontalière.
Elles travailleront en étroite coopération avec les populations, les pays voisins et les partenaires au niveau international pour une réponse efficace contre le terrorisme.
Le front uni formé par les défenseurs de la paix, les parties prenantes Maliennes, les partenaires de la médiation internationale et d’autres partenaires œuvrant pour la paix, aidé par les populations luttera efficacement, entre autres, contre le terrorisme, le trafic de drogue et la criminalité transfrontalière, en s’aidant d’un système d’intelligence stratégique de renseignement national interconnecté avec les niveaux sous-régional, régional et international.
Ne vous trompez pas, la constitution révisée est claire.
Je rappelle que l’ancienne constitution de 1992, tout comme la constitution révisée, impose un mandat de cinq ans pour le Président de la République renouvelable une seule fois.
La durée du mandat du Président de la République ne peut être changée qu’à travers un référendum.
Ce qui évite, comme dans la constitution actuelle de 1992, que le Président s’éternise au pouvoir.
Dans la nouvelle constitution révisée, il sera possible de le parlement, constitué par l’assemblée nationale et le sénat, puisse effectuer certaines modifications de la constitution si les quatre cinquième (4/5) des membres du parlement l’acceptent MAIS ces modifications ne pourront pas remettre en cause la durée du mandat du Président de la République ni le nombre de mandat possible (maximum 2) qui ne pourront se faire qu’à travers le référendum.
Donc, la constitution apporte une certaine flexibilité contrôlée par rapport à celle de 1992.
Ni IBK ni un autre Président ne pourra s’éterniser au pouvoir.
Je rappelle qu’au vu du pourcentage d’amendements validés, 88 (quatre vingt huit) pourcent pour la majorité contre 86 (quatre vingt six) pourcent pour l’opposition, on peut dire qu’elles étaient pratiquement à « armes » égales.
Elles ont présenté pratiquement le même nombre d’amendements d’autant plus que comme le disait le Ministre des droits de l’Homme, Tapo Kassoum, il y avait, à peu près, le même nombre d’amendements de part et d’autre car près de la moitié des soixante quinze amendements de la majorité était des amendements de forme (correction de fautes ou omission d’un mot ou des mots, …).
En définitif, on peut dire que la majorité et l’opposition ont pratiquement contribué à égalité à la révision de cette constitution de 1992.
SEUL CET ASPECT (POURCENTAGE D’AMENDEMENTS VALIDÉS) DEVRAIT AMENER A UN CONSENSUS, ENTRE L’OPPOSITION ET LA MAJORITÉ, POUR ALLER DÉMOCRATIQUEMENT, EN TOUTE COHÉSION, AU RÉFÉRENDUM.
Ce qui est judicieux à faire maintenant, c’est que chaque camp mobilise ses partisans, la vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL (00223) 95 58 48 97
ce faux docteur Agent, il est l’ ennemie de la nation . on doit jamais donner un crédit à sa parole .
Bonjour,
Merci Dohor de votre affirmation sans preuve.
Vous vous trompez, je défends mon pays auquel j’apporte des solutions idoines, telles que cette lettre ouverte, pour unir les fils et filles du pays autour du référendum.
Vos indexations mensongères sont sans effet car :
– ne suis l’ennemi de personne ni de la nation.
– ne suis l’agent d’aucune entité.
Vous savez des centaines, voire des milliers, d’internautes sur internet et les réseaux sociaux (facebook, twetter, …) apprécient cette lettre ouverte, en particulier, regardez le nombre de “j’aime” sur MALIWEB
Sans compter le nombre très élevé des personnes qui me téléphonent ou m’envoient des messages de félicitation.
Tout cela montre le haut crédit accordé à mes contributions, lettres ouvertes et à ma parole basées sur la vérité.
Vous savez, on ne peut pas travestir la vérité.
Arrêtons les amalgames malsains basés sur des contre vérités, les indexations injustifiées, les insultes et Établissons la concorde entre nous afin d’aller unis, indépendamment des bords politiques, au référendum pour le bonheur des Maliens.
La vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 95 58 48 97
Si nous sommes tous des maliens, nous préférons tous par delà tout la paix et la sécurité avant tout. En quoi avoir la paix et la sécurité dans notre pays est une menace pour qui que ce soit? Travaillons à amener la paix et la sécurité dans notre pays d’abord, puis au referendum sur la fédération ou le démantèlement de ce pays de misère. On nous avait vanté la magie cet “Accord-Désaccord”, la panacée, le meilleur de tout ce qu’il y’a jamais eu cette terre. Conclusion plus de morts, plus d’insécurité, plus de violence …
Si l’on peut s’acharner sur la constitution, on peut aussi adapter l’accord aux dispositions de la constitution. L’accord n’était que le résultat d’une capitulation. Qu’il ose soumettre l’accord à une approbation nationale et on verra le résultat.
Mon cher ami, je comprends ton appréhension, mais ce qu’il faut comprendre c’est le Président est vomi par le peuple malien, au point que tout ce qu’il entreprend est aussitôt contesté, mais les dispositions les plus légitimes. Sinon, tout le monde sait que la Constitution doit être révisée aux fins de la conformer aux nouvelles réalités de l’heure.
Bonsoir,
Merci chers frères Yugubané et tous ceux qui ont répondu à cette lettre ouverte.
Merci à ceuxµ, très nombreux, qui m’ont appelé ou envoyé des messages de félicitation et pour les centaines, voire milliers, sur internet (Maliweb, Abamako, Koulouba, Niarela, …) et les réseaux sociaux (facebook, twetter, …) qui apprécient cette lettre ouverte portant sur :
ORGANISER, LE PLUS TOT POSSIBLE, LE RÉFÉRENDUM AU MALI EST LA SEULE RÉPLIQUE VALABLE ET DURABLE AU TERRORISME, L’INSÉCURITE ET LA PARTITION DE NOTRE PAYS.
Parmi ceux qui ont répondu en ligne sur Maliweb, voir ci-dessous, certains d’entre eux ont confondu l’objectif de cette lettre ouverte (aller, unis, au référendum) à son auteur, que je suis.
Ces derniers utilisent des pseudos intégrant des amalgames et des insultes, à tort, dans leurs messages. Certaines de ces insultes tendent vers de la discrimination.
Est-ce normal entre frères et soeurs d’un même pays ?
Merci Yugubané de reconnaître que je suis un cadre compétent et que je fais partie des Maliens les plus valables.
Merci Yugubané de la reconnaissance de ce que je suis et de mes mérites.
Je suis ambitieux, responsable et patriote, je propose des solutions de sortie de crise à mon pays.
SI C’EST CELA QUI ME REND OPPORTUNISTE, JE LE SUIS.
Quant à ma candidature pour être Premier Ministre, je suis convaincu que j’ai les compétences idoines sinon je ne me serai pas proposé.
Je remercie Yugubané d’avoir supporté ma candidature pour ce poste de Premier Ministre.
QUELQU’UN DE VALABLE, ABDOULAYE IDRISSA MAIGA, A ETE CHOISI COMME PREMIER MINISTRE, J’EN SUIS HEUREUX.
Quant à cette lettre ouverte, je cherche à unir mes frères et sœurs et à partager avec eux des solutions de sortie de crise.
Si c’est à cause de cela que LES MALIENS, comme dit un internaute qui me qualifie de gros BELLAH, ME FERONT LA PEAU ou me LYNCHERONT, comme dit un autre internaute dont le nom commence par Le narcissiste, QU’ILS AGISSENT S’ILS PENSENT QUE C’EST HONNETE, REFLECHI ET IDOINE POUR ERADIQUER DEFINITIVEENT NOTRE CRISE.
Je serai heureux d’un tel geste (me faire la peau ou me lyncher disent-ils) s’il résoudra définitivement le problème du Mali.
Arrêtons les amalgames malsains, les insultes et Etablissons la concorde entre nous afin d’aller unis, indépendamment des bords politiques, au référendum pour le bonheur des Maliens.
La vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 95 58 48 97
Ce DR peut-il nous indiquer ce que les autres parties ont fait depuis la signature du fameux accord pour la paix…le Cantonnement? Le désarmement?les patrouilles mixtes? Le retour de l’administration à kidal? Bande d’opportunistes.
APPEL DE Dr ANASSER AG RHISSA A LA CMA
Bonjour,
Bonne fête de ramadan à tous/toutes.
Bonne arrivée à Sidi Brahim Ould Sidatt comme Président de la CMA.
CE QUE NOUS SOUHAITONS, C’EST JUSTE UNE MISE EN ŒUVRE STRICTE ET SANS COMPLAISANCE DE L’ACCORD DE PAIX.
La CMA est souvent pointée du doigt pour les retards de l’accord de paix, Sidi Brahim Ould Sidatt est attendu pour corriger ce point et contribuer à une mise en œuvre stricte et sans complaisance de l’accord de paix en liaison avec les autres parties prenantes.
Suite à la rencontre, du 20 juin 2017, qu’a eue le Premier Ministre, Abdoulaye Idrissa MAIGA, avec les parties prenantes à l’accord et la médiation internationale, la date buttoir du 31 juillet 2017 est importante pour permettre le retour du gouverneur, le fonctionnement normal des autorités intérimaires, le retour des réfugiés, la restauration des services de base et de l’administration à Kidal ainsi que l’installation du MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination).
Tous ces aspects, à Kidal et dans les autres régions du nord du Mali, doivent être achevés avant le référendum sur la constitution révisée.
Ils contribueront à installer la confiance entre Maliens.
Je lance un appel à la CMA pour aider à installer cette confiance et permettre, A TRAVERS LA SYNCHRONISATION AVEC LES AUTRES PARTIES PRENANTES A L’ACCORD DE PAIX, LES FORCES DE DÉFENSE ET SÉCURITÉ DU MALI, BARKHANE ET LA MINUSMA, la tenue du référendum partout au Mali, en particulier à Kidal, dans de bonnes conditions sécuritaires.
Je viens d’écrire une lettre ouverte en ligne qui va dans ce sens, elle est intitulée :
ORGANISER, LE PLUS TÔT POSSIBLE, LE RÉFÉRENDUM AU MALI EST LA SEULE RÉPLIQUE VALABLE ET DURABLE AU TERRORISME, A L’INSÉCURITÉ ET A LA PARTITION DE NOTRE PAYS.
Elle est adressée au Président de la République, au Premier Ministre, aux Maliens, aux partenaires et aux regroupements armés, CMA et Plateforme.
Vous la trouverez à l’adresse suivante :
http://www.maliweb.net/contributions/organiser-plus-tot-possible-referendum-mali-seule-replique-valable-durable-terrorisme-a-linsecurite-a-division-de-pays-2349632.html
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Président de l’ONG TILWAT International
E-mail: tilwatinternational@yahoo.fr
TEL 00223 95 58 48 97
APPEL DE Dr ANASSER AG RHISSA A LA CMA
Bonjour,
Bonne fête de ramadan à tous/toutes.
Bonne arrivée à Sidi Brahim Ould Sidatt comme Président de la CMA.
La mise en œuvre de l’accord de paix a été émaillée d’incompréhensions entre les parties prenantes provoquant des retards ou des blocages.
CE QUE NOUS SOUHAITONS, MAINTENANT, C’EST JUSTE UNE MISE EN ŒUVRE STRICTE ET SANS COMPLAISANCE DE L’ACCORD DE PAIX.
La CMA est souvent pointée du doigt pour les retards de l’accord de paix, Sidi Brahim Ould Sidatt est attendu pour corriger ce point et contribuer à une mise en œuvre stricte et sans complaisance de l’accord de paix.
Suite à la rencontre, du 20 juin 2017, qu’a eue le Premier Ministre, Abdoulaye Idrissa MAIGA, avec les parties prenantes à l’accord et la médiation internationale, la date buttoir du 31 juillet 2017 est importante pour permettre le retour du gouverneur, le fonctionnement normal des autorités intérimaires, le retour des réfugiés, la restauration des services de base et de l’administration à Kidal ainsi que l’installation du MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) et plus tard du DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion).
Tous ces aspects, à Kidal et dans les autres régions du nord du Mali, doivent être achevés avant le référendum.
Ils contribueront à installer la confiance entre Maliens.
Je lance un appel à la CMA pour aider à installer cette confiance et permettre, A TRAVERS LA SYNCHRONISATION AVEC LES AUTRES PARTIES PRENANTES A L’ACCORD DE PAIX, LES FORCES DE DÉFENSE ET SÉCURITÉ DU MALI, BARKHANE ET LA MINUSMA, la tenue du référendum partout au Mali, en particulier à Kidal, dans de bonnes conditions sécuritaires.
Je viens d’écrire une lettre ouverte en ligne qui va dans ce sens, elle est intitulée :
ORGANISER, LE PLUS TÔT POSSIBLE, LE RÉFÉRENDUM AU MALI EST LA SEULE RÉPLIQUE VALABLE ET DURABLE AU TERRORISME, A L’INSÉCURITÉ ET A LA PARTITION DE NOTRE PAYS.
Elle est adressée au Président de la République, au Premier Ministre, aux Maliens, aux partenaires et aux regroupements armés, CMA et Plateforme.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Président de l’ONG TILWAT International
E-mail: tilwatinternational@yahoo.fr
TEL 00223 95 58 48 97
……….Dr. Anasser Ag Rhissa:”Organiser, le plus tôt possible, le référendum au Mali est la seule réplique valable et durable au terrorisme, à l’insécurité et à la division de notre pays”
M. RHISSA, C’est le trafic de drogues, de cigarettes, d’armes et les prises d’otages qui sont à l’origine des maux qui rongent le Nord de notre pays. Vous allez vous fatiguez avec des référendums et ça nous amènera nul part. Il faut une riposte farouche aux ennemis de notre pays c’est tout car, ils n’ entendent que le crépitement des armes . Ils gagnent par jour dans leurs trafics, ce qu’ils ne gagneront jamais par an étant dans le droit chemin. L’indépendance, L’autonomie., l’autodétermination……….. ne sont que des prétextes.
je suis desolee DR ce n’est pas le referendum qui apportera la paix au Mali ou l;application des accords d’alger.Cela n’est pas vrai .La Avec in gouvernement paix viendra au Mali quand nous aurons in gouvernement responsible et honnete, in gouvernement soucieux de l;avenir de ce pays et de ce people.
“…est la seule réplique valable et durable au terrorisme, à l’insécurité et à la division de notre pays”
SOUVENEZ-VOUS, VOUS AVEZ DIT LA MEME CHOSE A PROPOS DE L’ACCORD D’ALGER. CA FAIT BIEN 2 ANS QUE CETTE CAPITULATION A ETE SIGNE ET…??
Ne ko, les maliens ne peuvent pas ou ne veulent pas attacher leurs fous comme cet opportuniste Anasser Ag Rhissa ?
On va organiser ton lynchage au lieu du référendum, espèce de lèche-bottes.
http://reseauinternational.net/video-idriss-deby-accuse-la-france-detre-intervenue-au-tchad-pour-changer-la-constitution/
vous devrez avoir plutôt avoir pitié de notre frère possédé. Nous devions faire des prières de délivrance pour lui, car il est complètement entre les mains du diable. Il est déjà dans les cordes du diable seules nos prières peuvent l’aider à sortir des coudes de Satan devenu le Seigneur de notre frère bien aimé Docteur Anasser Ag Rhissa.
Bonjour,
Merci ABC de votre contribution.
Peut-on traiter de satan, celui qui cherche à unir ses frères et sœurs et à partager avec eux des solutions de sortie de crise ?
LES PRIÈRES FAISONS-LES POUR LE MALI AFIN QUE LES FRÈRES ET SŒURS MALIENS S’UNISSENT AUTOUR DE CE REFERENDUM.
Établissons la concorde entre nous afin d’aller unis, indépendamment des bords politiques, à ce référendum pour le bonheur des Maliens.
La vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 95 58 48 97
Il faut bien relire, je ne traite jamais un frère fils d’Adam de Satan. Cette accusation vient de celui qui détient les cordes. Nos frère égarés ne veulent pas la paix et modifier notre constitution pour eux n amènera pas la paix. Même si nous abandonnons Kidal ils vont réclamer Gao Timbuctu Mopti et Segou. Mais celui qui est lié par Satan reste dans les ténèbres et ne verrait pas la lumière. Nous allons continuer à prier pour toi notre cher frère Dr ANASSER AG RHISSA.
Si tu n’étais pas dans les liens de Satan tu ne proposerais pas Premier ministre, les autres allaient le faire à ta place . Loin des cordes du méchant ton frère abc te proposera et certainement tu le seras cher frère Dr ANASSER AG RHISSA.
Bonjour,
Merci le narcissiste … de votre message plein d’amalgame.
JE VOUS INTERDIT D’UTILISER MON NOM DANS VOTRE PSEUDO.
SOYEZ RESPONSABLE EN UTILISANT VOTRE PROPRE NOM.
Je suis ambitieux, responsable et patriote, je propose des solutions de sortie de crise à mon pays.
SI C’EST CELA QUI ME REND OPPORTUNISTE, JE LE SUIS.
J’ai confiance en moi et je m’engage avec optimisme et conviction.
Contrairement au narcissique, je suis généreux et je partage mes points de vue, mes contributions et mes lettres ouvertes avec mes frères et soeurs Maliens pour une sortie durable de la crise, d’où cette lettre ouverte.
Faites-en de même si vous voulez être utile au pays au lieu d’utiliser les amalgames et les insultes.
Cultivons le vivre ensemble au Mali ET ouvrons-nous les uns aux autres.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernace et Sécurité
TEL 95 58 48 97
le meilleur rempart contre les Jihadiste; les separtistes est la construction d’une forte armée et non un changement de constitution.
Ybla bla bla. On ne veut pas de referendum.un point c est tout. Il y a trop de savants affame dans ce Pays. Lol. Le jour du referendum, on ira deloger quelqu un inchallah.
Lui il est affamé je l ai vu vendredi à pied en costume en sueur le dos lave de transpiration vers le Ministère de la défense.
Il est l’un des Maliens les plus valables mais malgré qu’il soit Nordiste, il déteste les armes et la violence, ce qui fera de lui un affamé dans notre Mali où le semi analphabète armé est plus sollicité que le cadre compétent pour diriger un département. Le sous-doué de la famille est préférable à l’expert….
Il n’y a rien de surprenant à ce que quelqu’un comme lui soit à pied pendant qu’un Djéri dort dans un hôtel 5 étoiles et circule en grosse cylindrée… 💡💡💡💡
Ainsi va le Mali !! 💡💡💡💡
Yougou, pour la 1ère fois je ne partage pas ton avis.
Anasser Ag Rhissa est le cadre le plus opportuniste et le plus prétentieux de l’Afrique subsaharienne.
Il prend ses points de vue pour le fondement de la terre et n’a honte de rien pour obtenir une situation.
Tu te rappelles qu’il s’était proposé 1er ministre et même le plus idiot des présidents a compris que tous les frétillements d’Ag Rhissa dans les forums étaient intéressés et qu’il était malade de narcissisme.
Compares le aux AG Acharatoumane, aux Djeri Maïga, aux Jimmy, aux Mbam AG Moussa, aux AG Intallah et autres et tu verras que lui seul vaut mieux qu’une dizaine de ces vauriens réunis. S’il avait pris les armes on allait être reconnu plus compétent que tous. 💡💡💡
Merci yugubané.
Anasser est un lâche, un opportuniste et un fou qui veut réussir par la langue mielleuse à l’endroit du pouvoir.
Les AG Acharatoumane, Djeri Maïga, Jimmy, Mbam AG Moussa, et AG Intallah se sont clairement affichés contre le pouvoir malien jusqu’à aboutissement.
Ils ont risqué leur vie pour leur idéal bien que c’est à notre défaveur et sont vraiment dignes bien que ce sont des ennemis du Mali.
Quant à Anasser Ag Rhissa, il a choisi la voie des griots et des suppôts pour parvenir lâchement à ses objectifs alimentaires.
Son ONG Tilwat et sa langue sont ses principales armes de combat opportuniste et il est sans idéal à part de trouver un portefeuille comme l’a attesté sa candidature au poste de 1er ministre.
Je l’ai dit bien avant cette ridicule candidature, Ag Rhissa a des objectifs alimentaires purement opportunistes.
Bref, il faut conseiller ce gros bellah de Ag Rhissa avant que les maliens lui fassent la peau.
Ensuite, IBK est aveugle mais il n’est pas aussi borné pour recruter un tel opportuniste qui pourra facilement le trahir si son intérêt personnel l’exige.
Bonsoir,
Merci chers frères Yugubané et les deux autres sans noms utilisant des pseudos intégrant des amalgames et des insultes dans leurs messages.
Merci Yugubané de reconnaître que je suis un cadre compétent et que je fais partie des Maliens les plus valables.
Merci Yugubané de la reconnaissance de ce que je suis et de mes mérites.
Je suis ambitieux, responsable et patriote, je propose des solutions de sortie de crise à mon pays.
SI C’EST CELA QUI ME REND OPPORTUNISTE, JE LE SUIS.
Quant à ma candidature pour être Premier Ministre, je suis convaincu que j’ai les compétences idoines sinon je ne me serai pas proposé.
Je remercie Yugubané d’avoir supporté ma candidature pour ce poste de Premier Ministre.
QUELQU’UN DE VALABLE A ETE CHOISI COMME PREMIER MINISTRE, J’EN SUIS HEUREUX.
Quant à cette lettre ouverte, je cherche à unir mes frères et sœurs et à partager avec eux des solutions de sortie de crise.
Si c’est à cause de cela que LES MALIENS, comme dit cet internaute qui me qualifie de gros BELLAH, ME FERONT LA PEAU, QU’ILS AGISSENT S’ILS PENSENT QUE C’EST HONNETE, REFLECHI ET IDOINE POUR ERADIQUER DEFINITIVEENT NOTRE CRISE.
Je serai heureux d’un tel geste (me faire la peau dit-il) s’il résoudra définitivement le problème du Mali.
Arrêtons les amalgames malsains et Etablissons la concorde entre nous afin d’aller unis, indépendamment des bords politiques, au référendum pour le bonheur des Maliens.
La vérité triomphera, qu’elle soit du côté du OUI ou du NON.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 95 58 48 97
C’est un chiffon bouffon haillon que ce Docteur de Malheur Annasser pond comme un moineau pondrait un oeuf d’autruche ! Je ne vois pas pourquoi Maliweb accueille 100 pages de niaiserie à moins que Docteur Ag Rhissa paye 1000fcfa la page, ce qui est , commercialement , acceptable .
Autrement , si cette Feuille de chou est imprimé , il ne pourrait servir qu’emballage de fouroufourrou, sinon de papier de toilettes WC turc
Maliweb qui est un journal en ligne , doit éviter à ses lecteurs serieux un article sans queue et sans tête .
Bonjour,
IL FAUT LE DIRE que vous n’êtes pas obligé de lire cette lettre ouverte MAIS vous avez obligation de respecter l’auteur et ceux qui, très nombreux, l’ont appréciée.
Référez-vous sur maliweb et ailleurs au nombre de “J’aime” concernant cette lettre ouverte.
RESPECTEZ CES CENTAINES, VOIRE MILLIERS, DE LECTEURS, SUR INTERNET ET LES RESEAUX SOCIAUX (FACEBOOK, …), QUI AIMENT CETTE LETTRE OUVERTE.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 95 58 48 97
Encore un savant qui vient nous dire que la nouvelle constitution est l’arme fatale contre le terrorisme et l’insécurité qui gangrènent le pays. C’est sûr que Ilyad et ses compagnons n’attendent que cette constitution pour déposer les armes.
“Pendant ces jours de fête de Ramadan et les jours suivants, que Dieu nous aide à prendre nos responsabilités dans ce sens et apporte la concorde entre tous les fils et toutes les filles du Mali.”
Je préfère “Pendant ces jours de fête de Ramadan et les jours suivants, que Dieu nous aide à prendre nos responsabilités dans le BON sens et apporte la concorde entre tous les fils et toutes les filles du Mali.”
Bonjour,
Merci Issa de votre REFORMULATION.
Elle convient aussi mais la mienne est plus adaptée à ce que je souhaite faire passer comme message.
Je souhaite que DIEU nous aide à prendre nos responsabilités dans le sens suivant :
La seule réplique valable et durable, c’est d’organiser notre référendum, le plus tôt possible, en impliquant toutes les forces vives Maliennes, indépendamment des bords politiques, pour permettre la poursuite de la mise en œuvre, stricte et sans complaisance, de notre accord de paix afin de garantir la paix, la sécurité et le développement durable résilient pour tous.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 95 58 48 97
Nous avons des intellectuels qui sont prêts,pour accéder à de hautes fonctions,à sacrifier leur pays aux ennemis de la nation malienne .
Personne ne dit de ne pas organiser les élections en période d’insécurité.
Effectivement,l’insécurité provoquée par les terroristes ne doit pas nous empêcher de faire fonctionner l’ ÉTAT convenablement.
Ce serait leurs faire plaisir.
La contestation actuelle porte sur l’ illégalité d’organiser un référendum pendant que le pays n’est pas présent sur tout le territoire national.
L’ article 118 cristallise tout le débat.
Violer notre loi fondamentale pour faire plaisir aux groupes armés transforme notre pays en ÉTAT bannière.
Ensuite,nous constatons que le pouvoir profite de cette conformité de notre loi fondamentale aux différents engagements pris pour renforcer le pouvoir du président de la république et certaines dispositions sont introduites malicieusement pour prolonger le mandat du président actuel en cas d’impossible d’organiser les élections présidentielles .
Dr ne peut pas ne pas apercevoir ces points.
Il n’en fait pas cas sciemment.
La nation malienne aspire à la paix.
Une paix qui respecte leurs dignités.
Une paix qui englobe tous les aspects de l’ humiliation de ce peuple pour le soumettre aux intérêts de la puissance colonisatrice est à rejeter.
C’est elle que le pouvoir actuel est entrain de réaliser.
On nous avait présenté ces accords d’Alger et de Bamako comme étant des accords de paix. Puis sont venus les forums, les patrouilles mixtes, les MOC, les autorités intérimaires, la Conférence d’Entente Nationale pour le résultat que l’on connait. Le changement de la constitution ne sera pas la dernière surenchère. Pendant ce temps, nos innocentes sœurs, mères et enfants du Nord galèrent dans des camps de réfugiés.
Nous devrions reconnaître depuis le début qu’il n’y a rien de négociable avec ces groupes qui puisse ramener la paix. Que ce n’est pas en cajolant les assassins qu’ils deviendront des enfants de chœurs mais quand nous aurions perdu plus de temps et de vies, nous cesserons de croire à la solution magique pour se dire que la seule alternative à la guerre est l’amputation de cette partie du territoire. L’unité ne doit pas être préservée à tout prix.
CHERES MALIENNES, CHERS MALIENS,
LIZEZ BIEN L’ ARTICLE !
” La révision de la constitution Malienne du 25 février 1992 est rendue obligatoire compte-tenu des points suivants : ”
(1) Prendre en compte certaines dispositions de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali (qui bloquent la poursuite de la mise en œuvre de l’accord de paix) issu d’un compromis entre les parties prenantes Maliennes (le Gouvernement Malien, la CMA composée de groupes armés Maliens et la Plateforme composée de groupes armés d’autodéfense Maliens) sous la supervision de la médiation internationale,
DONC CONSTITUTIONALISER LE TERRORISME AU MALI : UNE PREMIERE AU MONDE !
SANS OUBLIER QUE LA COMMANDE AUTOMATIQUE DE CETTE BOMBE(CES BRIQUES DE TNT) Á FRAGMENTATION, QUI VA FAIRE SAUTER LE MALI, SERA INCLUSE DANS LA CONSTITUTION.
QUESTION DE TEMPS…AU MAXIMUM..5 ANS ..!
(5) Adapter la constitution aux directives de l’UEMOA (Union Economique Monétaire Ouest Africaine) dont le Mali est membre.
BÉTONNER LE MALI DANS LE MARÉCAGE DU FRANC CFA.
MALIENS, LEVEZ-VOUS , NE LAISSEZ PASSER AUCUNE RÉVISION DE CONSTITUTION AVANT 10 ANS, LE TEMPS POURQUE LA DONNE GÉOPOLITIQUE MONDIALE NE S’ ÉCLAIRSISSE!
ANNASSER AG RHISSA EST UN AGENT INCONDITIONNEL DE LA FRANCE ET DE LA FRANCAFRIQUE, UN ESCLAVAGISTE GÉNÉTIQUEMENT.
Bonjour,
Merci, Banconi Fato, pour votre message.
VOUS CHANGEZ ENCORE DE PSEUDO ET VOUS CONTINUEZ LA MEME STRATEGIE MELANT AMALGAMES ET INSULTES.
Sur mali jet vous avez publié le même message sans pseudo.
Sachez que le Mali a signé des accords (EXEMPLE, ACCORD DE PAIX ISSU DU PROCESSUS D’ALGER), des directives (UEMOA, …) et des conventions internationaux qui l’engagent.
En les respectant, on ne constitutionnalise pas le terrorisme et on n’a pas obligation à garder la même monnaie.
JE VOUS AI DEJA DIT DE NE PAS ME TRAITER D’AGENT DE LA FRANCE ET VOUS AJOUTEZ MAINTENANT AGENT DE LA FRANCAFRIQUE.
Vous m’insultez en disant que je suis un esclavagiste génétiquement.
EXHIBER VOS PREUVES SINON VOUS ARRETEZ IMMEDIATEMENT CES AMALGAMES ET INSULTES QUI M’INDEXENT SANS PREUVES.
Soyez responsable.
Je vous avais déjà dit que si vous continuez à utiliser cette stratégie, je ne vous répondrai plus.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 95 58 48 97
MOI, DIEU, JE NE DIRAI JAMAIS DES CIEUX, AVEC MON MÉGAPHONE, AUX MALIENS QUE CETTE RÉVISION DE CONSTITUTION EST BONNE.
CONCLUSION : CETTE RÉVISION DE CONSTITUTION N’EST PAS BONNE.
eh bien voila ! Le débat est clos
Bonjour,
RST, c’est au Maliens d’apprécier cette constitution révisée et voter OUI ou bien NON au référendum.
Le débat sera clos après le référendum.
Allons, donc, vite dans ce sens, aidé par DIEU, le tout puissant, qui lui est impartial et juste, pour clore le débat au lieu d’écouter celui qui usurpe INJUSTEMENT le nom de DIEU en prenant le pseudo de Dieu.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 95 58 48 97
Et voilà Satan qui se croit dieu:le dieu du docteur Rhissa ou RST
Il n’y a qu’une seule manière de convaincre les maliens que cette revision de la constitution est bonne. Il faut que Dieu lui même parle à haute voix, à travers les cieux pour nous dire que c’est bon.
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